Publié dans Editorial

Femme d’honneur et excellence !

Publié le lundi, 15 avril 2019

Sens du devoir et de la responsabilité. La première des Premières Dames malagasy à avoir le sens du devoir national, Mialy Rajoelina Razakandisa se distingue entre toutes. Elle porte dans son cœur et son âme le sens de la responsabilité envers les concitoyens surtout les concitoyennes en peine. Mialy ne supporte point de voir ou constater le malheur des malagasy. Elle ne peut non plus rester inactive face à aux cris de détresse de ses semblables. Nombreux sont les défis qui l’attendent en tant que Première Dame. Une Femme  d’honneur et d’excellence dans le sens du devoir et de la responsabilité envers les compatriotes ! Déjà depuis la Transition, en tant qu’épouse du Président, Mialy Rajoelina fondait l’Association Fitia.

Une association dont l’objectif principal consiste à aider ou assister les personnes démunies non seulement sur le plan de la condition matérielle de vie mais aussi dans le domaine de la santé ou autres. Les femmes et les enfants en sont la population cible prioritaire. L’espace d’action de l’Association Fitia ne se limite pas à l’intérieur du cadre national, elle embrasse jusque dans le grand Continent, l’Afrique. Ainsi, le 5 et le 6 février 2018 à Accra Ghana,  la présidente de l’Association Fitia fut élue présidente de PAESFA (Pan African Ethanol Stoves and Fuel Alliance). En effet, par l’alliance de Ghacco (Ghana Alliance for Clean Cookstoves) et l’Association Fitia, une plateforme ayant pour vision sur la vulgarisation de l’usage de l’éthanol chez les ménages africains est née. Une excellente contribution à l’amélioration des conditions de vie des femmes et à la sauvegarde de l’environnement. En fait, c’est un engagement cher à la Première Dame malagasy. Le projet vient d’être lancé à Madagascar, la Journée mondiale de la Femme en est le cadre idéal de démarrage. La Communauté internationale apprécie dans sa juste valeur l’engagement profond de la Première Dame malagasy pour la cause de la population notamment les plus défavorisées. Le FNUAP (Fonds des Nations Unies pour la Population) par le biais de son Représentant résident à Madagascar Constant-Serge Bounda sollicita officiellement et solennellement Mme Mialy Rajoelina Razakandisa de bien vouloir accepter d’être l’ambassadrice du FNUAP. Une marque d’honneur et d’excellence que la Première Dame malagasy a accordée en toute humilité et sincérité. En fait, FNUAP se dit attentionné par l’engagement profond et soutenu de l’épouse du Chef de l’Etat dans la bataille contre toutes formes de violence en particulier celle basée au genre (VBG) et celle en relation avec le mariage précoce. C’est une âpre lutte que notre championne, la Première Dame, mène sans relâche depuis toujours par le truchement de l’Association Fitia. Dans tous les discours qu’elle tient, elle persiste et signe sur le respect en fonction du genre et afin qu’on mette un terme à la maltraitance des êtres humains qu’elle qu’en soit la forme. Curieusement, son époux de Président de la République concentre d’importants efforts allant dans le même sens de conviction. S’agit-il d’un heureux et bienveillant hasard ou plutôt d’une « complicité » entre époux ? Le Chef de l’Etat ne ménage ses efforts quand il faille porter d’urgence des secours  aux femmes en grande difficulté. Ambassadrice du FNUAP, Mialy Rajoelina pourra certainement faire valoir ses compétences et ses convictions pour le bien de tous.
  Ndrianaivo

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Editorial

  • Vouée à l’échec ?
    Le pays est en plein chantier d’élaboration d’une nouvelle Stratégie nationale pour la lutte contre la corruption (et l’impunité), la SNLCC. Celle qui est en vigueur arrivera à son terme à la fin de l’année en cours après dix ans de mise en œuvre dans la bataille contre cette « ennemie » apparemment imbattable. Mise en selle en 2014, la SNLCC actuelle finira sa course incessamment. Mi-figue, mi-raisin, le bilan de la décennie de la Stratégie nationale de lutte contre la corruption balance entre un échec et une réussite. Le Comité pour la sauvegarde de l’intégrité (CSI) se trouve dans l’embarras pour traduire la situation exacte. Sahondra Rabenarivo, la présidente du CSI, déplore plus d’une fois l’existence de certains facteurs de blocage dans le processus normal de la lutte contre la corruption. Il existe un dysfonctionnement perçu comme un frein au bon déroulement du système de lutte contre la corruption.

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