Publié dans Culture

Musique - Dj Dina prêt pour la tournée à Madagascar

Publié le mercredi, 02 mars 2022

L’ambianceur est dans nos murs. Ca y est, l’un des patriarches du monde du DJ surnommé Dj Dina, qui réside en France, est arrivé dans la Grande île, le week-end dernier. Il est parmi nous pour la grande tournée qu’il a peaufinée depuis déjà quelques mois. Pour son entrée en scène, Dj Dina a choisi de visiter Mahajanga où il donnera deux rendez-vous inédits.

La première soirée se tiendra au Club 73 à l’avenue Mahabibo pour une ambiance génération 80, 90, et 2000. Par ailleurs, pour le samedi 5 mars, Dj Dina enflammera la piste du Club 73 avec ses sets Afrobeat, ragga, dancehall, kawitry et zouk. Pour la suite du programme, Dj Dina prendra possession du restaurant Oxygen à Antanimena pour satisfaire ses fans dans la ville des Mille. Ce sera sans aucun doute un retour tant attendu puisque son dernier concert au bercail remonte dans le milieu de l’année 2019. Cela fait donc trois ans qu’il n’est plus venu arroser la scène locale. Sur sa publication, de nombreux adulateurs du Dj attendent ce grand moment. Et même s’il n’est certainement pas étranger à ces énormes spectacles en direct lors de ses derniers prestations aux pays.

Exalté 

Les détails sont rares sur à quoi ressemblera sa production lorsqu’il enflammera la piste de la Capitale, mais étant donné la façon dont ses dernières tournées se sont déroulées, l’on peut s’attendre à un spectacle visuel avec éclairage compliqué et énergique qui n’a pas son pareil. Une grande retrouvaille entre lui et tous ceux qui aiment ses mixes et œuvres. A noter que c’était dans les années 90 que cet ambianceur a animé la piste de danse à travers ses mixages. En 2002, il est vice-Champion de Madagascar de DJing, puis fonde en 2004 l’école de DJ de Madagascar, le CDJ. D’une passion, il en a fait un métier. Il s’envole vers la France et ne se contente pas seulement d’animer des soirées, mais intègre une école de DJing pour en faire sa profession. A noter que le Dj donne des live sessions sur son compte pour ceux qui n’ont pas encore entendu ses œuvres. 

Sitraka Rakotobe

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Editorial

  • Secteur en panne !
    En mauvaise posture, le secteur éducatif malagasy va de mal en pis. Tel un navire en panne, en Haute mer, le moteur bloqué, l’équipage perd le contrôle. Le bâtiment tangue de gauche à droite. A la dérive, il risque le naufrage. A l’époque coloniale, l’instruction publique représentait l’un des principaux points d’achoppement du pouvoir en place. A l’aube de l’occupation, le Général Gallieni, premier gouverneur général de Madagasikara, se heurtait à une difficulté majeure : déterminer quel type d’instruction ou quel modèle d’enseignement, devrait être appliqué dans la colonie (Madagasikara) ? Un enseignement élitiste, de haut niveau, ou un enseignement élémentaire, rudimentaire ? Et encore « quelle langue d’enseignement adoptée ? » Deux grandes orientations ont été primées par le Général gouverneur : dispenser un enseignement pour un cursus éducatif de haut niveau pour les enfants des colons. D’où la création des lycées à Antananarivo, le lycée Gallieni (1908) et…

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