Publié dans Société

Diffusion de fausses nouvelles - Le journaliste Fernand Cello jeté à Antanimora

Publié le jeudi, 30 janvier 2025
Le journaliste avait déjà été poursuivi puis recherché il y a deux ans de cela Le journaliste avait déjà été poursuivi puis recherché il y a deux ans de cela


A la suite d'un mandat d'arrêt émis par le doyen des juges à son encontre, et ce, depuis 2023, le journaliste Fernand Cello avait été arrêté par la Gendarmerie, vers 21h, mercredi dernier à Anosizato. Ses affaires et son téléphone auraient été confisqués. Et que sa voiture aurait été immobilisée par les autorités, depuis. Puis l'affaire s'est développée rapidement car le concerné fut déféré au Parquet d'Anosy. Sitôt son audition par le procureur terminé hier vers 18 h, ce dernier a placé le journaliste en cause sous mandat de dépôt à Antanimora,  pour diffusion de fausses nouvelles, entre autres motifs d'inculpation. Toutefois, nos sources n'ont pas apporté encore plus de précisions sur l'affaire. Il est ainsi impossible de déterminer s'il s'agissait d'une publication sur Facebook du chroniqueur, ou lors de l'une de ses émissions radiophoniques.

A préciser que selon l'information, 5 autres personnes dont son épouse ont été auditionnées en même temps que lui. Certaines d’entre elles auraient hébergé le journaliste durant toute cette période où il a été recherché. Mais c'était uniquement pour le besoin de l'enquête, selon la Gendarmerie. A noter aussi que Fernand Cello avait été soumis à une enquête préliminaire à la section de recherche criminelle de la Gendarmerie ou SRC Fiadanana où il fut placé en garde à vue sitôt après son arrestation à Anosizato, mercredi soir dernier.

Franck R.

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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