Publié dans Politique

Lutte contre le coronavirus - Le Covid- Organics face à la mafia pharmaceutique mondiale

Publié le mardi, 28 avril 2020


La machine infernale est en marche ! De grands titres et de grandes chaînes occidentaux se liguent ces derniers temps afin de discréditer auprès de l’opinion publique internationale le Covid -Organics (CVO), le remède mis au point par l’Institut malagasy de recherches appliquées et présenté par le Président de la République de Madagascar en personne  comme étant la réponse, tant sur le plan préventif que sur le plan curatif, à la pandémie du Covid-19. Comme l’on s’y attendait, cette solution malagasy ne fait absolument pas l’affaire des géants de l’industrie pharmaceutique mondiale, lesquels comptaient bien faire de cette crise sanitaire leur business du siècle.
Tout en continuant en coulisse leurs recherches pour mettre au point un médicament et/ou un vaccin contre le nouveau coronavirus qui convainc, les multinationales pharmaceutiques  se retournent, comme un seul homme, vers un concurrent inattendu, le CVO malagasy, lequel menace sérieusement de leur couper l’herbe sous les pieds. C’est dans le cadre de cette riposte qu’intervient une vaste campagne médiatique visant à dénigrer le remède made in Madagascar et à laquelle participent de grands organes de presse de réputation mondiale, rémunérés sans doute à coups de millions d’euros, mais aussi à leur manière certains journalistes malagasy ou d’origine malagasy qui y officient.
Et c’est à une véritable course contre la montre que se livrent les deux camps adverses. Du côté de Madagascar, il s’agit de démontrer rapidement sur le terrain l’efficacité du remède à travers sa distribution à grande échelle, tandis que du côté des grands noms pharmaceutiques   internationaux, l’objectif est d’empêcher coûte que coûte que certains pays puissent commencer à croire en ce produit et être tentés de le tester. Sur le plan national, la situation plaide pour la solution malagasy au vu du solde zéro des décès, de la courbe ascendante des cas de guérison, de celle, en sens contraire, des contaminations, ainsi que le franc succès obtenu par le CVO auprès de toutes les couches de la population.
Pour l’heure, la bataille se situe sur le terrain médiatique. D’aucuns craignent cependant que, vu l’enjeu, la mafia pharmaceutique mondiale soit tentée de sortir le grand jeu. Celui qui consiste à discréditer le CVO par des moyens peu catholiques. Par exemple celui qui consiste à mettre en circulation de faux CVO aux effets néfastes ou, pourquoi pas, à empoisonner les vrais. La prudence est, dit-on, mère de sûreté.
La Rédaction

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Editorial

  • Drapeau et hymne national 
    L’emblème national, témoin de l’indépendance et de la souveraineté du pays, doit plus que jamais trôner là où il mérite. L’heure du respect de la dignité de Madagasikara sonne. Le pays s’apprête à fêter le 65ème anniversaire de l’accession sinon du retour à l’indépendance de la Grande île. Le 26 juin 1960, Madagasikara accède à l’autodétermination de son avenir. Le statut de Colonie française s’achève pour de bon et devient de plein droit la République Malagasy. A noter que deux ans auparavant, en 1958, la Grande île arborait déjà le titre de République mais ce n’est que le 26 juin 1960 que les pleins pouvoirs de l’indépendance ont été octroyés du moins sur le … papier. Oui, « sur le papier » car le désormais « ancienne puissance coloniale » persistait dans les parages et planait toujours sur nos têtes. Il a fallu attendre 12 ans, en 1972, que le…

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