Publié dans Sport

Omnisport-Préparation des Jeux des iles - Bilan après le premier regroupement

Publié le mercredi, 17 avril 2019

Le premier regroupement des athlètes présélectionnés prendra fin ce mercredi après presque quatre semaines de préparation. Le lancement officiel a été donné le samedi 24 mars. Les athlètes sont répartis dans les 14 disciplines en vue des Jeux des iles de l’Océan indien qui se tiendront à l’ile Maurice, du 19 au 28 juillet prochain. Il s’agit de l’athlétisme, le badminton, la boxe, le cyclisme, le football, l’haltérophilie, le judo, la natation, le rugby, le lawn tennis, le tennis de table, la voile et le volleyball. Treize disciplines suivent leur regroupement dans la Capitale, à part le beach volley, la voile et le football. Ce dernier n’est toujours pas en regroupement car les joueurs sont retenus par leur club respectif qui dispute encore le championnat national qui est en cours jusqu’en juin.

Le premier bilan du ministère de tutelle est donc attendu ce jour  avant que les athlètes rejoignent leur foyer respectif. Les athlètes suivaient leur entrainement dans différents sites de compétition tels le Palais des sports, le gymnase d’Ankorondrano, l’Académie nationale des sports et pour le rugby à VII, ses joueurs suivent l’entrainement sur le terrain du 4FA Alasora. 
Le bilan est positif. Ce regroupement aura permis à chaque direction technique nationale de comparer le niveau des athlètes dans leurs disciplines et de déterminer la liste définitive qui suivra le deuxième regroupement qui s’étalera du 1er au 31 mai. Malgré le retard déjà encaissé par rapport aux autres iles, le Gouvernement malagasy fait le maximum pour rattraper le temps perdu. Début juin, 46 athlètes vont rallier la Chine pour une deuxième vague de stage à savoir 13 de l’athlétisme, 11 haltérophiles, 6 judokas, 6 nageurs, 6 pongistes et 4 badistes. Tous de nouveaux athlètes absents durant le voyage des 88 athlètes qui ont composé la première vague.
Elias Fanomezantsoa

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Editorial

  • Secteur en panne !
    En mauvaise posture, le secteur éducatif malagasy va de mal en pis. Tel un navire en panne, en Haute mer, le moteur bloqué, l’équipage perd le contrôle. Le bâtiment tangue de gauche à droite. A la dérive, il risque le naufrage. A l’époque coloniale, l’instruction publique représentait l’un des principaux points d’achoppement du pouvoir en place. A l’aube de l’occupation, le Général Gallieni, premier gouverneur général de Madagasikara, se heurtait à une difficulté majeure : déterminer quel type d’instruction ou quel modèle d’enseignement, devrait être appliqué dans la colonie (Madagasikara) ? Un enseignement élitiste, de haut niveau, ou un enseignement élémentaire, rudimentaire ? Et encore « quelle langue d’enseignement adoptée ? » Deux grandes orientations ont été primées par le Général gouverneur : dispenser un enseignement pour un cursus éducatif de haut niveau pour les enfants des colons. D’où la création des lycées à Antananarivo, le lycée Gallieni (1908) et…

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