Publié dans Economie

Fidiniavo Ravokatra - « Pour que le secteur minier contribue à la préservation de l’environnement »

Publié le dimanche, 31 janvier 2021

Pointé du doigt par rapport à la dégradation de la nature. Fidiniavo Ravokatra, le ministre des Mines et des Ressources stratégiques, veut enlever l’image négative du secteur minier en participant activement à la campagne de reboisement.

Suite au feu vert lancé par le Président de la République, le 19 janvier à Taolagnaro, son département ministériel ainsi que les organismes y rattachés et leurs partenaires ont planté des arbres vendredi dernier à Tsinjony Ampangabe. « L’objectif consiste à reverdir Madagascar. Conformément à la devise du Président de la République, planter un arbre sauve une vie, couper un arbre coupe une vie. Nous avons ainsi apporté notre part en mettant en terre 7 000 jeunes plants ce jour. On a choisi l’acacia et l’olive. Le secteur minier est toujours considéré comme facteur de dégradation de l’environnement. Mais cette action témoigne le contraire. Nous mobilisons d’ailleurs toute la population à rejoindre cette cause », déclare Fidiniavo Ravokatra, numéro un dudit département. A noter que ce site a toujours été le site de reboisement de l’Office des mines nationales et des industries stratégiques (OMNIS). Une surface de 31,5 hectares a été reboisée jusqu’à ce jour.
Solange Heriniaina

Fil infos

  • Animaux sauvages saisis en Thaïlande - Œuvre des réseaux de trafiquants à Madagascar
  • ACTU-BREVES
  • JIRAMA - Ron Weiss, nouveau directeur général
  • Production d’énergies renouvelables - L’Etat encourage les investissements privés
  • Actu-brèves
  • Coopération Madagascar-Maroc - Une seconde visite du Roi Mohamed VI se précise
  • ACTU-BREVES
  • Lutte contre la famine et les fléaux climatiques - Le Président Rajoelina plaide pour une hausse des financements
  • Actu-brèves
  • Energie renouvelable - Le premier parc éolien de Madagascar opérationnel début 2025

La Une

Pub droite 1

Editorial

  • Vouée à l’échec ?
    Le pays est en plein chantier d’élaboration d’une nouvelle Stratégie nationale pour la lutte contre la corruption (et l’impunité), la SNLCC. Celle qui est en vigueur arrivera à son terme à la fin de l’année en cours après dix ans de mise en œuvre dans la bataille contre cette « ennemie » apparemment imbattable. Mise en selle en 2014, la SNLCC actuelle finira sa course incessamment. Mi-figue, mi-raisin, le bilan de la décennie de la Stratégie nationale de lutte contre la corruption balance entre un échec et une réussite. Le Comité pour la sauvegarde de l’intégrité (CSI) se trouve dans l’embarras pour traduire la situation exacte. Sahondra Rabenarivo, la présidente du CSI, déplore plus d’une fois l’existence de certains facteurs de blocage dans le processus normal de la lutte contre la corruption. Il existe un dysfonctionnement perçu comme un frein au bon déroulement du système de lutte contre la corruption.

A bout portant

AutoDiff