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Le monde de la chanson évangélique est en deuil ! Andriatiana Rabemanantsoa, alias Ntsoa (33 ans), le chanteur du groupe VHF, a été retrouvé mort dans des circonstances horribles, qui ont trait à un homicide dont le ou les auteurs du forfait ont cherché à maquiller en un accident de la circulation. Les faits. Vers 6h du matin hier, la voiture, une Suv Hyundai Rexton qu’il conduisait et qui faisait route sur Ankazodandy où le malheureux résidait, aurait basculé dans le vide à partir d’un pont situé au PK29+ 700 de la RN3, précisément dans la localité d’Ambohimanarivo, elle-même sise dans la Commune de Talata-Volonondry, dans l’Avaradrano. Mais à en voir plus près, l’état de la victime ne laissait aucun doute sur la piste d’un assassinat : 8 plaies, occasionnées par une agression au couteau, ont été recensées sur la victime, la plupart de celles-ci ayant été observées sur sa poitrine. Le malheureux avait été même éviscéré et d’autres blessures avaient été également causées par une agression à l’aide d’un objet tranchant. C’était un usager de la route qui aurait fait en premier la découverte macabre et en a informé le poste avancé de Gendarmerie d’Ambohimanarivo, qui, à son tour a saisi la brigade de Talata-Volonondry. « L’enquête en cours tente de confirmer s’il s’agissait vraiment d’un assassinat ou d’une autre chose », nous explique une source auprès de ce bureau de la Gendarmerie à Talata-Volonondry. Du coup, la Gendarmerie et le médecin légiste du CSB II ont fait le premier constat.
En attendant confirmation, des sources concordantes affirment que Ntsoa aurait été éliminé préalablement quelque part, et avant que l’assassin n’ait fait cette mise en scène, c’est-à-dire pour faire croire à un accident, du moins à première vue. De toute façon, des traces de sang ont été trouvées dans le coffre de la voiture. Ce qui suppose que le(s) tueur(s) avaient mis son corps dedans et l’ont transporté jusqu’à ce pont où il(s) l’ont ensuite installé au volant, avant qu’ils ne poussent délibérément le véhicule dans le vide.
Sitôt après les constatations, les proches de la victime auraient demandé à ce qu’ils emmènent directement sa dépouille à leur domicile, ces derniers ayant été persuadés d’un homicide, selon une source auprès de la Gendarmerie. Dire que Ntsoa venait de fêter son anniversaire, juste la semaine dernière ! Outre le fait que le chanteur à la gloire du ciel a travaillé avec le groupe VHF, il faisait également partie de celui de Lanto Natrahinirina. Pour l’heure, il est encore impossible de savoir exactement l’emploi du temps de la victime, donc ce qu’il faisait quelques heures plutôt, et jusqu’à ce que le drame ne l’ait tragiquement emporté, ni surtout savoir si elle avait été la seule ou non à voyager dans le Rexton, l’enquête sur cette affaire n’ayant fait que démarrer.
Franck R.
 


 
 

Enième dialogue des sourds !

Publié le mardi, 08 novembre 2022

La vingt-septième « Conférence of Parties » (COP 27), lire Conférence des parties, a ouvert ses portes ce lundi 7 novembre en Egypte. En effet, des Chefs d’Etat et de Gouvernement des pays riches industrialisés et des pays pauvres, des ministres et de hautes personnalités scientifiques, des élus, des sociétés civiles et des observateurs venus du monde entier se réunissent sur le bord de la mer de Charm-el- Cheick, un très beau site touristique, le fleuron du tourisme égyptien voire africain, pour en débattre un sujet aussi troublant que d’actualité : le réchauffement climatique. Le Chef de l’Etat malagasy accompagné de son épouse conduit une délégation  sur place et compte y participer activement à tous les travaux afférents.
La problématique du climat retient l’attention des dirigeants et des chercheurs de la planète terre depuis au moins trois décennies. Un souci majeur qui pèse sur l’avenir de l’humanité. L’objectif fixé étant de casser le rythme de la montée des températures sur terre. Ce qui revient globalement à temporiser les dramatiques effets de serre en réduisant les activités industrielles à base de fossile (pétrole).
Depuis le « Sommet de la terre à Rio » en 1995, sommités politiques et scientifiques n’ont de cesse chercher les voies et issues afin de pouvoir réduire le réchauffement climatique mais toutes les tentatives échouèrent face au blocage des grands pays industrialisés qui rejettent toute démarche à écarter du moins réduire l’usage de l’énergie fossile comme étant la principale cause du problème. Les grands pays industrialisés les plus pollueurs font la sourde oreille aux requêtes des pays victimes, les moins pollueurs, les pays moins développés.
A chaque rencontre, les pays les plus exposés, dont Madagasikara, réclament des compensations pour affronter les impacts négatifs du réchauffement climatique mais en vain. En 2009, les pays industrialisés s’étaient mis d’accord de mettre la main dans la poche et s’engageaient à fournir sur table une enveloppe de 100 milliards de dollars pour soutenir les efforts des pauvres. En réalité, les pays les plus pollueurs n’honorent pas leurs engagements. Jusqu’en 2020, seuls 93 millions de dollars ont pu être réunis.
Rajoelina Andry, Président de la République, à la tête d’une délégation, fait partie de ces hauts dirigeants des pays en difficulté présents à ce rendez-vous planétaire. Il se donne la tâche de porter la voix des moins lotis lourdement victimes des aléas climatiques dus à l’imparable changement. Il lui arrive de hausser le ton de sorte que les grands pollueurs prennent conscience de leurs responsabilités et par la suite leurs devoirs envers les humains. A Charm-el Cheick, il ne manquera pas de tirer pour la énième fois la sonnette d’alarme relative au besoin urgent d’accompagner les pays moins chanceux dans leur lutte pour surmonter les défis du changement climatique.
Pour la première fois dans les annales de la COP, le dossier sur les dédommagements des victimes figure sur l’ordre du jour. Les puissants de ce monde, les plus pollueurs, ont toujours trouvé des manœuvres dilatoires afin d’écarter ce sujet gênant.
Jusque- là, les débats tournaient autour du pot à l’avantage des grands. En vrai, on assistait à un  dialogue des sourds. Les pays nantis du Nord ont bien montré leur vrai visage. C’est dans l’adversité qu’on reconnait le vrai ami.
Ndrianaivo






La patience est de rigueur, l’installation du quatrième générateur d’Andekaleka, il y a quelques semaines, aura fait des vagues auprès des usagers de la JIRAMA. Il a fallu alors à ces derniers de faire avec l’accentuation des habituelles intermittences de la distribution de l’électricité, surtout sur la couverture du Réseau interconnecté d’Antananarivo (RIA), pendant quelques jours. Après ces quatre jours de désagrément, les abonnés espéraient ainsi un retour à la normale de la situation. Cependant, les opinions fusent d’un peu partout au constat du fait que l’approvisionnement soit resté en statu quo alors que la mise en place d’un quatrième générateur à la centrale hydroélectrique d’Andekaleka devait signifier l’atténuation de l’intermittence de l’arrivée du courant dans les foyers des Tananariviens et ses environs. « Certes, l’installation du G4 est effective depuis quelques semaines. Cependant, il faudra encore attendre que les conditions hydro soient optimales pour que ce quatrième générateur soit opérationnel. Pour le moment, nous sommes encore dans la période d’étiage et le niveau d’eau dans la centrale n’est pas encore suffisant pour que le générateur fonctionne correctement. D’ici la fin du mois de décembre ou aux environs du début de l’année prochaine, ces conditions hydro seront à terme et il sera alors possible d’optimiser l’utilisation de tous les générateurs d’Andekaleka pour atténuer la situation de distribution actuelle » explique Hasina Raonivelo, directrice communication de la JIRAMA. A la responsable d’ajouter que les « coupures » actuelles sont principalement dues à des raisons techniques. Notamment de la vétusté des infrastructures de distribution comme les transformateurs, certains poteaux ou encore tout simplement le câblage.

Renfort

« Pour y remédier, l’ancien programme « Une semaine / Un quartier » a été performé en une semaine pour trois quartiers qui consiste à renforcer le système de distribution dans ces dits quartiers. Jusqu’à présent, nous comptons environs 2 800 poteaux remplacés dans ces quartiers sur un objectif final de 3 000. Pour ce qui est des programmes de coupure, nous invitons les usagers à consulter les insertions par voie de presse, sur notre page Facebook JIRAMA Actus ou encore sur les plages horaires sur les ondes radio », ajoute la directrice communication de la JIRAMA. Bref, en attendant, il faudra que ces usagers s’arment de patience car rappelons-le, la centrale hydroélectrique d'Andekaleka assure 40 % de l'électricité alimentant le RIA. La consommation sur le RIA qui est estimée à un peu plus de 250 MW. Le G4 va fournir 33,2 MW pour accroître à 120MW la puissance totale de la centrale hydroélectrique d'Andekaleka. Ce qui n’est pas encore suffisant par rapport au besoin total du RIA. Jusqu'au moment où Andekaleka retrouve son plein potentiel, les autres centrales secondaires doivent ainsi assurer le relais pour la fourniture du RIA. A l'instar de la centrale d'Ambohimanambola où travaille la société AKSAF qui est en mesure d'injecter près de 60 MW, la TAC de Jovena avec ses trentaines de MW, le CTA qui produit un peu plus d'une vingtaine de mégawatts, sans oublier la centrale thermique de Mandroseza qui génère près de 40 MW, la centrale hydroélectrique de Mandraka qui fournit seulement 16 MW, celle d'Antelomita et ses 8 MW, la centrale de Tsiazompaniry et ses 4 MW, celle de Sahanivotry avec ses 8 MW, et enfin la centrale solaire d'Ambatolampy qui fournit 12 MW.

Hary Rakoto


A la Conférence de l’ONU, à Charm el-Cheikh sur le changement climatique (COP27), le Président de la République, Andry Rajoelina a déploré l’injustice climatique dont sont victimes l’Afrique en général et Madagascar en particulier.
« Nous sommes réunis pour des réflexions en faveur des actions d'adaptation en Afrique car les signaux sont au rouge, la crise climatique nous frappe de plein fouet, la situation de notre planète se dégrade considérablement et particulièrement pour le continent africain », a plaidé le Président malagasy lors de l’évènement des leaders de la COP27 : « Accélérer l’adaptation en Afrique »,
Cet évènement vise à encourager la communauté internationale à faire de Charm El-Cheikh un moment clé qui permettra à l’Afrique de remporter une grande victoire en matière d’adaptation aux changements climatiques. La session est organisée par la commission de l’Union africaine, la Banque africaine de développement et le Centre mondial pour l’adaptation, et sous la direction du président sénégalais Macky Sall, également président en exercice de l’Union africaine. L’évènement a vu la participation de plusieurs hauts responsables dont le SG des Nations unies, la directrice générale du FMI ou encore le président de la BAD et plusieurs dirigeants africains, dont les présidents de l’Afrique du Sud ou encore du Libéria.
« Dans de nombreux pays, les feux de forêt et autres accidents ont pris une proportion drastique et Madagascar n’y échappe pas. Nous voyons des hectares et des hectares de nos forêts partir en fumée », déplore-t-il. Et de renchérir en rappelant que l'Afrique contribue à moins de 3 % des émissions de gaz à effet de serre de la planète et pourtant elle figure au premier rang des victimes du changement climatique. L’Afrique et donc Madagascar paient « le tribut des pertes et préjudice de l’injustice climatique ».
Accélérer et faciliter le déblocage des fonds climatiques
« Notre planète brûle, nos écosystèmes se dégradent mais nos actions et les financements ne suivent pas comparés à la vitesse et à l'accélération du dérèglement climatique, nos peuples souffrent et en sont les premières victimes », martèle Andry Rajoelina. En effet, le continent africain poursuit une trajectoire positive car elle a levé depuis l’année dernière 3,5 milliards de dollars d’investissements pour l’adaptation. Pour Madagascar, avec le plan Emergence de Madagascar, le pouvoir en place a investi sur des projets innovants pour se construire un avenir juste, propre et durable.
Néanmoins, « la question du financement de l'adaptation doit se trouver au cœur même de la stratégie africaine pour lutter contre les changements climatiques », estime Rajoelina. Il insiste sur le fait que les pays africains n’ont d’autres choix que d’unir leurs voix pour concrétiser l’accord de Paris et surtout de l'engagement de Glasgow qui consiste à multiplier par deux le financement international pour l'adaptation d'ici 2025. Il dit qu’il est primordial d’accélérer et faciliter le déblocage des fonds climatiques.  Une demande que le Chef de l’Etat réitèrera dans son discours prononcé à la tribune officielle de cette COP 27 hier dans le début de l’après-midi.
L.A.



Une capacité de pompage de 2.400 m3/heure avec une puissance de 275 kilovoltampères (kVA) du groupe électrogène. Les travaux de la première phase du Programme intégré d’assainissement d’Antananarivo (PIAA) ont été réceptionnés en mai 2022. Pour marquer cet événement, la station de pompage de 67 Ha a été inaugurée hier. Cette station de pompage améliore le fonctionnement du système d’évacuation des eaux usées venant des habitations des 67 Ha ainsi que le périmètre des stations de pompage d’Ambodin’Isotry et d’Ampefiloha. C’est la 5ème station de pompage d’Antananarivo, réhabilitée dans le cadre du projet. Ces  infrastructures permettent de diminuer la durée d’évacuation d’eau pendant la saison des pluies.
Le PIAA a fait également un don de matériels d’intervention, entre autres des engins, camions, outils, pick-up pour la Commune urbaine d’Antananarivo (CUA), la Société municipale d’hygiène (SMA) et l’Autorité pour la protection contre les inondations de la plaine d’Antananarivo (APIPA).
Les agglomérations d’Antananarivo sont composées de la CUA et de 37 autres Communes  périphériques. Elles abritent une population estimée à 1.320.915 habitants (statistique de 2011) avec un taux de croissance urbaine de 4,5 %. Face à cette forte croissance  de la population, les infrastructures ne sont plus suffisantes pour lutter contre les inondations, tandis que d’autres souffrent d’un manque entretien, selon le ministre de l’Aménagement du territoire et des Services fonciers, Pierre Holder Ramaholimasy. Effectivement, dans les agglomérations de la Capitale, les zones basses sont très exposées à la montée des eaux. Par ailleurs, l’absence d’un assainissement efficace des eaux usées et les lacunes au niveau de la collecte des ordures ménagères aggravent la situation en période d’inondation. Tout cela génère des conditions insalubres entraînant des maladies infectieuses, hydriques et épidémiques. Afin de faire face aux inondations, le PIAA a été ainsi conçu.
En rappel, la première phase du PIAA a été lancée en 2017 afin d’améliorer au plus vite la situation des populations défavorisées vivant dans les bas-quartiers de la ville. Les  travaux  concernent la  prise en main de la ville en matière de curage du drain principal d’Andriantany ainsi que la rénovation des vannes  d’équilibre. Il s’agit de la réhabilitation de 5 stations de  pompage, à savoir celle d’Isotry, Anatihazo, Ampefiloha, Ambodin’Isotry et 67 Ha. Les  travaux de la deuxième phase ont débuté en 2021. Ceux-ci concernent le confortement et l’embellissement des berges d’Ankadimbahoaka et d’Ankorondrano, la construction d’une chambre des vannes à Ankadimbahoaka, la réhabilitation des caniveaux tributaires du canal d’Andriantany.
Anatra R.

LA UNE DU 08 NOVEMBRE 2022

Publié le lundi, 07 novembre 2022

Comme il fallait s'y attendre, l’élection à la présidence de la Fédération malagasy de rugby a suscité beaucoup de débats hier. Cette élection tenue à Mangily Toliara n'a pas eu lieu car le quorum des 2/3 lors de l’assemblée générale élective (AGE), réclamé par le statut, n'a pas été atteint. Sur les huit ligues votant, seules quatre ont assisté à l'AGE dont la ligue Atsimo-Andrefana, inactive, Amoron’i Mania et Ihorombe ayant leur certificat de conformité et  celle de Boeny était présente mais n’en possède pas. Puisque l’élection de cette dernière a été tenue clandestinement sans le DRJS de Boeny, le représentant du ministère apte à valider la conformité de l’élection.

Depuis le début de cette année, on assiste à la recrudescence d’un phénomène à la fois alarmant qu’exacerbant dans la Capitale : les disparitions d’enfants ! Récemment, la Police a dressé un bilan de la situation. Ainsi, 200 cas de disparition ont été alors enregistrés entre le mois de janvier dernier jusque dans le courant de ce mois. Encore est-il qu’il s’agit de statistiques concernant les cas de portés disparus ayant fait les objets d’un avis de recherche. 

Une exigence du Président de la République Andry Rajoelina. Le Chef de l'Etat ordonne le respect des normes de qualité et de durabilité des infrastructures, y compris celles routières. En fait, certaines routes réhabilitées ne sont pas conformes aux normes internationales requises. C'est le cas de la « route du cratère » à Nosy Be, dont les travaux de réhabilitation sont à refaire. Pour sa part, le Laboratoire national des travaux publics et du bâtiment (LNTPB) s'assure des contrôles stricts des chantiers routiers.

Covid-19 - Le nombre de cas positifs en hausse 

Publié le lundi, 07 novembre 2022

Montée en flèche du nombre des personnes testées positives à la Covid-19. Ces deux dernières semaines, le nombre des cas confirmés ne cesse d'augmenter dans le pays. Selon la situation épidémiologique datant du 29 octobre au 4 novembre 2022, 39 nouveaux cas ont été enregistrés sur les 390 tests effectués, ce qui mène à 80 le nombre de cas actifs. 29 cas sont localisés dans la Région d'Analamanga, 8 à Atsinanana, un cas à Boeny et un autre dans la Région de Diana. Le taux de positivité est de 10 %. Cependant, aucun décès n'a été déploré pour le moment.

Fil infos

  • Infrastructures dans l’Anosy - 400 millions de dollars pour la réhabilitation de la RN10
  • ACTU-BREVES
  • Président Andry Rajoelina - Début d’une série d’inaugurations dans l’Anôsy
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  • Course pour Tsimbazaza - Une vingtaine de députés renoncent à un nouveau mandat
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  • Ministre des Affaires étrangères du Japon - En visite à Toamasina ce week-end
  • Législatives - L'Opposition peine à concrétiser ses grandes annonces
  • Mission du FMI à Madagascar - Deux appuis financiers importants sur la table des négociations
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Editorial

  • Ragôva, aux cribles !
    Le gouverneur de la Région Analanjirofo limogé ! Ceux des Régions Vatovavy et d’Itasy « licenciés ». A qui le prochain tour ? Et les observateurs de s’interroger, « le locataire d’Iavoloha serait-il en train de passer aux cribles les Ragôva ? » De notre côté, on se pose tout bas la question « avions-nous été entendus ? » A travers nos colonnes, on n’a de cesse de réclamer l’évaluation périodique de nos « vice-rois ». Non pas par méchanceté à leur égard mais dans une démarche d’esprit qui se soucie de la sauvegarde de nos fragiles ressources publiques qu’il faille gérer à bon escient et aussi pour le bon fonctionnement des affaires nationales. Lesquelles évaluations périodiques permettront d’apprécier les travaux effectués sinon de constater les manquements itératifs des dits Gouverneurs ainsi que leurs impacts dans les Régions concernées. Un Gouverneur qui fait bien son travail contribue évidemment à l’essor…

A bout portant

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