Publié dans Sport

Volley-ball-25eme édition de la CCZ7 - Une rude bataille à l’horizon

Publié le mercredi, 30 janvier 2019

La 25eme édition de la Coupe des clubs champions Zone 7 (CCZ7) prévue du 3 au 10 février à Madagascar, aura une ambiance festive cette année. Côté compétition, les équipes malagasy se feront le plaisir de garder le titre de la grand-messe régionale du volleyball à domicile. Plus facile à dire car tout le monde sait que gagner le titre ne sera pas une mince affaire pour les hôtes. Le tenant du titre masculin les Swim Blue fera le déplacement dans la Grande île avec la ferme intention de garder son bien. Et les Mauriciens du Faucon Flacq Camp-Ithier entament une rude préparation dans le même but de gagner le titre que les Malagasy.

Chez l’équipe masculine, Madagascar aura 4 représentants tandis que Maurice aura trois représentants en masculin avec le champion, le Quatre-Bornes VBC et Trou-aux-Biches Sharks. Au total, ile Maurice aura huit équipes en lice tout comme Madagascar. Au total 24 équipes issues des 5 pays,   à savoir Madagascar (pays hôte), Maurice,  Mayotte, Seychelles et Comores seront attendues dans le pays durant les jours de compétition. Les équipes réunionnaises seront une nouvelle fois absentes du Championnat des clubs de la zone 7 (CCZ7) le mois prochain (3-10 février) à Madagascar.Pour la FMVB tous les préparatifs sont déjà en place. La fédération est à pied d’œuvre pour résoudre les derniers détails pour l’hébergement des délégations étrangères.

Les Réunionnais pointent du doigt la FMVB

Dans un entretien accordé au Quotidien de la Réunion le week-end dernier, le président de la Fédération française de volley-ball (FFVB), Eric Tanguy, a fait une virulente sortie contre KayseeTeeroovengadum, président de la zone 7, Jocelyn Andriamandimbisoa, président de la Fédération malgache de volley-ball (FMVB) et Amr Elwani, président de la Confédération africaine de volley-ball (CAVB).«J’ai donc essayé de contacter la zone 7 et la fédération malgache mais nous n’avons reçu aucune réponse. Et depuis, je n’ai plus aucune nouvelle de Madagascar alors que nous étions en contact régulier depuis un an. J’ai l’impression que M. Andriamandimbisoa a subitement décidé de retourner sa veste», regrette  Florence Avaby,  présidente de la Ligue réunionnaise de volley-ball (LRVB), « Il faut rappeler que c’est la ligue réunionnaise qui avait décidé de ne pas prendre part au tournoi à la suite des problèmes survenus lors des Jeux des îles de l’océan Indien de 2015 à la Réunion dans le sillage de l’exclusion de Myriam Kloster de la sélection féminine réunionnaise », a précisé notre interlocuteur.Et d’ajouter que la ligue de Mayotte a reçu une invitation de la zone 7 depuis décembre 2018. 

Recueillis par E.F.

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Editorial

  • Secteur en panne !
    En mauvaise posture, le secteur éducatif malagasy va de mal en pis. Tel un navire en panne, en Haute mer, le moteur bloqué, l’équipage perd le contrôle. Le bâtiment tangue de gauche à droite. A la dérive, il risque le naufrage. A l’époque coloniale, l’instruction publique représentait l’un des principaux points d’achoppement du pouvoir en place. A l’aube de l’occupation, le Général Gallieni, premier gouverneur général de Madagasikara, se heurtait à une difficulté majeure : déterminer quel type d’instruction ou quel modèle d’enseignement, devrait être appliqué dans la colonie (Madagasikara) ? Un enseignement élitiste, de haut niveau, ou un enseignement élémentaire, rudimentaire ? Et encore « quelle langue d’enseignement adoptée ? » Deux grandes orientations ont été primées par le Général gouverneur : dispenser un enseignement pour un cursus éducatif de haut niveau pour les enfants des colons. D’où la création des lycées à Antananarivo, le lycée Gallieni (1908) et…

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