Publié dans Economie

Salon des études internationales - Ouverture des portes de la 10e édition

Publié le vendredi, 01 mars 2019

Arrivée à la dixième édition. Cette année encore, Madajeune organise le salon des études internationales à l'Hôtel Carlton, Anosy. L'évènement a commencé hier et se termine aujourd'hui. L'objectif consiste à recruter des étudiants malagasy pour les universités et les grandes écoles étrangères, mais également de créer des partenariats entre les établissements supérieurs malagasy et étrangers. « Le salon des études internationales est une occasion pour les bacheliers malagasy de trouver des cursus ou programmes de formation encore inexistants à Madagascar. D'ailleurs, durant ces dix dernières années, les étudiants malagasy s'intéressent de plus en plus aux diplômes internationales parce qu'ils favorisent plus de mobilité et facilitent l'accès dans les entreprises internationales », explique Rajaonah Haingo, responsable au sein de Madajeune.

Ces deux jours d'information et d'orientation permettent ainsi d'appréhender le fonctionnement des études supérieures, le financement des études, le voyage et bien d'autres encore. En effet, il faut savoir quoi faire et où se positionner. Ensuite, suivre les bons cursus avant d'affronter le monde du travail. Les destinations sont variées, comme l'île Maurice ou la France. Cependant, l'Australie se trouve au centre de l'attention pour cette édition. Par ailleurs, un programme de conférence à thème s'est tenu toutes les heures durant le premier jour du salon. Une conférence sur le métier de l'aviation figurait dans l'ordre du jour. Selon le groupe G2 ACAMAS, l'aviation regroupe une cinquantaine de collaborateurs à elle toute seule, entre autres l'agent de piste d'aéroport, les ingénieurs, le pilote, le coordinateur de vol,...

Différents métiers sont encore méconnus par le grand public. 17 stands décorent la salle Ravinala où tous les participants présentent leurs activités. 5 000 visiteurs sont attendus lors de ce salon.

Solange Heriniaina

Fil infos

  • Opposition - Le torchon brûle entre les ex-leaders du « hetsika fotsy »
  • ACTU-BREVES
  • Projet « Lac Iarivo » - Un village touristique et un village artisanal ouverts en août 2025
  • Pour l’acheminement du groupe de 105 MW à Antananarivo - Le Premier ministre en mission à Toamasina
  • Incendie - 231 maisons réduites en cendres à Nosy Varika
  • ACTU-BREVES
  • Actu-brèves
  • Elections municipales et communales - Un début de campagne timide dans la Capitale
  • CUA - Alexandre Georget nommé PDS
  • Elections municipales et communales - Coup d'envoi de la campagne électorale !

La Une

Pub droite 1

Editorial

  • Un phare
    « Je voudrais être un phare qui voulais illuminer les démunis et leur apporter la lumière », telle est la déclaration, érigée en confession de foi, de Harilala Ramanantsoa, porte étendard n° 7 de l’IRMAR – UPAR aux communales et municipales d’Antananarivo-Renivohitra prévues le 11 décembre prochain. A l’issue d’un culte d’action de grâce et de louange au temple du Palais de Manjakamiadana, Harilala Ramanantsoa répond à la question des confrères pourquoi a-t-elle choisi ce site historique pour organiser un culte qu’elle devait déclarer ainsi. Qu’est-ce qu’un phare ? Le Robert le définit en ces termes « une tour élevée sur une côte ou sur un îlot, munie à son sommet d’un feu qui guide les navires ». Sur un véhicule, c’est un feu à longue portée pour offrir la meilleure visibilité la nuit au conducteur.

A bout portant

AutoDiff