Publié dans Sport

Jeux des îles des Jeunes - Madagascar brille par son absence

Publié le vendredi, 02 décembre 2022



Les jeunes sur le qui vive. À sept mois des Jeux des îles de l’Océan Indien 2023, en juillet à Madagascar, les (plus) jeunes sportifs (14-17 ans) de la zone auront droit à la Commission de la Jeunesse et des Sports de l’Océan Indien 2022 (CJSOI), 12e du nom (décembre 2022). Un événement qui a connu plusieurs reports successifs suite à la pandémie de Covid-19
Du 4 au 12 décembre prochains se tiendront les Jeux des Jeunes à l’île Maurice, réunissant les délégations des membres de la Commission à la Jeunesse et au Sport de l’océan Indien (CJSOI), à savoir La Réunion, Mayotte, Dijbouti, île Maurice, les Seychelles et Les Comores.
Si toutes les délégations des six îles participantes sont déjà arrivées à l’île Maurice, Madagascar brille par son absence. D’ailleurs, aucune communication n’a fuité de la place Goulette à Ambohijatovo, concernant notre participation. 4 ans après les Jeux des jeunes à Djibouti en 2018, les  douzièmes Jeux comptent environ 900 jeunes âgés de 14 à 17 ans qui en découdront  à des compétitions sportives et d’activité culturelle.
Ils concourront dans onze disciplines sportives au lieu de neuf initialement envisagées en octobre dernier. Le football sur herbe sera sans aucun doute le grand absent. Les compétitions auront lieu dans sept sites.
L’athlétisme, la natation, la pétanque et le triathlon à Côte d’Or, le futsal au Phoenix Gymnasium, le tennis de table à Beau Bassin, la boxe et l’haltérophilie à Vacoas, le tennis à Petit Camp, la voile à Pointe Jérôme et le beach handball à Blue Bay. Enfin, auront lieu aussi des compétitions e-sports ainsi que des concours sur le plan culturel, e-sport, assemblée des jeunes, spectacle théâtrale et musical pour la partie culturelle. La cérémonie d’ouverture aura lieu le 4 décembre. Les jeux se termineront par une cérémonie de clôture.
A noter que la délégation mahoraise sera composée de 92 participants et 135 pour les réunionnais.

Elias Fanomezantsoa

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Editorial

  • Un phare
    « Je voudrais être un phare qui voulais illuminer les démunis et leur apporter la lumière », telle est la déclaration, érigée en confession de foi, de Harilala Ramanantsoa, porte étendard n° 7 de l’IRMAR – UPAR aux communales et municipales d’Antananarivo-Renivohitra prévues le 11 décembre prochain. A l’issue d’un culte d’action de grâce et de louange au temple du Palais de Manjakamiadana, Harilala Ramanantsoa répond à la question des confrères pourquoi a-t-elle choisi ce site historique pour organiser un culte qu’elle devait déclarer ainsi. Qu’est-ce qu’un phare ? Le Robert le définit en ces termes « une tour élevée sur une côte ou sur un îlot, munie à son sommet d’un feu qui guide les navires ». Sur un véhicule, c’est un feu à longue portée pour offrir la meilleure visibilité la nuit au conducteur.

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