Mamisoa Andrianjafy a souligné l'importance du respect des droits des enfants tout au long du processus. 118 candidats étaient absents, et seules dix personnes ont oublié des outils essentiels comme leur convocation, un nombre jugé négligeable par le proviseur. Le sujet de l'épreuve de Malagasy a porté sur le « famadihana ». Sarobidy, une candidate du centre d'examen d'Anosy, a déclaré : « Tout est déjà fait à l'école », en soulignant ainsi que les préparations à l'école avaient été suffisantes pour aborder ce sujet.
Soutien de la Police
Par ailleurs, la Police nationale a apporté un soutien aux candidats qui se sont présentés aux alentours du ministère de la Sécurité publique. Un communiqué officiel du ministère a détaillé cette initiative en ces termes : « Il s'agit d'une activité menée par le ministère, laquelle vise principalement à s'occuper des enfants qui ne peuvent pas rentrer à la maison pour déjeuner ». Cette mesure a été bien accueillie par les parents et les enseignants, qui y voient un moyen de garantir la sécurité et le bien-être des élèves pendant les examens. La correction des copies a débuté hier, ce qui permet de maintenir le calendrier prévu pour la publication des résultats. Selon Roger, père d'un candidat, « les autorités éducatives se sont félicitées de la bonne organisation de cette session d'examen, en espérant ainsi que les efforts déployés contribueront à un taux de réussite élevé cette année ».
Carinah M.