Publié dans Economie

Responsabilité sociétale des entreprises - FILATEX toujours à la rescousse des plus démunis

Publié le mercredi, 11 septembre 2019

94 millions d’ariary. C’est la somme que le groupe FILATEX verse pour la promotion de l’éducation transversale sur la sexualité, ainsi que la prise en charge du rétablissement et du suivi des femmes réparées de la fistule obstétricale. Depuis quarante ans, dans le cadre de la responsabilité sociétale des entreprises (RSE), le groupe œuvre dans le domaine de l’enfance et l’éducation, la santé et l’environnement. « En effet, le groupe FILATEX n’a cessé d’œuvrer envers ses concitoyens en vue d’atteindre les objectifs en matière de développement durable.

Dans le volet éducation, nous avons investi dans plusieurs activités comme la construction et la réhabilitation des écoles, la dotation en kits scolaires. Nous concevons également des bibliothèques pour les écoles primaires publiques (EPP). En ce qui concerne la protection de l’environnement, le groupe Filatex procède régulièrement au reboisement des bois autochtones, à la création et à l’entretien de jardins publics ainsi qu’au curage des canaux publics. Le volet santé est également l’un de nos domaines de prédilection. A cet effet, nous travaillons dans la construction ou la réhabilitation d’infrastructures hospitalières, la dotation d’équipement médicaux et l’organisation régulière de don de sang avec le centre national  de transfusion sanguine », énumère Tanteraka Rakotoarisoa, responsable RSE au sein du groupe. Leur mission consiste en effet à offrir un apprentissage unique pour éveiller la conscience des nouvelles générations qui incarnent l’avenir de Madagascar.

Solange Heriniaina

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Editorial

  • Désagrément séculaire
    Antananarivo, la ville basse, vit tous les ans les difficultés humainement gênantes dues aux caprices des eaux en période de pluie. En 1610, quand le Roi Andrianjaka, le demi-frère d’Andriatompokoindrindra, se décida de déménager le chef-lieu de son royaume d’Ambohimanga, à Analamanga, il ne comptait pas, à jamais d’ailleurs, s’installer sur la vaste plaine de Betsimitatatra mais il choisit le site d’une colline hautement perchée surplombant ladite plaine. Un choix délibéré et assumé ! Notons qu’Analamanga n’était pas un lieu inhabité. A son arrivée, des occupants s’y installaient déjà : les Vazimba. Ces derniers y vivaient paisiblement. Au moment où les guerriers – éclaireurs envoyés par le souverain d’Ambohimanga frappèrent à la porte, les Vazimba, premiers occupants de la Colline bleue n’ont pas déployé de la résistance. Ils obtinrent en revanche l’assurance de pouvoir se déménager à Antehiroka.

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