Publié dans Société

Disparition d’une jeune femme malagasy - Silence des autorités françaises

Publié le dimanche, 27 janvier 2019

Depuis le 8 janvier dernier, Ando Tiana, une jeune étudiante malagasy résidant dans une banlieue parisienne, n’a plus donné aucun signe de vie. Par conséquent, il est difficile de savoir ce qu’elle est devenue. Mais le plus inquiétant dans cette affaire, c’est ce silence des autorités françaises de la Métropole. Ni la Police, ni la Gendarmerie de l’Hexagone,  pourtant réputées pour la rapidité de leurs investigations, n’ont donc daigné à fournir les moindres informations pour que l’opinion malagasy, mais aussi locale puissent au moins avoir une idée de l’évolution de l’enquête sur cette disparition de la jeune malagasy.

La seule information qui circule actuellement est l’annonce de l’ouverture, via les réseaux sociaux, d’une cagnotte pour financer le voyage des parents de la victime en France. A propos, la mère d’Andotiana, visiblement très affectée par la situation, a fait passer un message désespéré qui fut largement diffusé le 17 janvier dernier sur une image « vidéo » de Facebook  sur son profond désarroi mais aussi tous les siens. Elle lance ainsi un appel à tous ceux qui sont susceptibles d’avoir un renseignement sur la disparition sa fille afin d’aider la famille à retrouver la victime, ou du moins obtenir des informations à son sujet.

F.R.

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Editorial

  • Opération délicate
    Le faux et l’usage de faux envahissent l’Administration, grand « A » s’il vous plaît, à savoir le domaine général qui englobe tous les secteurs d’activités de l’Etat ou de la République. Faux et usages de faux, du jargon populaire « fosika », faux diplômes ou certificats de fin d’étude gangrènent presque tous les Corps de métier de l’Administration entre autres les départements clés comme l’Enseignement supérieur, l’Education nationale, la Justice, la Régie financière, les Forces de défense et de la sécurité (FDS), etc. Les concours d’entrée dans l’administration publique sont infestés de faux dossiers. Des diplômes de Baccalauréat, de Licence, de Master I ou II se trouvent les plus menacés. Il y a eu même certains de faux diplômes de Doctorat !

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