Publié dans Politique

Campagne électorale du candidat n°3 - Une fin en apothéose à Toamasina et Antananarivo !

Publié le dimanche, 12 novembre 2023

Le candidat à la présidentielle, Andry Rajoelina a vibré avec ses partisans dans le cadre de ses derniers jours de campagne électorale durant le weekend. Pendant la journée de samedi, le candidat numéro 3 est venu à la rencontre de la population de Mahanoro. Une manière de se rattraper suite au rendez-vous manqué dans ce District pour cause de mauvais temps, il y a une semaine de cela. Une fois de plus, ses partisans étaient toujours au rendez-vous au cours d’un meeting au stade manara – penitra de Mahanoro. Andry Rajoelina a réitéré les réalisations au cours de son mandat. Il a rappelé les réalisations à Mahanoro tout en assurant une plus grande proximité avec la population dans le futur.

Après Mahanoro, le candidat a mis le cap sur Toamasina où une foule immense attendait pour l’escorter depuis l’aéroport jusqu’au bord du site MIAMI, une des plus grandes réalisations du régime. Andry Rajoelina était entouré des membres de sa famille : son épouse et ses trois enfants. Par la suite, la famille Rajoelina et l’équipe de campagne ont pris la direction d’Antananarivo, la Capitale, pour le grand « Faradoboka », hier au coliseum Antsonjombe. Une marée orange avait investi les lieux depuis la matinée et attendait l’arrivée du candidat avec impatience. A son arrivée, Andry Rajoelina a reçu l’accueil d’une foule survoltée. Dans son discours, il a réitéré ses projets pour son nouveau mandat présidentiel, c’est-à-dire un accent particulier sur l’amélioration des conditions sociales de la population, l’accès à l’électricité par l’utilisation des énergies renouvelables, la formation pour les jeunes, etc.

 

Ce meeting à Antsonjombe est hautement symbolique et suffit à répondre aux détracteurs du candidat qui reçoit l’adhésion populaire à Antananarivo. Rendez-vous donc aux urnes, jeudi prochain !

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Editorial

  • Lueur d’espoir !
    Tout n’est pas noir. Une source de lumière apparait à l’horizon. Et l’espoir est permis. En dépit des galères éternelles que la misère nous impose, que l’insécurité nous étreint et que la JIRAMA nous empoisonne tous les jours, une lueur d’espoir nous embaume le cœur. Tous les efforts sont mis en branle mais la misère persiste et signe. Avec un revenu mensuel moyen de 40 euros ou 43 dollars par habitant, de sources autorisées de la Banque mondiale, Madagasikara reste parmi les cinq pays les plus pauvres de la planète. A titre d’illustration, Rwanda 76 dollars, France 3482 euros. Comparaison n’est pas raison mais les chiffres sont là. Ils évoquent certaines situations comparatives indéniables. Les insuffisances chroniques alimentaires surtout dans le grand Sud trahissent malgré les tentatives de certains responsables de relativiser le cas.

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