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« Les déclarations de naissance doivent être faites dans les trente jours de la naissance ». L’article 45 de la Loi N°2018-027 relative à l’état civil le précise. Cette nouvelle législation abroge ainsi celle n°61-025, dont l’article 24 stipule que les déclarations de naissance doivent être faites dans les douze jours de la naissance.

La lutte contre la Covid-19 se poursuit en Afrique notamment à travers la vaccination contre la Covid-19. D’après l’Organisation mondiale de la santé (OMS), Madagascar figure parmi les dix pays d'Afrique les moins vaccinés contre la Covid-19. Leurs données ont indiqué que le Burundi n'a vacciné que 0,1% de sa population, la RD Congo (2,6%), le Cameroun et Madagascar (4,5%), le Sénégal (6,3%), le Mali (6,6%), le Burkina Faso (7,4%), le Malawi (7,6%) et le Soudan (8,3%).

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Diaspora égarée !

Le RMDM – Diaspora, branche de l’Opposition au sein du Rodoben’ny malagasy ho amin’ny demokrasia eto Madagasikara (RMDM) à extérieur, s’égare de mal en pis. Les dirigeants, principalement installés en France, dont entre autres Marc Randrianisa dit Marco se radicalisent et constituent l’aile dure du mouvement. De déclaration fracassante en déclaration incendiaire, Marco et consorts s’aventurent dans un terrain miné et dangereux.

Obsolètes, les prix minimums utilisés pour évaluer les pierres et gemmes qui sortent des terres malagasy ont été fixés il y a plus de 20 ans et n’ont jamais évolué depuis. Raison pour laquelle, après l'atelier de concertation qui s'est tenu à Ivato, la semaine dernière, les discussions se sont poursuivies à Ampandrianomby entre les acteurs dont les opérateurs, les exportateurs, les lapidaires et les responsables de la gestion des Ressources naturelles et du ministère des Mines, des Ressources stratégiques ou plus communément appelé « Administration minière » concernant le prix minimum limite d'exportation des ressources minérales ou « valeur marchande ».

Les relations entre Madagascar et le Royaume-Uni ont depuis des décennies été marquées par une grande amitié et un respect mutuel. Effectivement, une exposition de photos intitulée « UK in Madagascar- See Things differently » se tient depuis mardi dernier au Trano Sary d’Ambohidahy. Une manifestation qui énumère les étapes importantes des 200 ans de relations entre les deux pays.

Les récents troubles et autres évènements explosifs, survenus lundi dernier à Ikongo, ont été occasionnés par l’enlèvement d’un enfant albinos par des bandits dans la Commune rurale d’Ambatolampy, District d’Ikongo. Mais il y a pire, ces derniers ont décapité aussi la mère de l’enfant. Cette affaire a simplement montré que les agressions sinon le rapt des albinos, tout sexe et âge confondus, sont devenus un phénomène dans la Grande île.

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Affaire Ikongo - Une opposition amnésique

La vie humaine est sacrée. Tout le monde admet qu'une tuerie quelle que soit la circonstance est regrettable et toujours condamnable. D'un simple citoyen à la plus haute sphère de l'Etat reconnait que le fait d'enlever la vie d'un être humain ne doit pas être acceptable, une raison pour laquelle la peine de mort n'est plus appliquée à Madagascar.

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La Une du 1er septembre 2022

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La une du 30 août 2022


Au lendemain du drame survenu à Ikongo, le Gouvernement a pris ses responsabilités. A part les déclarations d’apaisement et condoléances des autorités et parlementaires, des membres du Gouvernement se sont rendus sur place, hier. A la tête de cette lourde délégation, le Premier ministre Ntsay Christian et elle est composée entre autres du ministre de l’Intérieur et de la Décentralisation, Tokely Justin et de la ministre de la Population, Soafilira Princia. Ntsay Christian a tenu à rencontrer les familles des personnes tuées lors de l’émeute pour leur présenter les condoléances de l’Etat avant de tenir une réunion de réconciliation avec les protagonistes dans cette douloureuse affaire. Cette délégation dirigée par le Premier ministre a été précédée par l’arrivée, dans la matinée d’hier à Ikongo, de deux membres de son Gouvernement en l’occurrence, le Général Richard Rakotonirina, ministre de la Défense nationale, et Rakotozafy François, ministre de la Justice.
Le Général Richard Rakotonirina, dès son arrivée, a rendu visite aux blessés, hospitalisés dans un établissement de la localité. Au nom du Président de la République, il a apporté le soutien moral aux victimes hospitalisées ainsi qu’une aide financière. Quelques heures après l’arrivée du Général, un avion de l’armée malagasy a débarqué des médicaments, des poches de sang et des kits de premiers secours. Il a été décidé avec l’accord des médecins sur place d’évacuer les blessés graves à Ifanadiana. Concernant la sécurisation d’Ikongo, des renforts militaires ont été dépêchés dans la localité. Une mesure prise afin de rassurer la population et les responsables administratifs sur place, suite à une forte rumeur sur un éventuel assaut de vengeance par on ne sait pas qui.
De son côté, le ministre de la Justice quant à lui s’est renseigné sur la situation de la prison d’Iakora où les 200 prisonniers ont été « libérés » par un groupe d’individus. Les gardes pénitentiaires, suite à une directive, ne se sont pas opposés à cette « libération » d’autant plus que la prison figurerait sur la liste des cibles de vengeance, d’après Dame rumeur. Néanmoins, dès l’après-midi un nombre infime des « évadés » ont déjà réintégré la prison avec des murs en…tôle.
Bien que la situation soit encore tendue à Iakora, le calme revient petit à petit et la population commence à vaquer à son occupation quotidienne.
La rédaction


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La Une

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Editorial

  • Idem !
    Et nous y revoilà ! Dix personnes écopent une peine de détention préventive à la prison de Moramanga. Elles sont accusées de fuite de sujets lors de l’examen du BEPC dans la Circonscription scolaire de Moramanga. Encore et toujours des fuites de sujets. Tous les ans, ou presque, le pays doit faire face à des délits de fuites de sujets d’examen officiel. Neuf candidats à l’examen du Brevet d’étude du premier cycle (BEPC) 2025 ainsi que le proviseur d’un lycée privé sis à Belavabary, de la même CISCO, ont été placés sous mandat de dépôt à la prison de Moramanga à l’issue de leur comparution devant le juge d’instruction. Idem des cas de fuites de sujets. Le ministre de l’Education nationale déclarait, à ce sujet, comme suit : « tolérance zéro à l’encontre des fauteurs de trafics de sujets d’examen officiel ». Avec tous les respects à votre endroit Mme …

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