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Grand rassemblement des jeunes. « Ramose tatanta », « Ny fiverenanao », « Aza miala amin’ny cox », « tsy digniko », ou encore « Fitiavana mampitogaigy ». Toutes ces chansons « cultes » des années 2000, ayant conquis le cœur des ados de l’an 2000, sont encore aujourd'hui sur le playlist du Smartphone de certaines personnes. Avec le concert baptisé « Génération 2000’S », organisé par SR Event, les jeunes, surtout ceux de l’an 2000, vont sans doute se régaler avec des tubes 100 % nostalgiques. Une bonne nouvelle, puisque le public né de cette génération va apprécier de nouveau en « live » tous les artistes célèbres ayant marqué cette époque-là. Le rendez-vous sera donné pour le dimanche 10 juillet à partir de 14h 30 au théâtre de verdure d’Antsahamanitra.
Avec une affiche qui va faire rêver, les spectateurs pourront applaudir sur scène les artistes qui se sont absentés pendant presque deux décennies. Cependant, leurs morceaux restent encore dans les esprits. Citons entre autre le groupe Imagine, Krutam-bull ou encore 3 Isan-jato. D’autres stars de l’année 2000, toujours présents depuis leurs débuts jusqu’à aujourd’hui, viendront également animer la scène pour le grand plaisir des mélomanes, à l’instar de Tovo J’Hay, Kiady, Spy Dee, Marion, Tempo Gaigy, Zo Ryan, Kiady et d’autres invités surprises. Tout ce beau monde se relayera sur scène durant 30 à 45 minutes chacun afin de replonger dans une autre époque, le temps d'un concert festif et nostalgique.
Evidemment, ce n’est pas tous les jours que l’on voit les artistes phares des années 90 et 2000 se rassembler autour d’un tel concert inédit et exclusif. Alors, à vos agendas ! Les tickets d’entrée sont déjà disponibles notamment sur la plateforme Ticketpalce, dans les boutiques Super Music Analakely, Catt Express Antanimena, Nectar Ankaditapaka et dans les magasins Massin’. A noter que les organisateurs, par le biais de JB Prime, ont également dégoté un concours de « Cover » où chaque participant chante l’un des titres de ces stars et envoyer ensuite son œuvre à la page Facebook SR Event. De nombreux lots sont à gagner lors de ce concours.
Sitraka Rakotobe


Nos athlètes lorgnent sur les échéances internationales. Comme les athlètes valides, ceux en situation de handicap malagasy se penchent aussi sur la préparation des Jeux des îles de l’océan Indien 2023 qui auront lieu dans les pays au mois d'août de l'année prochaine.
Une grande première. Un championnat national toutes catégories et toutes disciplines handisport confondues, digne de ce nom est attendu dans la Ville d'Atsiranana au mois d'août. Les athlètes handicapés physiques et aveugles seront à l'honneur.
Sous l'égide de Madagascar Paralympics Committee (MCP), dirigé par son président Mahasolo Tsivoa Morel, toutes les ligues régionales du MCP se trouvent au taquet pour le championnat national.
A l'instar de la ligue Analamanga, après le championnat régional de la discipline pétanque, natation et athlétisme, le basket-ball sur fauteuil a eu lieu ce week-end sur le terrain de l'Académie nationale de sport (ANS) Ampefiloha. L'équipe vainqueur de la finale COSAHP 56-22 face à ASCUPSH a validé son ticket pour le basket-ball sur fauteuil.
" Ces compétitions régionales détermineront les clubs champions. Pas moins de 300 athlètes paralympiques issus de 13 ligues sont attendus à Antsiranana du 7 au 14 août prochains. Ce rendez-vous national permettra aux techniciens de déterminer les futurs membres de l'équipe nationale pour les échéances régionales et continentales notamment la Coupe des Clubs Champions Handisport de l'océan Indien (CCCHOI), les Jeux des Iles et les Jeux de la Francophonie en 2023 ainsi que les Jeux Africains. Le rendez-vous le plus proche semble bien la CJSOI qui aura lieu en décembre à l'île Maurice », explique Ghislain Laiharovelo, directeur technique national du MCP.
E.F.

Douche froide !

Publié le lundi, 27 juin 2022

Atterrissage en catastrophe. Au terme d’une envolée exaltée, le peuple malagasy dut négocier un atterrissage forcé sur … terre. Durant une semaine de voyage dans les nuages atteignant le point culminant la nuit du 25 et le jour du 26 juin, le citoyen lambda descend sur terre.
De dimanche 19 juin, Fête des pères, au dimanche 26 juin, Fête de l’indépendance, les concitoyens furent aux anges. Les pères de famille ont eu droit à des gâteries. Enfants et petits-enfants se réunirent autour du chef de clan pour célébrer ensemble la fête de celui à l’origine biologique de la famille. Papa se voit offrir des cadeaux de tout genre mais surtout apprécier l’amour de ses descendants. La Fête de pères est toujours un moment précieux afin de rendre hommage à son père et exprimer le sentiment profond de redevabilité envers lui. Papa incarne souvent la sévérité, la discipline tout en symbolisant aussi l’amour et le souci pour que ses fils et filles, petits-fils et petites-filles, soient des dignes relèves dans l’avenir.
Après ce moment précieux de dimanche 19 juin et à l’entame de la semaine « sacrée », le lundi 20 juin, les réjouissances de la Fête commencent déjà. Des podiums s’érigent. L’air de la fête est bel et bien là. Dans les départements ministériels ou certaines entreprises, on distribue des vivres et des jouets aux employés. Les enfants et les personnes âgées sont gâtés par des organisations de bonne volonté. Bref, c’est la fête !
Le point culminant des festivités résidaient, naturellement, le soir du 25 juin où d’imposants et grandioses feux d’artifice se déroulaient à Anosy. Le tout Tanà tenait à assister et à admirer les féeriques feux qui emportaient parents et enfants en extase. On se demande, y a-t-il encore quelqu’un à la maison ? On a l’impression que tout le monde sortait dans la rue. La circulation fut bouchée littéralement surtout sur tous les axes menant à Anosy et vers le Rova, le Palais de la Reine, site privilégié pour apprécier dans toute leur beauté les feux d’artifice. Sans faute, tout le monde fut aux anges ! Le lendemain, le 26 juin, le clou de la Fête, le grand Stade Barea vibrait de la parade militaire de l’Armée qui, d’ailleurs, fêtait en même temps son soixante-deuxième anniversaire. Moment par excellence au cours duquel dirigeants, forces vives et le peuple s’unissent autour d’un repère national.
L’Etat a mis le paquet. Depuis la pandémie de Covid-19, en 2020, c’est la première occasion au cours de laquelle le pays a pu organiser des cérémonies publiques d’envergure nationale sinon solennelle. Des critiques fusent notamment de la part du clan opposé au régime.  En gros, les dirigeants en place gaspillent, selon les détracteurs, la vulnérable Caisse de l’Etat. On aurait dû, à cause de la misère du pays, modérer les dépenses des festivités. Soit ! Le pays est pauvre mais au-delà de cette considération qui n’est pas à négliger il existe tout de même d’autres paramètres tout aussi importants. Entre autres, il ne faut pas priver le commun des mortels le droit de célébrer dans la joie la Fête nationale.
Certes après la fête, les difficultés de la vie (inflation, délestage, etc.) ont accueilli tout le monde en douche froide.


Depuis quelques semaines, les températures minimales et maximales ont considérablement chuté à Madagascar, notamment sur les Hautes terres. Le week-end dernier par exemple, la ville d’Antsirabe a enregistré une température minimale de 2° C. Effectivement, les données recueillies par le service météorologique sis à Ampandrianomby ont indiqué que le pays a connu cette année une période hivernale plus intense par rapport aux années précédentes. Malheureusement, cette période froide va encore s’étendre du mois de juillet jusqu’en août. Particulièrement pour cette semaine, des conditions météorologiques purement hivernales sont attendues sur la Grande île. « Un temps venteux marquera cette semaine avec des conditions météorologiques de type purement hivernal. Des pluies intermittentes sont prévues le long de la côte Est. Un temps nuageux à couvert avec des pluies fines et/ou crachins locaux sont attendus sur le versant oriental des hautes terres, pouvant parfois atteindre la partie Est de l’Itasy », a rapporté la Direction générale de la Météorologie.  Et d’ajouter qu’ailleurs, le temps sera clément.
En ce qui concerne les températures, une baisse passagère des valeurs maximales sera attendue sur la partie centrale et le sud du pays. Ailleurs, aucune variation significative n’est à signaler. Les valeurs minimales varient de 5° à 22° C tandis que les maximales seront comprises entre 15° et 32° C. En outre, Météo Madagascar préconise une vigilance accrue pour les usagers de la mer. Cette mesure reste valable jusqu’à vendredi. De plus, les alizés resteront forts (50/70 km/h avec des rafales), associés à des vagues de 3 à 5 mètres de hauteur. La sortie en mer est ainsi déconseillée. Les usagers maritimes sont donc priés de se conformer aux prescriptions émises par les autorités locales.
Temps couvert
Particulièrement en cette matinée, le vent soufflera assez fort quasiment sur toute l’île. Le type de temps hivernal est totalement de retour. Des pluies intermittentes persistent toujours tout au long de la côte  Est de Madagascar, allant de Sambava jusqu’à Fitovinany. Un temps couvert à graduellement nuageux, accompagné des crachins locaux sont prévus sur la partie Est des Hautes terres. Le soleil prédominera sur le reste du pays. Et cet après-midi, des pluies localement modérées sont attendues sur Sambava, Antalaha, Analanjirofo, Atsinanana, Vatovavy et Fitovinany. Un temps couvert, accompagné des crachins locaux sont prévus sur Atsimo-Atsinanana, Alaotra-Mangoro, la partie Est de Sofia ainsi que le versant Est des Hautes terres. Le reste du pays profitera d’un temps généralement ensoleillé. Demain, le temps hivernal dominera sur la partie Est de Madagascar. Des pluies faibles intermittentes continueront tout au long de la côte Est. Un ciel couvert, accompagné de crachins locaux seront probables sur Atsimo-Atsinanana, Alaotra Mangoro, la partie Est de Sofia ainsi que les Hautes terres. Le soleil dominera sur la partie ouest.
Recueillis par K.R.


Les portes du département central du ministère des Affaires étrangères à Anosy restent fermées. Hier, les syndicats du personnel et des agents au sein du ministère des Affaires étrangères ont décidé de poursuivre leur mouvement de grève. Ils entament leur cinquième jour de grève ce mardi. Aucune solution ne semble être pour l’heure en vue. Les agents grévistes affirment être toujours ouverts à tout dialogue. Cependant, ils affirment vouloir changer d’interlocuteur. Les grévistes souhaitent dorénavant discuter directement avec le Premier ministre chef du Gouvernement. Le dialogue entre les syndicats et la hiérarchie au niveau du ministère des Affaires étrangères a été rompu en raison de l’incapacité de ces derniers à jouer les médiateurs, affirment des grévistes. Après avoir vainement attendu une réponse à leurs revendications, les agents du département central du ministère des Affaires étrangères ont décidé de faire la grève vendredi dernier. Les syndicats ont déposé un préavis de grève mercredi dernier. Lesdits syndicats des agents et des corps du MAE revendiquent, entre autres, "la régularisation de leur indemnité de représentation acquise depuis 2018". Un service minimum est toutefois annoncé pour les questions essentielles notamment les cas d’évacuation sanitaire, de rapatriement de dépouilles mortelles et de sécurité. Les services chargés de la délivrance des passeports et des visas sont mis en suspens. Les discussions ont déjà eu lieu avec les responsables, a entendre les explications. Dans une déclaration faite en présence notamment de représentants de la fédération des grands corps de l'Etat, les syndicalistes soutiennent que le mouvement est mu uniquement par raisons de gouvernance et d'administration. Ils démentent tout dessous politique et affirment ne pas faire l'objet de manipulation quelconque.
Recueillis par L.A.


Avec la notion de reprise post-Covid, martelée à tout bout de champ et la haute saison qui approche, le secteur du tourisme, de l’hôtellerie et de la restauration (THR) doit se préparer à une reprise effective après les années de crise, ainsi qu’à améliorer le tableau des performances. Cependant, le manque de mains-d’œuvre qualifiées se rencontre à tous les niveaux. Par ailleurs, les emplois touristiques se caractérisent par le fait que beaucoup d’entre eux sont saisonniers et connaissent un fort taux de turn-over. Il en résulte que la plupart de ces emplois ne sont pas très qualifiés, d’autant plus que le système de formation n’offre pas de qualifications très affirmées. Pourtant, le secteur du tourisme représente un des leviers du développement économique, social et environnemental du pays. Grâce à son poids économique, il est à l’origine de 4,6 % d’emplois directs et 13,3 % d’emplois indirects créés ainsi que de 5,9 % du PIB. « Le manque de professionnalisme, l’inadéquation des offres de formation avec les besoins des entreprises et la difficulté d’avoir du personnel compétent représentent autant d’obstacles au développement que de défis à relever pour Madagascar, et en particulier pour le secteur THR. Ainsi, des questions se posent : y aura-t-il assez de mains-d’œuvre pour assurer la période estivale ? Combien d’établissements pourront tenir face à cette pénurie inédite ? », explique un manager d’hôtel saisonnier dans le nord du pays.
Système D
Ainsi, avec le peu de formations proposées dans le secteur THR, le gérant ou propriétaire se charge lui-même de former son personnel sur le tas. Un contexte désavantageux pour les établissements qui misent leur chiffre d’affaires uniquement durant la haute saison qui approche à grand pas. De ce fait, ce secteur souffre du manque de qualité de service et de compétence au niveau de ses ressources humaines. Face à ce contexte, le système D s’impose chez les établissements à envergure modeste. « On fait travailler les petits neveux, les filles et fils des copains, bref, ceux qui prendront peut-être la relève de ce métier que tout le monde avoue difficile autant sur le plan psychologique que physique », confie un propriétaire de bistrot dans le sud-est du pays. Le défi consiste donc à redynamiser ce secteur en renforçant les offres de formation continue et professionnalisante répondant aux besoins des professionnels du secteur. Par ailleurs, des règles particulières doivent être respectées, à savoir la forme du contrat de travail, les conditions de travail adaptées, la rémunération minimale, l’indemnité de congés payés en fin de contrat, le temps de travail. D’autres professionnels proposent aussi que les rémunérations perçues par le jeune salarié puissent même être exonérées d’impôt sur le revenu en guise de mesure d’incitation.
La Rédaction


Des trafiquants pris sur le fait ! La branche du ministère de l’Environnement et du Développement durable (MEDD) à Antsalova, Région Melaky a intercepté 3 hommes qui transportaient à bord d’une charrette une quantité importante de bois de palissandre samedi dernier. Les bois en question auraient été fraîchement coupés dans la forêt d’après les informations communiquées par le ministère.
Cette interpellation a été effectuée grâce à des signalements par des personnes de bonne volonté qui sont soucieuses de la lutte contre les trafics des ressources naturelles. Selon toujours les informations, ces trois individus font partie d’un réseau de trafiquants de bois palissandre qui approvisionne la Région Melaky. Ils opèrent depuis longtemps mais sont finalement tombés dans le piège des agents du ministère.
Un ancien élu soupçonné
A part ces trois personnes, un ancien élu de la Région est également au cœur des soupçons dans cette affaire. L’issue de l’enquête, qui est actuellement menée sur les lieux, permettra de déterminer la responsabilité du concerné. Au terme de l’enquête, les trois suspects seront traduits devant la justice au même titre que les autres complices impliqués dans ce réseau de trafic de bois précieux. D’après le MEDD, tous devront subir les peines à la hauteur de leur forfait et ce conformément à l’application de la politique de « tolérance zéro ».
Pour rappel, le palissandre est classé parmi les bois précieux dont l’exploitation et l’exportation restent prohibées à Madagascar, pour le moment. Une interdiction qui s’applique également pour le bois d’ébène et le bois de rose. Malgré les interdictions, les trafics continuent. Pas plus tard que la semaine dernière, deux boutres et une chaloupe transportant du palissandre et du bois dur au nombre de 161 ont déjà été saisis. Ces bois proviendraient de Besalampy et devaient être transportés à Mahajanga. Le ministère incite ainsi les citoyens à fournir des informations susceptibles d’aider dans cette lutte contre le trafic de ressources naturelles.
La Rédaction

Retour en force après 2 années d’absence. L’ONG « Médecins de l’Océan Indien » (MOI) reprend son habituelle mission humanitaire médico- chirurgicale et dentaire à partir de cette semaine et ce jusqu’au 6 juillet prochain. Brickaville accueille pour la première fois l’évènement, avec 55 missionnaires mobilisés. Cette fois-ci, 10 000 à 12 000 patients bénéficieront d’une prise en charge gratuite selon leurs besoins, depuis les consultations jusqu’aux interventions chirurgicales, en passant par les soins, médicaments et analyses.

87 %. Les chiffres portant sur le nombre de nouvelles contaminations à la Covid-19 ne cessent d'augmenter. Cette situation épidémiologie est beaucoup plus alarmante dans la Région d'Analamanga. Depuis le début de cette épidémie sur le territoire malagasy, elle a été toujours en tête de liste en matière de nouveaux porteurs du virus. Du 18 au 24 juin dernier par exemple, sur les 372 nouveaux cas confirmés positifs au coronavirus, 324 sont localisés dans l'Analamanga, soit 87 % des patients identifiés.

26 juin 2022 - Mahamasina renoue avec le public

Publié le dimanche, 26 juin 2022

Après deux années de restrictions sanitaires liées à la Covid-19, l’ambiance du 26 juin à Mahamasina était de retour. Déjà que le Stade Barea à Mahamasina était plein à craquer durant le défilé militaire programmé dans la matinée, le public, venu en masse dans l’après-midi, espérait encore trouver des places à l’intérieur. Pour ceux qui sont venus, leur motivation porte non seulement sur l’amour de la patrie, mais aussi la joie de retrouver cette ambiance musicale et culturelle à la malagasy.

Fil infos

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Editorial

  • Menace permanente
    Un amateur du cruciverbisme risque une fois de tomber sur un énoncé « menace permanente » un mot de dix cases : « INSECURITE ». On ne cesse point d’insister sur la nécessité primordiale et cruciale d’évoquer les problèmes récurrents liés à l’insécurité qui règne dans le pays qui est justement une menace permanente pour les hommes et leurs biens.

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