Publié dans Sport

Basketball - Africa League - Une autre possibilité d’organisation cette année

Publié le lundi, 29 juin 2020



Le président de FIBA Afrique, Anibal Manave, qui est également président du conseil d'administration de la BAL, rassure. Il a déclaré à FIBA basketball qu'il était encore possible d'organiser la ligue cette année : « Nous voulons évidemment que cela se fasse, mais nous voulons préserver le bien-être de tout le monde. Si la BAL devient impossible cette année, nous devrons certainement prendre une décision pour l'année prochaine. »

Huit clubs africains devraient se préparer pour la phase finale de la première éditionde la Basketball Africa League (BAL), mais la pandémie du Covid-19 a stoppé net cette compétition.

La compétition devait se dérouler du mois de mars au mois de mai dans six pays africains,  dont le Final Four étant prévu ce mois de juin à Kigali Rwanda.

« Ce que nous devons faire, c'est reprendre le projet BAL dans les prochains mois, peut-être en septembre. Certains disent que la pandémie du Covid-19 pourrait atteindre son pic en Afrique au mois de septembre, mais il n'y a aucune preuve de cela, et la bonne nouvelle est que la plupart des pays continuent à lutter contre cette pandémie. Nous espérons que la première édition de la BAL aura lieu en 2020. Il est important de donner un signe de confiance à tous les acteurs concernés. Cela inclut les clubs, les fédérations locales, les sponsors et le public. Et la meilleure façon de leur donner confiance est de lancer la compétition », rajoute le président Anibal Manave sur le site de la FIBA.

« Pour la première saison de la BAL, nous visons une moyenne de 5 000 spectateurs par match. Ce chiffre pourrait atteindre 8 000 avec le temps. Ce chiffre inclurait les fans en déplacement. Pour ceux qui ne peuvent pas voyager, nous espérons créer des plateformes de diffusion. Mais nous devons nous assurer que les fans, les joueurs, les officiels et tout le monde soient en sécurité. Cette première année est une année expérimentale pour la BAL, elle nous permettra d'apprendre et d'améliorer la compétition dans les années à venir. Nous allons investir dans la qualité pour attirer les fans du monde entier à regarder nos matchs. La BAL, c'est bien plus que du basket-ball», a-t-il conclu.
Recueillis par E.F.


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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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