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La tempête tropicale modérée Gombe a touché terre au nord du Cap Masoala, hier vers 4 heures du matin avec un vent moyen  de 65 km/h et des rafales de 90 km/h.  Après avoir traversé Madagascar d'Est en Ouest, elle est prévue ressortir en mer dans le canal de Mozambique au niveau de Boeny/Sofia dans la soirée même. Mais avant que nous mettions sous-presse, elle a été encore localisée dans le District d'Antsohihy. En liaison avec l'évolution dudit système, un risque de fortes pluies, estimées entre 60 et 150 mm en 24 heures, est à prévoir sur le Nord-ouest et le Centre Est.

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Comment faire ?

Maintenant que les frontières sont ouvertes de nouveau, il va falloir démarrer tout ! Il faut absolument tout remettre à flot. Autrement dit, il fallait s’atteler, sans tarder, à la relance du pays ! Mais que faire ? Comment faire ? Douche froide ! Les opérateurs touristiques, principaux concernés par la réouverture des frontières, ont été accueillis par une douche froide en sachant que seuls trois aéroports (Ivato, Nosy Be et Toamasina) sur les huit existants pouvant accueillir des vols internationaux seront opérationnels.

Contradiction. 24 heures après la déclaration successive émanant du ministère des Transports et de la Météorologie en confirmant et puis en infirmant  l’interdiction de valise à roulettes et d’ordinateur en cabine lors d’un voyage en avion, le ministre du Tourisme, Joël Randriamandranto vient de préciser que cette décision était encore au stade de discussion auprès des autorités. Une façon pour ce responsable de rassurer l’opinion publique sur ce point tout en soulignant que Madagascar se conforme toujours à la règlementation de l'Organisation de l'aviation civile internationale qui interdit effectivement le port d’ordinateur, mais plutôt en soute. En effet, l’OACI a interdit le transport de batteries lithium-ion en soute.

Encore du suspense. Les participants dans la 16ème édition du concours « Chansons sans Frontières » devront encore patienter quelques semaines pour connaître le verdict final. Après avoir reçu les 923 textes venus de 97 pays francophone, les membres du jury sont maintenant en pleine lecture des textes reçus pour réaliser une pré-sélection. Selon leur communiqué, les responsables ne partageront pas la liste des textes présélectionnés que lors de l'annonce des résultats, et cela afin de maintenir l'anonymat des textes. 

Litige foncier. La société d’Etat Fanalamanga s’apprête à emprisonner de pauvres paysans du District de Moramanga. Cette information a été communiquée par un responsable communal à Morarano- Gara (MLA). Selon la source, un représentant de cet organisme rattaché au ministère de l’Environnement et du Développement durable (MEDD) lui a transmis le message.

Procéder à un remaniement est loin d’être la solution certes, mais ça pourrait être tout de même une solution. Le régime Andry Rajoelina entame cette année l’avant- dernière année de son mandat. Dans ce dernier quart d’heure de jeu, il mène au score mais reste toujours en quête du but de la qualification.

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LA UNE DU 09 MARS 2022

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La une du 8 mars 2022

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Hommage aux descendantes d’Eve !

Ce 8 mars, Journée mondiale de la femme. Journée à laquelle le monde entier consacre pour réfléchir des droits et des rôles tenus par les femmes dans la famille, dans la vie d’une Nation et dans le monde.
Au fait, qu’est-ce que l’homme sans la femme ? Un époux sans l’épouse ? Un père sans fille ? Bref, la famille sans une mère ? Quel avenir réservé à un bébé ou à un enfant sans leur mère ? La désolation ! Un minimum de réponse qui résume tout !
Qu’est-ce que la société ou la communauté sans les femmes ? En Afrique, l’épouse ou la mère, les femmes en général, occupent une place plus qu’importante dans le mécanisme du fonctionnement aussi bien familial que sociétal. L’époux ou le père toujours absent à la maison ou bien même au pays pour des raisons diverses, entre autres, à cause du travail, c’est la mère qui fait tourner la vie de la famille, s’occupe des animaux domestiques et les travaux des champs voire la gestion des affaires du village. Pourtant, les descendantes d’Eve, adultes ou enfants, subissent souvent les sévices injustes et parfois inhumains de la part des hommes.
Dans les pays riches de l’Ouest, les femmes deviennent de plus en plus incontournables dans les rouages de la vie économique et politique. Elles tiennent des postes de décision qui n’ont rien à envier des hommes. Mais, on est encore loin du compte tout de même. D’où la nécessité de marquer de façon significative cette Journée du 8 mars !
Tout commence dans les pays industrialisés. A New York, en 1848, certaines femmes leaders réunissent une centaine de personnes dans le cadre d’une Convention pour les droits des femmes à Seneca Falls. Il s’agit d’une grande première aux Etats-Unis et même dans le monde. Les organisatrices revendiquent les droits civils, sociaux, politiques et religieux pour les femmes. Le mouvement fait tache d’huile pour atteindre les autres continents. En effet, le mouvement pour alerter le monde sur les droits de la femme se répand vite comme une traînée de fumée à tel point que vers le début du XXème siècle, des pays comme la Russie, la Nouvelle-Zélande, l’Allemagne et bien d’autres n’ont pas pu échapper à la fièvre du « mouvement ».
L’ONU, dans les années 70, 1975 et 1977 plus exactement, prend au sérieux ledit mouvement et officialise « La Journée internationale de la Femme ». A Madagasikara, il fallait attendre quelques années, dans les années 80, pour que la célébration du 8 mars soit effective. Le régime socialiste de Ratsiraka en fait un défi particulier étant donné que la femme fait partie des « Cinq piliers de la Révolution » dixit « Livre Rouge » (« Boky Mena »).
L’accession au pouvoir de Rajoelina Andry va donner un coup de pouce particulier au Mouvement de la Femme dans la mesure où son épouse de Première dame milite personnellement pour les droits de la femme. Elle s’engage à lutter contre les violences basées sur le genre (VBG) qui malheureusement se multiplient encore dans le pays. Elle en fait une cause prioritaire et urgente. La Première dame agit en paroles et en actes et à travers elle, nous rendons hommage aux descendantes d’Eve.
Ndrianaivo



Depuis plus de six ans, Felicia Marie Johsonnie Rasoanirina, dit Felicia, rêve de percer dans le monde de la musique urbaine. Aujourd'hui, elle continue de parcourir plusieurs scènes et  studios pour faire connaître son talent. Effectivement, Felicia chante depuis qu’elle était toute petite, mais l’artiste s’y mettait sérieusement depuis 2017 après avoir participé à un concours de chant diffusé sur une chaîne locale, et ce grâce à l’encouragement de ses proches mais surtout ses parents. Pour Felicia, l'aventure musicale continue donc. Et elle de préciser que malgré le fait qu’elle ait baigné dans un univers musical cosmopolite, sa préférence s’oriente vers des sonorités plus urbaines. Du coup, elle cite comme références des artistes comme Jessie J. ou Sam Smith qu’elle considère ainsi comme des grands artistes. On comprend du coup pourquoi Felicia est autant à l’aise avec tous les styles de musique. Jeune chanteuse à la voix brillante et saisissante, depuis la sortie de son premier single « Efa ianao » il y a près de six ans, la jeune chanteuse est déjà adulée par de nombreux fans. Il n’y a rien d’étonnant que la jeune star s’affiche aujourd’hui avec des jeunes chanteurs populaires de la Grande île.
Propulsée
Récemment, Felicia a collaboré avec le chanteur El-Boy dans une chanson d’amour intitulée « Tsy ambelako ». Un titre que de nombreux jeunes affectionnent déjà dans leurs playlists. Et au début du mois de février dernier, le chanteur TSK a fait appel à elle pour faire un duo avec le tube « Efa niriko ». La jeune star a également arpenté bon nombre de scènes depuis son apparition dans l’industrie musicale. On pourrait dire que la belle se fait déjà un nom et se classe dans la grande famille des artistes. Bref, Felicia avance doucement mais avec assurance dans le monde de la musique. En tout cas, à écouter ses morceaux, elle possède déjà du talent et du potentiel. Ce qui est certain, c’est que Felicia est non seulement talentueuse, mais aussi très stylée. Ce qui la rend si particulière, c'est qu'elle a su se créer son propre univers. La preuve : sa musique et son arrangement,  on ne les trouve nulle part ailleurs. C’est original et elle parvient à jongler parfaitement à la fois entre pop rock et RnB. Pour apprécier le talent de cette chanteuse, il faudra regarder et écouter ses œuvres.
Sitraka Rakotobe

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Editorial

  • Fianar jubile !
    Alors que cinq des six Chefs-lieux de Province sont, pour certains, fiers de leurs atouts économiques et touristiques, et pour d'autres, empêtrés dans un cimetière de projets inaboutis, Fianarantsoa, capitale du pays Betsileo, semble quant à elle sombrer dans une léthargie faite d’immobilisme. D’Antsiranana à Toliara en passant par Mahajanga, Toamasina et Antananarivo, les cinq Provinces possèdent chacune des éléments pouvant contribuer à leur développement notamment cultures de rente (vanille, girofle, …), atouts touristiques, grand port, grandes installations industrielles, réserves minières.

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