Selon toujours les informations recueillies, le Bordelais en cause aurait payé jusqu'à 10.000 euros pour ces agressions qu'il commanditait depuis 2022, mais aussi payé pour voir en direct des viols et des agressions sexuelles, via des « live stream », sur des enfants de la Grande île. Ce qui veut dire que le mis en cause n'a même pas besoin de bouger de Bordeaux, ni se déplacer jusqu'à Madagascar pour commettre ses vils et bas instincts sur des enfants malagasy.
La Justice française a dénombré au moins cinq victimes pour les deux pays où ces faits horribles se sont déroulés. Les activités en ligne illégales de l'employé de mairie avaient été décelées par un service spécialisé de la Brigade criminelle en Hexagone. Son domicile fut perquisitionné. Cette procédure policière a permis de faire la saisie du matériel informatique, lequel aurait servi aux méfaits du trentenaire en cause.
Recueillis par F.R.