Publié dans Société

Disparition de la jeune Andotiana en France - Son corps sans vie retrouvé

Publié le jeudi, 14 février 2019

Après 47 jours de suspense total  mais aussi d’espoir, la triste nouvelle de la mort de la jeune malagasy Andotiana Andriamampianina (23 ans) dans la banlieue parisienne, tombe comme un couperet ! Le corps d'Ando a été finalement  retrouvé par la police le lundi 
4 février dans la Seine, à Bougival, proche de Rueil Malmaison, où elle résidait.  Et il a fallu  10 jours pour ses proches et le pays entier pour qu’ils apprennent finalement à leur tour la très mauvaise nouvelle. C’est en effet mercredi dernier que la police a notifié la famille de la découverte du corps d’Andotiana. Pour le moment encore, la police française n’a divulgué aucun autre complément d’information sur la cause, ni les circonstances exactes du décès d’Ando. La police française promet de continuer toujours l'enquête de manière rigoureuse.



Le déchirement  de la séparation et  de l’ultime adieu      

La triste nouvelle a donc fait le tour des réseaux sociaux depuis hier. C’était en ces  quelques mots, de brèves mais très émouvantes phrases que les membres de l’entourage de l’étudiante a fait savoir publiquement les tristes faits : « ANDO A TIRÉ SA RÉVÉRENCE.  A tous, Depuis la disparition de Ando il y a un mois de cela, nous avons fait tout notre possible pour la retrouver. Malheureusement, c'est avec le coeur lourd que nous vous annonçons que notre chère Ando nous a quitté.  Continuons de porter ses parents ainsi que sa famille en prière, pour que le poids de cette douloureuse perte leur soit moins lourde. Nous communiquerons plus tard les détails et la suite pour le rapatriement de son corps », ¬a-t-on pu lire dans les réseaux sociaux. Dire que deux semaines auparavant, précisément le 30 janvier dernier, le père d’Andotiana s’est personnellement déplacé en France en vue de la retrouver justement. D’après les informations publiées sur la page Facebook « Alerte disparition Ando », son père  avait encore l’espoir. Portée disparue depuis le  8 janvier dernier, date où son téléphone a émis un dernier signal près d’une station de RER à Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine), Andotiana n’a plus donné de nouvelles. Plusieurs actions de mobilisation ont été effectuées au cours de ces derniers jours.
  F.R./Kanto R.

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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