Publié dans Politique

Secrétaires d’Etat - La sélection prend du temps

Publié le mardi, 30 janvier 2024



A la recherche des meilleurs profils ! Comme annoncé par le Président Andry Rajoelina lors de la nomination des membres du Gouvernement, le 14 janvier dernier, une dizaine de secrétaires d’Etat auprès de la Présidence seront nommés incessamment. Ces hauts responsables seront en charge de plusieurs secteurs comme l’électrification rurale et des ménages, la lutte contre la pauvreté et la réinsertion sociale, la souveraineté alimentaire, le planning familial, l’économie et le plan, la coopération économique, la jeunesse et la lutte contre les stupéfiants, la digitalisation des services publics, le commerce et la consommation, ou encore l’artisanat et les métiers.
A l’instar de la sélection de l’équipe gouvernementale, le choix des secrétaires d’Etat combine à la fois rigueur et intransigeance. Un mode de sélection qui prend donc un peu plus de temps que prévu dans le but de trouver les bons profils. En effet, l’installation de ces responsables permettra de renforcer le pouvoir exécutif tant en termes d’efficacité que de rapidité dans la réalisation des programmes de développement. D’où la nécessité de placer les bonnes personnes aux postes adéquats. Des personnes qui seront opérationnelles dès leur nomination officielle, et qui seront dotées aussi bien des expériences que des compétences étroitement liées à la vision du Président de la République qui ambitionne un développement effectif pour Madagascar.
Les secrétaires d’Etat seront ainsi jugés en fonction de leur compréhension des priorités nationales qui garantit une mise au diapason dans la mise en œuvre des politiques gouvernementales. Chacun de ces hauts fonctionnaires devra d’ores et déjà avoir une grande faculté d’adaptation qui lui permettra de s’atteler aux différentes missions qui lui incombent : mettre en œuvre des solutions concrètes conformément aux différents secteurs d’intervention qui lui sont confiés. En attendant l’annonce officielle des nommés, la patience est de mise.
La Rédaction

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Editorial

  • Lueur d’espoir !
    Tout n’est pas noir. Une source de lumière apparait à l’horizon. Et l’espoir est permis. En dépit des galères éternelles que la misère nous impose, que l’insécurité nous étreint et que la JIRAMA nous empoisonne tous les jours, une lueur d’espoir nous embaume le cœur. Tous les efforts sont mis en branle mais la misère persiste et signe. Avec un revenu mensuel moyen de 40 euros ou 43 dollars par habitant, de sources autorisées de la Banque mondiale, Madagasikara reste parmi les cinq pays les plus pauvres de la planète. A titre d’illustration, Rwanda 76 dollars, France 3482 euros. Comparaison n’est pas raison mais les chiffres sont là. Ils évoquent certaines situations comparatives indéniables. Les insuffisances chroniques alimentaires surtout dans le grand Sud trahissent malgré les tentatives de certains responsables de relativiser le cas.

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