Publié dans Politique

Affaire « Tahisy » - La mère de la défunte de nouveau enquêtée

Publié le mercredi, 19 février 2020

Jour J du déferrement. L’affaire sur la « mort suspecte » de Tahisy et de son bébé passera devant le Parquet, ce matin. Selon nos sources, la mère de la jeune femme décédée a de nouveau été auditionnée auprès de la Police nationale, hier. Ceci après le changement de sa version, incluant un mea culpa et des excuses publiques, en début de cette semaine. « La mère de Tahisy a menti non seulement au public, lors de l’interview accordée à une chaîne télévisée de la Capitale, mais aussi à la Police. Celle-ci l’a de nouveau enquêtée, hier, suite à sa seconde interview dans une autre chaîne télévisée. Cette fois-ci, elle a avoué la vérité sans tenir compte des pressions et menaces qu’elle aurait subies la semaine dernière, de la part du concubin de sa défunte fille », nous confie un membre de la famille de la victime.

 

Jusqu’ici, la Police limite les informations véhiculées à la presse concernant cette affaire. Une source policière nous annoncé, mardi dernier, que l’enquête avance. Toutefois, le nombre de parties concernées enquêtées ainsi que celui des personnes à déferrer au Parquet restent secrets, du moins jusqu’à hier. Outre les membres de la famille de la victime, dont ses frères et sœurs ainsi que sa mère et sa meilleure amie, ceux du concubin ont également été auditionnés. Rappelons que depuis quelques jours, cette affaire a fait le buzz notamment sur les réseaux sociaux suite à la mort de la jeune femme et de son bébé. D’ailleurs, cette affaire a pris une envergure nationale et internationale puisque des journalistes issus d’autres pays la suivent de près. Il en est de même pour la Première Dame et l’association Fitia qui ont sollicité la Police…

P.R

 

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Editorial

  • Idem !
    Et nous y revoilà ! Dix personnes écopent une peine de détention préventive à la prison de Moramanga. Elles sont accusées de fuite de sujets lors de l’examen du BEPC dans la Circonscription scolaire de Moramanga. Encore et toujours des fuites de sujets. Tous les ans, ou presque, le pays doit faire face à des délits de fuites de sujets d’examen officiel. Neuf candidats à l’examen du Brevet d’étude du premier cycle (BEPC) 2025 ainsi que le proviseur d’un lycée privé sis à Belavabary, de la même CISCO, ont été placés sous mandat de dépôt à la prison de Moramanga à l’issue de leur comparution devant le juge d’instruction. Idem des cas de fuites de sujets. Le ministre de l’Education nationale déclarait, à ce sujet, comme suit : « tolérance zéro à l’encontre des fauteurs de trafics de sujets d’examen officiel ». Avec tous les respects à votre endroit Mme …

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