Publié dans Sport

Marco Ilaimaharitra - « Je ne me mets pas de pression avec un départ »

Publié le dimanche, 12 juillet 2020

L’international malagasy Marco Ilaimaharitra poursuit sa préparation spécifique, après avoir subi une opération fin mai pour soigner une pubalgie. Depuis un peu plus d’une semaine, le milieu de terrain du SC Charleroi a multiplié les exercices de base. Il devrait reprendre les séances d’entrainement collectif avec ses coéquipiers dans les prochaines semaines. Le match d’ouverture du championnat de Belgique de football est prévu pour le 8 août, et opposera le club de Bruges aux SC Charleroi de Marco Ilaimaharitra.

 

A l’issue d’une saison accomplie, le milieu défensif du Sporting Charleroi est évalué à 4 millions de dollars par transfertmarket. Ce qui fait de lui, le footballeur malagasy le plus cher sur le tabloïde du marché. Il devance ainsi le capitaine des Barea, Abel Anicet Randrianantenaina, estimé à plus de 2 millions d’euros et le défenseur international qui évolue aux Etats-Unis, Romain Métanire, évalué à plus d’un million d’euros.

 Marco Ilaimaharitra a été l’un des hommes forts de Charleroi, il ne se met pas encore la pression de quitter son club. Associé à Morioka, Marco Ilaimaharitra a évolué à un très haut niveau, permettant aux Zèbres d’arracher la troisième place ! Vrai patron du Sporting la saison dernière, l’international malagasy de 24 ans prend son temps pour revenir à son niveau et ne veut pas brûler les étapes avant son retour dans l’équipe. Marco Ilaimaharitra s’est livré, entre rééducation, mercato et statut d’indéboulonnable. Sur la manette des clubs de haut niveau en Europe, le milieu de terrain malagasy préfère d’abord se focaliser sur le retour de sa forme. Par ailleurs, son club ne semble pas encore être prêt à livrer sa pièce maitresse pour la prochaine saison.

Recueillis par E.F.

 

 

Fil infos

  • Groupe Sodiat - Tous les comptes bancaires de ses sociétés bloqués ! 
  • Coopération bilatérale - D’Antananarivo au Grand Sud, Paris lance des projets inclusifs à Madagascar
  • APMF - Le personnel lance un ultimatum
  • Assises des partis politiques - Une transition de trois ans et un partage de sièges
  • Antananarivo sous les eaux - L’héritage de nos choix collectifs
  • Perquisitions abusives et musclées - Les Forces de l’ordre invoquent la sûreté de l’Etat
  • RN7 en chantier  - Le calvaire jusqu’à la fin des pluies
  • A défaut d’armes et d’argent cachés - Pillage et vandalisme à Mantasoa
  • Lutte contre la corruption - L’ENMG plaide pour une transmission rapide des preuves
  • Groupe Sodiat - Des comptes réduits à zéro
Pub droite 1

Editorial

  • Opération délicate
    Le faux et l’usage de faux envahissent l’Administration, grand « A » s’il vous plaît, à savoir le domaine général qui englobe tous les secteurs d’activités de l’Etat ou de la République. Faux et usages de faux, du jargon populaire « fosika », faux diplômes ou certificats de fin d’étude gangrènent presque tous les Corps de métier de l’Administration entre autres les départements clés comme l’Enseignement supérieur, l’Education nationale, la Justice, la Régie financière, les Forces de défense et de la sécurité (FDS), etc. Les concours d’entrée dans l’administration publique sont infestés de faux dossiers. Des diplômes de Baccalauréat, de Licence, de Master I ou II se trouvent les plus menacés. Il y a eu même certains de faux diplômes de Doctorat !

A bout portant

AutoDiff