Publié dans Economie

Placement immobilier à l’étranger - Une opportunité d’investissement à Dubaï

Publié le vendredi, 05 avril 2019

Dubaï et ses logements modernes font rêver ! C’est justement dans ce cadre que le groupe spécialisé dans la promotion immobilière, « Renaissance Real Estate organise », les 5 et 6 avril à La City Ivandry, un road show auquel sont conviés les promoteurs malagasy susceptibles de s’intéresser au placement immobilier à l’étranger. « Dubaï est classé dans le top 10 au niveau mondial en terme de sécurité. On croit que le marché africain peut bien profiter des investissements dans ce pays. De plus, les acheteurs ne sont assujettis ni à des taxes sur les propriétés, ni à des taxes sur le revenu, ni à des taxes sur l’héritage », explique Melhem Khalil, proprety advisor d’Emaar Development.

Pour sa campagne à Madagascar, le groupe prévoit des offres exclusives conçues pour les promoteurs malagasy sur ses villas et appartements neufs. « Renaissance Real Estate » offre une large gamme de choix dans l’immobilier, notamment des maisons de vacances et des maisons d’investissements. « J’ai déjà rencontré des gens qui partent au moins six fois par ans à Dubaï. Au lieu de payer les frais d’hôtel, ils peuvent acheter une maison de vacances. Tandis que d’autres personnes aiment beaucoup investir dans le secteur immobilier. La valeur de la maison qu’ils vont acheter aujourd’hui va probablement augmenter avec le temps. D’autant plus que tous nos projets sont encore sur plan. La communauté sera complète entre 2020 jusqu’en 2022 »,  relate Melhem Khalil.
D’ailleurs, le groupe offre une facilité de paiement. « Nous ne demandons pas 100 % de la valeur totale de l’investissement. Le client paiera 50 % du montant de l’immobilier jusqu’à l’aboutissement complète du projet. Le plus intéressant c’est qu’il paiera un montant pour une durée de deux ou trois ans »,  continue-t-il. La première ville de l’Emirat Arabes Unis enregistre ces dernières décennies des performances économiques exceptionnelles. Le groupe « Renaissance Real Estate » développe en ce moment des grands projets immobiliers dans des sites à fort potentiel.
Solange Heriniaina

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Editorial

  • Secteur en panne !
    En mauvaise posture, le secteur éducatif malagasy va de mal en pis. Tel un navire en panne, en Haute mer, le moteur bloqué, l’équipage perd le contrôle. Le bâtiment tangue de gauche à droite. A la dérive, il risque le naufrage. A l’époque coloniale, l’instruction publique représentait l’un des principaux points d’achoppement du pouvoir en place. A l’aube de l’occupation, le Général Gallieni, premier gouverneur général de Madagasikara, se heurtait à une difficulté majeure : déterminer quel type d’instruction ou quel modèle d’enseignement, devrait être appliqué dans la colonie (Madagasikara) ? Un enseignement élitiste, de haut niveau, ou un enseignement élémentaire, rudimentaire ? Et encore « quelle langue d’enseignement adoptée ? » Deux grandes orientations ont été primées par le Général gouverneur : dispenser un enseignement pour un cursus éducatif de haut niveau pour les enfants des colons. D’où la création des lycées à Antananarivo, le lycée Gallieni (1908) et…

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