Publié dans Economie

Responsabilité sociétale des entreprises - FILATEX toujours à la rescousse des plus démunis

Publié le mercredi, 11 septembre 2019

94 millions d’ariary. C’est la somme que le groupe FILATEX verse pour la promotion de l’éducation transversale sur la sexualité, ainsi que la prise en charge du rétablissement et du suivi des femmes réparées de la fistule obstétricale. Depuis quarante ans, dans le cadre de la responsabilité sociétale des entreprises (RSE), le groupe œuvre dans le domaine de l’enfance et l’éducation, la santé et l’environnement. « En effet, le groupe FILATEX n’a cessé d’œuvrer envers ses concitoyens en vue d’atteindre les objectifs en matière de développement durable.

Dans le volet éducation, nous avons investi dans plusieurs activités comme la construction et la réhabilitation des écoles, la dotation en kits scolaires. Nous concevons également des bibliothèques pour les écoles primaires publiques (EPP). En ce qui concerne la protection de l’environnement, le groupe Filatex procède régulièrement au reboisement des bois autochtones, à la création et à l’entretien de jardins publics ainsi qu’au curage des canaux publics. Le volet santé est également l’un de nos domaines de prédilection. A cet effet, nous travaillons dans la construction ou la réhabilitation d’infrastructures hospitalières, la dotation d’équipement médicaux et l’organisation régulière de don de sang avec le centre national  de transfusion sanguine », énumère Tanteraka Rakotoarisoa, responsable RSE au sein du groupe. Leur mission consiste en effet à offrir un apprentissage unique pour éveiller la conscience des nouvelles générations qui incarnent l’avenir de Madagascar.

Solange Heriniaina

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Editorial

  • Lueur d’espoir !
    Tout n’est pas noir. Une source de lumière apparait à l’horizon. Et l’espoir est permis. En dépit des galères éternelles que la misère nous impose, que l’insécurité nous étreint et que la JIRAMA nous empoisonne tous les jours, une lueur d’espoir nous embaume le cœur. Tous les efforts sont mis en branle mais la misère persiste et signe. Avec un revenu mensuel moyen de 40 euros ou 43 dollars par habitant, de sources autorisées de la Banque mondiale, Madagasikara reste parmi les cinq pays les plus pauvres de la planète. A titre d’illustration, Rwanda 76 dollars, France 3482 euros. Comparaison n’est pas raison mais les chiffres sont là. Ils évoquent certaines situations comparatives indéniables. Les insuffisances chroniques alimentaires surtout dans le grand Sud trahissent malgré les tentatives de certains responsables de relativiser le cas.

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