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48 heures après sa disparition où elle a donné son dernier signe de vie, le corps de Sannie (21 ans) avait été finalement retrouvé enterré dans la cour de la propriété de son ex-petit ami de 24 ans dans le quartier d’Ambohitsimpo à Anjiro, sur la RN2. Lors d’un constat, la victime avait été dénudée et des bleus, sans doute des traces de coups, sont observés sur son visage. C’est ce jeune homme en cause qui a indiqué l’endroit où il a enterré le cadavre, et il est d’ailleurs le suspect principal dans l’affaire. Et pourtant, il a déclaré avoir rompu avec Sannie. Cette première enquête au niveau de la Gendarmerie a découlé d’une plainte de la mère de la victime. Une audition, à l’issue de laquelle, les gendarmes l’ont ensuite relâché.

Ils sont actuellement 9.000 individus à pratiquer officiellement la médecine traditionnelle à Madagascar. Au cours de ces deux années d'épidémie liée au coronavirus, leurs conseils et leurs produits ont sauvé des vies et ont considérablement contribué aux effets de riposte de la Covid-19. Chargée d'assurer la promotion et le développement de la médecine traditionnelle, l'Association nationale des tradipraticiens de Madagascar (ANTM) s'investit et s'engage dans les campagnes de vaccination au côté du ministère de la Santé publique.

Accès des enfants à la justice. Tel est le principal droit de l’enfant évoqué dans le 3è protocole facultatif de la CIDE (Convention internationale des droits de l’enfant). Il s’agit de donner la parole aux enfants ou le groupement des victimes de non-droit, ainsi qu’à leurs familles et proches ou encore aux organismes et institutions. « Ce protocole permet le recours international en cas de violation des droits de l’enfant. Ceci à travers la saisine du Comité international des droits de l’enfant.

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Défi vital !

La seconde vague de concertation nationale axée sur l'agriculture, en vue de l'autosuffisance alimentaire, a ouvert ses portes dans la journée d'hier mercredi 15 juin au CCI Ivato. Elle durera deux jours au cours de laquelle, les représentants et les délégués débattront les voies et les moyens afin d'atteindre l'objet fixé. L'initiative de la conférence revient au principal responsable du pays, Rajoelina Andry.

Insistant. Les opérateurs touristiques, représentés par le président du conseil d’administration de l’Office national du tourisme de Madagascar, Jonah Ramampionona, reviennent à la charge. Hier à Andohalo, en marge de la signature de convention de partenariat avec l’association des « Mpikabary » et de l’ONTM pour promouvoir le Kabary en tant que produit touristique, le PCA de l’ONTM de réitérer les requêtes des opérateurs touristiques quant à la possibilité d’alléger encore plus, ou carrément de supprimer les mesures sanitaires à l’arrivée des voyageurs internationaux.

Comme annoncé par le Président de la République, une conférence sur l'autosuffisance alimentaire s'est ouverte hier au Centre de conférence international d'Ivato pour réfléchir et améliorer la situation dans le pays sur ce sujet. Un colloque qui verra la participation de plusieurs centaines de participants. Lors de son discours d'ouverture, le Président de la République Andry Rajoelina a avancé quelques pistes de réflexion pour atteindre l'objectif d'autosuffisance alimentaire. Une autosuffisance qui passe notamment par l'augmentation de la production de riz de un million de tonnes.

Fin de la grève. Les enseignants-chercheurs et chercheurs enseignants ont certainement pris conscience de l'ampleur des dégâts occasionnés par leur mouvement « Les universités et les centres de recherche morts » qu'ils ont enfin décidé de reprendre toutes activités pédagogiques.

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LA UNE DU 17 JUIN 2022

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La une du 16 juin 2022

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Retour maléfique !

La Covid-19 revisite la Grande île. Un « come back » dangereux ! Un retour tant redouté mais surtout maléfique. En réalité, le virus du Stras-Cov2 n’était chassé ou anéanti définitivement. Tel un fauve malin et rusé, il s’accrochait, tapissait et rôdait quelque part pour être prêt à « sauter » à la moindre occasion.
L’hiver frappe à nos portes. Apparemment, il offre une occasion inespérée au virus pour reprendre force. Mais d’après l’avis médical en la matière, c’est plutôt la capacité organique de l’homme à supporter le froid qui fait défaut en cette période hivernale. En tout cas, les deux années successives, 2020 et 2021, l’arrivée de l’hiver coïncide avec l’envolée de la contamination.
 Antananarivo reste toujours l’épicentre du mal. Le dernier bilan publié par le ministère de la Santé publique montre des chiffres effarants.  En une semaine, de 4 juin à 10 Juin, on enregistre 207 nouveaux cas et ce sur 4.400 tests effectués. Soit 100% par rapport aux 7 sept jours auparavant. La grande majorité des nouveaux cas enregistrés sont localisés dans la Région Analamanga avec 161 cas.  Et suivent les 7 autres Régions dont Antsiranana (24 cas), Vakinankaratra (16 cas ), Boeny (2) et les Régions Atsimo-Atsinanana, Bongolava, Itasy et Haute Matsiatra 1 cas chacun. A l’état actuel des choses, 283 patients suivent un traitement, 3 formes graves et zéro décès.
Quoiqu’on dise, soit pour attiser la panique, soit l’inverse pour minimiser, Madagasikara entre de nouveau dans la spirale de la recrudescence des contaminations. La pandémie menace sérieusement tous les efforts de relance économiques du pays. Le Tourisme voyant ses activités qui démarrent en … trombe risque d’en pâtir. Tandis que toutes les entités de production qui, également, connaissent un entrain de décollage quoique limité vont subir la raclée de la pandémie. Les organisateurs d’évènements culturels et artistiques aussi bien les artistes eux-mêmes broieraient du noir en cas de discipline collective.
Que faire ? Quelles dispositions à considérer ? Au rythme où va l’envolée de la contamination, de l’ordre de 100% ces derniers temps, il faudrait prévoir le pire au cas où des mesures strictes pour l’endiguer ne seraient pas prises dans l’immédiat.
On comprend aisément le pourtour de la problématique dans la prise de décisions. Tous les paramètres entrent dans les considérations des consignes à mettre en œuvre. De l’autre, la population en a assez des mesures sévères du genre confinement total ou partiel. Déjà, pour se soumettre au respect strict des mesures barrières, le commun des mortels rechigne ouvertement à s’y mettre.
Mais les responsables étatiques n’ont pas, en principe, de large choix quand il s’agit de défendre des intérêts de tout le monde. Et souvent, on devra être capable de survoler les débats en cas de besoin supérieur impérativement. D’aucuns n’oublient pas les contraintes subies par tous les concitoyens et tous les opérateurs économiques afin de combattre efficacement l’offensive de la pandémie. Les opérateurs évoluant dans le tourisme ont dû faire des pieds et des mains afin de supplier les autorités étatiques à alléger les consignes de manière à ce qu’ils puissent réactiver leurs activités.
Dans tous les cas de figure, on doit veiller à limiter les dégâts dans le cadre de ce retour maléfique de la Covid-19.


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Editorial

  • A chaud !
    « Madagascar persiste et signe » ! Tel est le gros titre « à la Une » d’un quotidien de la Capitale avant-hier. Dans la précédente édition du journal, dans la même colonne éditoriale d’hier, nous avions émis le souhait d’entendre sinon de lire quelque part la réaction du Gouvernement à propos de la déclaration nettement « négative » du Chef d’Etat français Emmanuel Macron sur l’éventuelle restitution des îles Eparses. Voilà, c’est fait ! Madagasikara persiste et signe. Félicitations à notre MAE, SEM Rasata Rafaravavitafika qui certainement parle au nom du Gouvernement malagasy.

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