Publié dans Politique

Attaque à main armée - Deux suspects jetés en prison, trois autres en cavale

Publié le vendredi, 28 juin 2019

Hier, deux auteurs supposés d’une attaque à main armée, associée à un cambriolage, avaient été déférés au Parquet avant qu’ils ne soient finalement placés sous mandat de dépôt. Par ailleurs, trois acolytes des premiers sont encore en cavale et sont donc recherchés.  L’affaire remonte la nuit du  17 juin 2019 à Amboasary-Sud.  Le lendemain même des faits, les limiers du Commissariat de cette ville ont appréhendé les deux suspects. En réalité, c’était l’un d’eux qui était tombé en premier dans le filet des Forces de l’ordre. A son tour, ce dernier a indiqué son complice qui fut aussi rapidement interpellé. La Police avait cherché des preuves. Lors des perquisitions chez les deux larrons, elle découvre le butin de vol.  Il est constitué de plusieurs objets, entre autres des ordinateurs ou autres lecteurs. Les suspects qui ont reconnu les faits, détenaient surtout un trousseau de clés (passe-partout), des amulettes mais aussi des produits soporifiques prévus à neutraliser momentanément les victimes. Il reste donc à retrouver les traces des trois fugitifs.
F.R.

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Editorial

  • Et voilà une autre …
    Un train peut en cacher un autre ! Le pays n‘est pas encore sorti de l’auberge. La triste affaire d’Ambohimalaza, qui a ébranlé les fauteuils de certains membres du Gouvernement, peine à faire tomber le rideau c’est-à-dire sans être concrètement et complètement effacée, et en voilà une autre qui vient vicier ou empoisonner l’atmosphère et secoue derechef le Gouvernement. Le temps est dur ! La Grande île traverse une zone de turbulence. De fortes secousses font tanguer le navire. Dans la précédente édition, nous avions dû déplorer que le pays, tel un grand bâtiment sans repères, va à la dérive et ce pour plusieurs cas qui sèment la panique. Le couac survenu à Ambohimalaza met en lumière les carences de gestion de certains membres du Gouvernement. Leur incapacité voire incompétence à contourner une douloureuse affaire. Une affaire qui, au final, éclabousse l’Exécutif. Sous d’autres cieux, un couac de cette ampleur…

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