Publié dans Société

Mois de la photo à Paris - Pierrot Men choisi par les organisateurs

Publié le vendredi, 27 septembre 2019

A la fin de l'année dernière, l'exposition de Pierrot Men au Musée du quai Branly-Jacques Chirac à Paris s'est démarquée. Ce qui fait qu'il revient aujourd'hui à Paris pour la 8ème édition de Photo Saint Germain, du 6 au 23 novembre prochain. Effectivement, retenu par un jury composé d'experts de la photographie, il exposera ainsi une vingtaine de ses photos à la Galerie Lee, au quartier Saint-Germain-des-Prés. Ce dernier étant le quartier des artistes, écrivains, musiciens, chanteurs comme l'a chanté Jérôme Randria dans son titre « Alina Paris ».

« Infiniment sensible et poétique, l'œuvre de Pierrot Men est polymorphe », nous dit Jean-Marc Tingaud, directeur artistique de l'exposition. Ce seront près de 20 000 personnes qui, au travers d'un parcours d'institutions, galeries, centres culturels, mais aussi d'hôtels et de librairies, viendront se délecter et découvrir les émotions et la beauté exprimées par les œuvres de Pierrot Men. En tout cas, ce sera un public varié qui s'attardera sur cette exposition, composée à la fois d'amateurs, de collectionneurs, mais aussi de commissaires d'exposition et d'artistes, sans oublier les critiques d'art ou encore les responsables d'institutions publiques et privées. Une aubaine pour cet artiste d'un talent inégalé.

Il faut noter que l'événement s'inscrit dans les mêmes dates du Salon de la photo et de Paris Photo, dévoilant la ville de l'amour et qui est également considérée comme la Capitale mondiale de la photographie, ayant attiré près de 120 000 visiteurs en 2018.

Rova Randria

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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