Des cas d’insécurité frisant la barbarie font souffrir encore les concitoyens sur tout le territoire national. Le Chef d’Etat ne lésine pas sur les moyens et dote aux Forces de défense et de sécurité (FDS) des matériels ultra-modernes, sophistiqués, de manière à ce qu’elles puissent affronter efficacement les dahalo, traquer au plus vite les bandits de grand chemin. Les outils performants comme le GPS s’invitent sur terrain afin de localiser les traces des bœufs volés, etc.
Des infrastructures sanitaires, scolaires et routières en état de délabrement avancé dans les régions reculées exigeant des actions urgentes ont été réhabilitées sinon construites, flambant neuves, respectant les normes requises ou « manara-penitra ».
L’Etat recrute des agents du personnel médical et enseignant par milliers. Des Contrats de travail de longue durée au profit des paramédicaux et des « mpampianatra FRAM ». Autant de cas d’urgence que l’Etat n’a pas le droit de minimiser vu l’importance primordiale de la Santé publique et de l’Education nationale. Et la liste n’est pas exhaustive.
En somme, les responsables étatiques mènent des combats urgents sur tous les fronts pour venir en aide aux concitoyens vulnérables du Nord au Sud et d’Est en Ouest. Le bilan apparemment positif de ce premier mandat fait état des réalisations « zava-bita » non négligeables. Mais beaucoup restent à faire !
Des cas de force majeure imposent aux tenants du pouvoir d’actes très urgents. Entre autres, les réfections de grands axes des routes nationales, RN2 et RN4 notamment, dont la dégradation dépasse l’entendement humain ne peuvent plus attendre. De même, la réhabilitation des rues de grandes villes du pays s’impose comme des priorités urgentes. Celles de la Capitale en sont l’un des cas de force majeure incontournables.
D’autres urgences nous forcent à agir vite. L’invasion des criquets dans le Menabe (Morondava) qui exige des actions urgentes ne peut pas non plus attendre. Les paysans producteurs craignent le pire. Il faut faire vite sinon on va perdre une année culturale. Quel gâchis !
La maîtrise de l’inflation constitue en permanence une priorité nationale. En fait, le contrôle des prix notamment ceux des PPN s’érige en un cas de force majeure à ne pas sous-estimer. Un régime qui ne parvient pas à avoir sous contrôle l’inflation aura du mal à jouir de crédit auprès du peuple. Tellement, l’inflation fait souffrir le commun des mortels qu’il faille faire le nécessaire.
Ndrianaivo