Publié dans Economie

JIRAMA - Ron Weiss à l'écoute des doléances

Publié le mardi, 07 mai 2024


Depuis sa prise de fonction en tant que directeur général de la JIRAMA, Ron Weiss s'est engagé à introduire l'innovation dans l'entreprise, avec une attention particulière portée à la satisfaction des abonnés. Sur les réseaux sociaux, il a annoncé que : « La direction de la JIRAMA s'engage à améliorer notre prestation de services. Si vous rencontrez un problème d'électricité ou d'eau, n'hésitez pas à contacter notre centre d'appel au 547. Si pour une raison quelconque vous n'avez pas obtenu un bon service ou s'il était trop tard, vous pouvez me contacter personnellement au numéro 03-8181-0000 ». Il utilise Facebook comme un moyen de communiquer avec les clients, affirmant : "Facebook est l'un de mes moyens d'attirer les clients. Ici, par exemple, j'ai appris de vous un problème auquel je dois prêter attention." Cette démarche témoigne de son engagement à être à l'écoute des préoccupations des abonnés et à agir en conséquence. De plus, il a dit publiquement : "Je suis conscient du problème et je travaille pour le résoudre."  Selon les indiscrétions, "de nombreuses personnes contactent Ron Weiss et qu'il répond personnellement par SMS. Les plaintes les plus fréquentes portent sur l'augmentation des factures et les problèmes d'approvisionnement en eau." Cette démarche n'est pas nouvelle pour le nouveau DG, qui a déjà mis en œuvre une procédure similaire avec succès au Rwanda, où il gérait deux millions d'abonnés. Son expérience passée lui confère une expertise  dans la gestion des relations avec les clients et la résolution des problèmes opérationnels. Il convient de rappeler que l'ancien SEG avait également adopté cette approche par le passé. Cependant, avec l'arrivée de Ron Weiss, cette démarche est renforcée et bénéficie d'une attention accrue.

Carinah M.

Fil infos

  • Parlement - Clap de fin pour le Sénat
  • Face-à-face entre un fourgon et un camion - Un survivant dans un état critique
  • PLFI 2026 - Un budget insuffisant et opaque selon le Collectif des citoyens
  • Famille Ravatomanga - Domicile et bureau « visités » à une heure du matin…
  • Fausses et illégales perquisitions - Des auteurs toujours en circulation
  • Groupe Sodiat - Tous les comptes bancaires de ses sociétés bloqués ! 
  • Coopération bilatérale - D’Antananarivo au Grand Sud, Paris lance des projets inclusifs à Madagascar
  • APMF - Le personnel lance un ultimatum
  • Assises des partis politiques - Une transition de trois ans et un partage de sièges
  • Antananarivo sous les eaux - L’héritage de nos choix collectifs

La Une

Pub droite 1

Editorial

  • Opération délicate
    Le faux et l’usage de faux envahissent l’Administration, grand « A » s’il vous plaît, à savoir le domaine général qui englobe tous les secteurs d’activités de l’Etat ou de la République. Faux et usages de faux, du jargon populaire « fosika », faux diplômes ou certificats de fin d’étude gangrènent presque tous les Corps de métier de l’Administration entre autres les départements clés comme l’Enseignement supérieur, l’Education nationale, la Justice, la Régie financière, les Forces de défense et de la sécurité (FDS), etc. Les concours d’entrée dans l’administration publique sont infestés de faux dossiers. Des diplômes de Baccalauréat, de Licence, de Master I ou II se trouvent les plus menacés. Il y a eu même certains de faux diplômes de Doctorat !

A bout portant

AutoDiff