Publié dans Sport

Comité olympique - Siteny réélu pour un quatrième mandat

Publié le mardi, 22 janvier 2019

Après une campagne sans suspens, le président sortant du comité olympique malagasy Siteny Randrianasoloniaiko est réélu à sa propre succession pour un quatrième mandat qui le maintiendra à la tête du comité olympique national jusqu’en 2023.

Selon les résultats annoncés par la commission électorale après le dépouillement du vote, Siteny Randrianasoloniaiko a remporté l’élection qui s’est tenue à l’hôtel Eden Palm Tanambao Toliara. Etant le seul candidat, il a été voté par acclamation à 25 voix par les 25 fédérations présentes à l’élection. 29 fédérations membres du comité directeur étaient prévues prendre part au vote mais quatre disciplines étaient absentes et toutes excusées d’après la commission électorale. Il s’agit de la discipline pétanque, équestre, paralympique et le football.

Cinq nouvelles fédérations ont participé au vote durant l’élection à savoir le pentathlon dirigé par son président Maminirina Emile Andrianantenaina, le bodybuilding présidé par Vernier Georgi, le tir à l’arc avec Luc Findrana comme président ,la gymnastique menée par Mamy Blandin Ravelonandro dit Mamy Gotso et l’escrime sous l’égide de Mickael Rakotondramanana.

Pour le nouveau staff du comité olympique malagasy, la priorité des priorités est de se focaliser sur la qualification des Jeux olympiques de 2020 pour les disciplines porteuses d’espoir et de médaille telles que les Jeux olympiques de la Jeunesse et les Jeux des îles de l’Océan indien. « J’honorerai la confiance de ces fédérations qui m’ont accordé un quatrième mandat. Je ferai tout ce qui est en mon pouvoir pour le développement du sport olympique malagasy. Une solide collaboration devrait avoir lieu entre le MJS et le COM pour assurer le bon développement du sport à Madagascar. D’ailleurs, une mise en place des infrastructures sportives de haut niveau dans toutes les régions est prévue dans l’Initiative pour l’Emergence de Madagascar. », relate Siteny Randrianasoloniaiko.

Elias Fanomezantsoa

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Editorial

  • Secteur en panne !
    En mauvaise posture, le secteur éducatif malagasy va de mal en pis. Tel un navire en panne, en Haute mer, le moteur bloqué, l’équipage perd le contrôle. Le bâtiment tangue de gauche à droite. A la dérive, il risque le naufrage. A l’époque coloniale, l’instruction publique représentait l’un des principaux points d’achoppement du pouvoir en place. A l’aube de l’occupation, le Général Gallieni, premier gouverneur général de Madagasikara, se heurtait à une difficulté majeure : déterminer quel type d’instruction ou quel modèle d’enseignement, devrait être appliqué dans la colonie (Madagasikara) ? Un enseignement élitiste, de haut niveau, ou un enseignement élémentaire, rudimentaire ? Et encore « quelle langue d’enseignement adoptée ? » Deux grandes orientations ont été primées par le Général gouverneur : dispenser un enseignement pour un cursus éducatif de haut niveau pour les enfants des colons. D’où la création des lycées à Antananarivo, le lycée Gallieni (1908) et…

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