Publié dans Politique

Andry Rajoelina à l’inauguration de KFC - Un clin d’œil aux grands investisseurs étrangers !

Publié le lundi, 18 novembre 2019

Pourquoi ? Telle était la question que tentait de poser les détracteurs du régime pour s’interroger sur la présence du Président Andry Rajoelina à l’ouverture officielle de la première adresse KFC à Madagascar sise au Tana Waterfront, hier. La réponse est pourtant simple : l’encouragement des investissements directs étrangers (IDE), avant tout. Par ignorance ou par pure mauvaise foi, certains observateurs semblent oublier que Madagascar est en pleine préparation de son essor économique. Un processus qui demande, de la part des dirigeants, des signaux forts pour rassurer les investisseurs internationaux. D’où ce geste, ô combien, significatif du Chef de l’Etat.

 

En plus, l’implantation d’une grande marque comme KFC à Madagascar prouve que la Grande île est définitivement à la hauteur du savoir-faire et des exigences des grands groupes internationaux. Cela traduit également une confiance d’une enseigne telle que KFC, grande figure de l’alimentation d’envergure mondiale, à la qualité des produits malagasy.

Dans son discours, le Président de la République a particulièrement souligné que le secteur de l’alimentation est un vecteur de croissance économique et d’innovation mais également générateur d’emplois. En tant que leader de l’Initiative pour l’Emergence de Madagascar (IEM), qui est déjà intégrée dans la Politique générale de l’Etat, l’homme fort du pays marque, par sa présence, que Madagascar est bel et bien prêt à ouvrir une nouvelle page de son histoire dans le domaine économique : celui d’un pays où le climat des affaires est désormais plus que rassurant. Parler de relance économique inclut, de surcroît, une augmentation des investissements locaux et internationaux.

 

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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