Publié dans Politique

Découverte macabre à Mahajanga - Plus d’une vingtaine de personnes interrogées

Publié le jeudi, 05 mai 2022


Depuis la découverte du corps sans vie d’une étudiante en paramédical, en l’occurrence Elisabeth Rasoanirina (25 ans) dans un dépotoir du quartier de Mangarivotra à Mahajanga, l’enquête suit son cours. Bien que la Police semble ne pas chercher trop à ébruiter l’affaire, ses investigations ont fait bouger la situation. Selon récemment le procureur de Mahajanga, plus d’une vingtaine de personnes ont été interrogées par la Police, dans le cadre de l’enquête sur l’affaire, explique notre correspondante de la Cité des fleurs.
Malgré cela, aucune arrestation n’a été encore signalée, les Forces de l’ordre ne lésinent pas sur les moyens pour jeter la lumière sur ce meurtre, puisqu’il s’en est agi un. A cet objectif, la Police travaille étroitement avec la Justice pour mener l’enquête. Bref, les autorités concernées évitent de citer ou mentionner officiellement un ou des suspects dans l’affaire. Le corps de la victime avait été mis à l’intérieur d’un sac avant que les assassins ne le jetaient dans cette décharge d’Androva, il y a plus d’une semaine de cela.
F.Roland

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Editorial

  • Vouée à l’échec ?
    Le pays est en plein chantier d’élaboration d’une nouvelle Stratégie nationale pour la lutte contre la corruption (et l’impunité), la SNLCC. Celle qui est en vigueur arrivera à son terme à la fin de l’année en cours après dix ans de mise en œuvre dans la bataille contre cette « ennemie » apparemment imbattable. Mise en selle en 2014, la SNLCC actuelle finira sa course incessamment. Mi-figue, mi-raisin, le bilan de la décennie de la Stratégie nationale de lutte contre la corruption balance entre un échec et une réussite. Le Comité pour la sauvegarde de l’intégrité (CSI) se trouve dans l’embarras pour traduire la situation exacte. Sahondra Rabenarivo, la présidente du CSI, déplore plus d’une fois l’existence de certains facteurs de blocage dans le processus normal de la lutte contre la corruption. Il existe un dysfonctionnement perçu comme un frein au bon déroulement du système de lutte contre la corruption.

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