Rien que ces derniers jours, plusieurs nouvelles infrastructures viennent rallonger la liste des infrastructures à inscrire à la liste des réalisations du ministère. Plusieurs Maisons de la communication et de la culture (MCC) ont été inaugurées par son département. En effet, après Antsiranana et Toamasina, Mahajanga a été cette semaine le troisième chef-lieu de Province à inaugurer sa Maison de la communication. Et le département ministériel de la communication n’entend pas diminuer son rythme. D’autres infrastructures du même acabit ont débuté tandis que d’autres sont en cours de construction voire de finition dans les autres chefs-lieux de Région et à Antsirabe. Certaines de ces infrastructures seront d’ailleurs incessamment être inaugurées, annonce le ministère de la Communication et de la Culture.
Dans le domaine, Lalatiana Rakotondrazafy Andriatongarivo ne rivalise, pour beaucoup observateurs, qu’avec ses prédécesseurs de la Première République et peut-être d’une partie de la seconde. Toujours au chapitre des infrastructures, le bâtiment de l’ancienne Agence nationale d’informations Taratra ou ANTA à Ambohidahy s’est trouvé une nouvelle vocation. La vieille bâtisse, délaissée et dans un état délabré, s’est retrouvée une nouvelle jeunesse devenant depuis quelques mois le Musée des archives iconographiques ou Trano Sary. Toujours dans la même veine, de nouvelles infrastructures ont été mises en place au sein de la TVM et de la RNM à Anosy à l’initiative du ministère de la Communication et de la Culture. Les médias nationaux ont été dotés de nouveaux matériels de pointe, de nouveaux studios et des plateaux « manara-penitra ». Cette liste, non exhaustive, concerne uniquement les infrastructures réalisées au sein du département de la Communication. Car dans le deuxième département dont Lalatiana Andriatongarivo a la charge, à savoir celui de la Culture, les réalisations sont également foisons.
Des réalisations et un bilan positif que la ministre doit à son dynamisme, à son abnégation mais également à une gestion du denier public et une gouvernance jusqu’ici irréprochable de son ministère. « Détournement de deniers publics, favoritisme, népotisme. Vous n’entendrez jamais de telles critiques à mon endroit », aime répéter la ministre Lalatiana Andriatongarivo. Ces réalisations en deux ans confortent ses dires…
La rédaction