Dans notre édito du 2 mars 2020, « Trop d’introuvables ! », nous avions pressenti un danger en ce sens que Madagasikara soit la « grande passoire de l’océan Indien ». Devant les faits qui se manifestent à répétition et qui se multiplient ces temps-ci, on est obligé, malgré nous, de revenir à la charge.Des gens mal famés, des anciens du régime précédent, des personnes peu crédibles, ouvertement et fermement impliquées dans des magouilles au détriment des deniers publics s’évanouissent dans la nature comme si de rien n’était. Il y a trop d’introuvables, de recherchés ! Trop d’évasions que ce…