Les Makis de Madagascar de rugby à 7, masculine s'apprêtent à relever un défi de taille : le Challenger Series 2025. Cette compétition internationale, qui se déroulera du 26 février au 10 mars à Cape Town, en Afrique du Sud, représente une opportunité unique pour les rugbymen malagasy de se mesurer aux meilleures équipes du monde et de faire briller le rugby malagasy sur la scène internationale.
Un groupe relevé pour les Makis. Pour cette édition, les Makis ont été placés dans le groupe D, aux côtés de Hong Kong, Chine et du Canada. Un groupe qui s'annonce difficile, avec des adversaires expérimentés et habitués aux compétitions internationales. Cependant, l'équipe malagasy ne manque pas d'atouts. Son jeu rapide et explosif, qui a déjà surpris de grandes nations du rugby, pourrait bien être une arme redoutable pour les Makis.
Depuis le 22 janvier 2025, les Makis Seven sont en pleine préparation au vu de ce rendez-vous important. Les joueurs s'entraînent intensivement au stade Maki d'Andohatapenaka, avec des séances biquotidiennes supervisées par leur staff technique. Au programme, travail physique, tactique et technique, afin d'être prêts à relever le défi du Challenger Series.
Une étape cruciale pour le rugby malgache. Cette participation au Challenger Series est une étape cruciale dans la progression de l'équipe de rugby à 7 de Madagascar. L'objectif est clair, se mesurer aux meilleures équipes mondiales, réaliser une performance de haut niveau et promouvoir le rugby à 7 malgaches sur la scène internationale. La Fédération Malagasy de rugby, soutenue par le ministère de la Jeunesse et des Sports, met tout en œuvre pour garantir que les Makis soient dans les meilleures conditions pour représenter Madagascar avec fierté et détermination.
Derrière les Makis, tout un pays retiendra son souffle. Les Malagasy sont invités à soutenir massivement leur équipe nationale dans cette aventure humaine et sportive. Les Makis ont besoin de leurs supporters pour aller chercher la qualification et faire retentir l'hymne malagasy à Cape Town.
Elias Fanomezantsoa