Publié dans Société

Disparition d’une jeune femme malagasy - Silence des autorités françaises

Publié le dimanche, 27 janvier 2019

Depuis le 8 janvier dernier, Ando Tiana, une jeune étudiante malagasy résidant dans une banlieue parisienne, n’a plus donné aucun signe de vie. Par conséquent, il est difficile de savoir ce qu’elle est devenue. Mais le plus inquiétant dans cette affaire, c’est ce silence des autorités françaises de la Métropole. Ni la Police, ni la Gendarmerie de l’Hexagone,  pourtant réputées pour la rapidité de leurs investigations, n’ont donc daigné à fournir les moindres informations pour que l’opinion malagasy, mais aussi locale puissent au moins avoir une idée de l’évolution de l’enquête sur cette disparition de la jeune malagasy.

La seule information qui circule actuellement est l’annonce de l’ouverture, via les réseaux sociaux, d’une cagnotte pour financer le voyage des parents de la victime en France. A propos, la mère d’Andotiana, visiblement très affectée par la situation, a fait passer un message désespéré qui fut largement diffusé le 17 janvier dernier sur une image « vidéo » de Facebook  sur son profond désarroi mais aussi tous les siens. Elle lance ainsi un appel à tous ceux qui sont susceptibles d’avoir un renseignement sur la disparition sa fille afin d’aider la famille à retrouver la victime, ou du moins obtenir des informations à son sujet.

F.R.

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Editorial

  • Concertation nationale
    Sauf contretemps de dernier moment, la concertation nationale démarre ce jour, mercredi 10 décembre. Le colonel Michaël Randrianirina, Chef de l’Etat, l’a annoncé publiquement la semaine passée. Elle devait s’étaler sur les 24 mois à venir. Apparemment, les cinq colonels à la magistrature suprême de l’Etat envoient un message clair à la Nation et à la Communauté internationale qu’ils entendent respecter le délai imparti de deux ans annoncé sur la Place du 13 Mai et confirmé dans les déclarations officielles ou solennelles. Le Président de la Refondation de la République avec à ses côtés les quatre colonels, Hauts conseillers de la République, s’engage à organiser une concertation nationale qui devait durer deux ans au cours de laquelle sera question de l’échafaudage de l’ossature de la Refondation nationale dont les travaux se trouveront sous la houlette des quatre chefs d’église du FFKM. Un défi pharaonique et un pari de titan !…

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