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 Stimuler l’activité économique par l’investissement. C’est sur ce principe que se base le concept même de l’instauration du régime des zones et entreprises franches à Madagascar. Avec sa situation géographique stratégique, Madagascar dispose d’un potentiel économique considérable lui permettant de s’ouvrir au commerce international. Ainsi, pour inciter les investisseurs et rattraper son retard économique, la mise en place d’un régime franc est devenue une priorité pour Madagascar. Des mesures fiscales, favorisant l’investissement qui sont susceptibles de subir quelques modifications radicales lors de l’adoption du projet de loi de Finances pour l’année prochaine, ont été changées. Modification de mesure fiscale qui pourrait faire gagner un peu plus de vingt milliards d’ariary d’impôt, l’année prochaine. En effet, dans le projet de loi n° 018-2021 portant loi de Finances 2022, les détails des mesures fiscales pour la PLFI2022 indiquent, entre autres modifications de mesure, la suppression des avantages fiscaux des Zones et entreprises franches (ZEF). La zone franche est une zone géographique où sont regroupées des entreprises franches. Par définition, une entreprise franche est une entreprise à vocation d’exportation et composée de 4 catégories : entreprise de production intensive de base, entreprise de promotion exploitation, entreprise de service et entreprise industrielle de transformation. Les produits sont dédiés à l’exportation à raison de 95% de leur production. Les secteurs d’activité éligibles pour la zone franche sont ainsi très divers, allant du textile en passant par l’informatique et les services, mais également la transformation minière, la chimie, l’agroalimentaire, l’artisanat ou encore la mécanique. Sur l’ensemble des entreprises franches à Madagascar, 56,4% d’entre elles représentent le secteur textile et la confection tandis que l’agroalimentaire et le secteur des TIC représentent respectivement 10,5% et 8,3% des entreprises franches. Les incitations fiscales sont nombreuses pour attirer les investisseurs étrangers sur le régime ZEF. A ne citer le fait que les entreprises bénéficient d'un certain nombre d'avantages fiscaux, douaniers, en termes commerciaux et de mouvement de capitaux. Pour les impôts sur les bénéfices (lBS), elles bénéficient d’une exonération totale pendant une période de grâce allant de deux à quinze ans selon le type d'entreprises, et un taux fixe de 10 % les années suivantes. Cependant, elles peuvent bénéficier d'une réduction d'impôts sur les bénéfices égale à l'impôt correspondant à 75 % du montant des nouveaux investissements. Par ailleurs, ces ZEF jouissent aussi d’une exemption de tous droits et taxes à l'exportation et à l'importation, à l'exception de la TVA qui est remboursée par la suite. De même, pour l’exemption des droits d'accise. D’autre part, les entreprises sont assujetties à l'impôt sur les dividendes distribués, au taux fixe de 10 %, contre 25 % en droit commun. Ainsi, ces mêmes entreprises sont soumises au paiement de la TVA au taux de 20 % sur les achats locaux et importés, une taxe qui est remboursée par la suite dans un délai de 40 jours. Elles bénéficient des régimes commerciaux préférentiels accordés à Madagascar. Elles ont un libre accès aux devises et une totale liberté de transfert des capitaux. Elles ne sont pas obligées de s'installer dans des zones spécifiques. Autant d’avantages que les zones et entreprises intégrées dans le régime fiscal franc seraient susceptibles de perdre avec les nouvelles dispositions fiscales. 

La rédaction 

L’heure est grave. Malgré l’appel de détresse pour le Sud de Madagascar lancé depuis l’année dernière, les besoins dans ce sens ne diminuent pas. Cette Région de l’île qui fait face à une vague de sècheresse liée à la crise climatique depuis l’année 2020. Hier, le Gouvernement malagasy et les Nations unies à Madagascar ont un nouveau « flash appeal » avec un besoin financier révisé par les deux parties.

Les liaisons aériennes commerciales entre Madagascar et Maurice avaient repris le 23 octobre dernier. Moins d’un mois plus tard, ces liaisons pourraient être suspendues. Le compte rendu du dernier Conseil des ministres indique en effet que l’Exécutif malagasy envisage de suspendre les liaisons aériennes commerciales entre les deux pays. Et ce, en raison notamment de la recrudescence de la pandémie de Covid-19 dans l’île sœur où de nombreux cas ont été enregistrés dernièrement.

Onjanirina Rakotomalala, reconnue coupable d'avoir assassiné son mari, Francesco D'Allessandro, écope de 13 ans de réclusion criminelle. C'est la décision de la Cour d'assises du Hainaut  prononcée avant-hier à l'issue du procès de cette trentenaire malagasy, accusée d'avoir porté plusieurs coups de couteau à son mari et ayant causé la mort le 12 octobre 2018 à la Louvière. 


Nouveauté. Le rideau de la 16ème édition du festival Rencontres du Film court (RFC) s’ouvrira à partir de demain et ce jusqu’au 27 novembre prochains. Un festival d’envergure connu pour sa redynamisation de la création cinématographique malagasy et à favoriser sa découverte par un large public. Tout en permettant aux jeunes réalisateurs de voir leurs films programmés dans des festivals de renommée internationale en Europe, en Afrique et même en Amérique du Nord. Mais sert également de tremplin pour ces jeunes réalisateurs malagasy. Cette fois-ci, le festival RFC, toujours en collaboration avec la Commune urbaine d’Antananarivo, a choisi comme thématique le retour aux sources. Pour ce faire, un projet « Zaridaina Cinemalagasy » ou jardin des cinéastes sera inauguré sur l’avenue de l’Indépendance Analakely durant le festival.  Une installation permanente pour rendre hommage aux grandes figures du cinéma malagasy et accueillera au fur et à mesure des sculptures de figures incontournables. « Pour cette première inauguration du « Zaridaina Cinemalagasy » avec la CUA, nous allons commencer avec une sculpture en taille réelle du premier réalisateur malagasy Solo Ignace Randrasana », a déclaré Laza, directeur du festival.
Grande première
Pour plus de précision et d’information, Solo Ignace Randrasana était le premier Malagasy à réaliser un long métrage avec son film « Very remby » en 1973. Il était également plus connu avec son film « Ilo tsy very » qui relate l’insurrection malgache de 1947, son œuvre majeure, dont il a tourné une seconde version en 2010. Selon toujours les organisateurs, une cérémonie se tiendra durant le festival à la fois pour dévoiler la sculpture commémorative mais également pour discerner un Zébu d’or à titre posthume pour ce premier réalisateur malagasy disparu le 26 août 2011. Si auparavant, ce sont les statues et sculpture de politiciens qui ont été souvent érigées et vues à différents endroits. Pour la première fois dans l’histoire du cinéma, c’est une sculpture d'un cinéaste qui sera mise en avant.
Sitraka Rakotobe

Sahofika, du concret !

Publié le mercredi, 17 novembre 2021

Enfin, un projet titanesque voit le jour. En difficile et laborieuse gestation pendant six ans, la grande Centrale hydroélectrique Sahofika de l’Onive, près d’Antsirabe, prend forme, se concrétise. 
Lancée en 2015 par le biais d’un appel d’offres émis par le régime Bleu de Rajaonarimampianina, Sahofika n’a pu démarrer que par la diligence des tenants du pouvoir du régime Orange sous la haute direction de Rajoelina Andry. Un retard de six ans mais mieux tard que se précipiter dans un cadre douteux au détriment des intérêts majeurs des 25 millions de malagasy.
La Centrale hydroélectrique Sahofika produira 192 mégawatts d’électricité extensible à 300 mégawatts. Le coût total du projet s’élève à 900 millions d’euros y compris les frais financiers. Prévue pour être opérationnelle dans cinq ans, la plus grande Centrale du pays donnera un essor non négligeable à la fourniture d’électricité du Réseau interconnecté d’Antananarivo (RIA) mais aussi celui d’Antsirabe, de Fianarantsoa et de Toamasina. Il va sans dire qu’elle boostera l’économie en général du pays et satisfera les besoins vitaux de la population en particulier.
Le contrat initial prévu et concocté par l’équipe dirigeante précédente avec le Consortium NEHO, lire Nouvelle énergie hydroélectrique de l’Onive, stipule une durée d’exploitation de 35 ans et l’hypothèse de tarif de démarrage a prévu 8 centimes d’euros par kilowattheure.
Seulement, après de durs labeurs de négociation, de 2019 jusqu’à ce jour, entamés par les nouveaux dirigeants du pays sous la houlette du Chef de l’Etat Rajoelina avec les représentants mandatés de NEHO, on a réussi à « améliorer » le contrat. Ainsi, au lieu de 35 ans d’exploitation, on descend à 25 ans. Cette différence de dix ans est perçue par les nouveaux interlocuteurs, à savoir les représentants de l’Etat, comme viable sinon acceptable. Le tarif de démarrage baisse de deux centimes soit six centimes. Tandis que pour le coût, une fois la Centrale pleinement opérationnelle, passe de 5,85 centimes d’euros à 4,96 centimes d’euros.
Force est de reconnaitre que Rajoelina Andry et son équipe ont dû batailler très dur pour parvenir à un tel accord face à ces grands investisseurs trop enclins à faire fi des intérêts vitaux des pays pauvres au sein desquels ils veulent investir. Ce n’est pas du tout évident de pouvoir réussir à faire plier les grands investisseurs. La ténacité et la pertinence des nouveaux maîtres du pays ont porté leurs fruits. La signature du contrat a pris du retard mais mieux vaut que jamais ! Les opérateurs économiques qui s’inquiètent de ce retard pris pour le démarrage de Sahofika comprendront, de ce fait, le mobile du décalage.  
Le Président Rajoelina, fidèle à ses engagements, concrétise le « Velirano ». En effet, le point II des promesses présidentielles prévoit la modernisation et l’augmentation de la production énergétique du pays, gage du développement social et économique, en misant sur les énergies renouvelables. La mise en route officielle de Sahofika entre de plain-pied dans ce cadre du point II du « Velirano ».
D’autres projets comme celui de la Centrale hydroélectrique de Volobe suivront le pas de Sahofika. Encore en plein stade d’étude et de négociation, Volobe sortira de terre incessamment. « Rien ne sert de courir, il faut partir à point ! » En de bonnes mains, le pays avancera.
Ndrianaivo                                                                                                                                                      

La une du 18 novembre 2021

Publié le mercredi, 17 novembre 2021

Belgique - Une Malagasy risque 18 ans de prison

Publié le mercredi, 17 novembre 2021


 Le rêve concrétisé grâce au réseau social vire en cauchemar. Un Belge et une Malagasy se sont rencontrés virtuellement à travers Facebook en 2017 avant de se retrouver physiquement en début de l’année 2018 quand le Belge s’est déplacé à Madagascar où ils se sont mariés cinq jours seulement après l’arrivée de celui-ci. Mais le coup de foudre a viré en coups de couteau au mois d’octobre 2018, et l’auteur de cet acte, qui a conduit à la mort du Belge, n’est autre que son épouse. Celle-ci a avoué le meurtre, après un suicide raté à la découverte du corps du défunt, en argumentant son geste par une crise de jalousie. Elle aurait surpris les messages échangés par son mari avec d’autres femmes.
Trois ans après l’assassinat du mari, le jury de la cour d’assises du Hainaut a reconnu, hier, la culpabilité de la femme malagasy. La défense n’a pas contesté cette culpabilité de sa cliente dans la mesure où cette dernière, dès le premier jour du procès, a avoué le crime. Agée de 30 ans et mère de deux enfants, de son premier mariage, la Malagasy « a frappé violemment son mari de plusieurs coups de couteau, dont un au niveau de la carotide, cause de la mort ».
Elle risque 18 années de réclusion criminelle, si le jury accède à la demande de l’avocat général. Ce dernier reconnait tout de même l’enfance malheureuse de l’accusée mais cela ne l’a pas empêché de demander aux jurés ne pas aller au-dessous de 15 ans de cette unique circonstance atténuante.
L’enfance malheureuse, le comportement violent de la victime, la tentative de suicide, le déracinement culturel, l’absence d’antécédent judiciaire et le risque faible de récidive, constituent le lot de circonstances atténuantes soulevé par la défense dans sa plaidoirie. Lui qui en guise de conclusion a demandé aux jurés de laisser « une lueur d’espoir à l’accusée »….
La Rédaction


Muet comme une tombe. Depuis l’arrêt du rapport récapitulatif hebdomadaire de la Covid-19, diffusé à la Télévision nationale, toutes les autorités sanitaires à Madagascar se murent dans le silence. Aucune information portant plus particulièrement sur les statistiques réelles du coronavirus n’est disponible. Or, les différentes sources officieuses ne cessent d’interpeller que de nouveaux sujets sont infectés par cette maladie virale. Des nouveaux porteurs du virus auraient été identifiés à Morondava ou encore des formes graves se présenteraient à Antsirabe et même dans la Capitale des décès auraient été déplorés. Et ceux qui fréquentent les grands hôpitaux publics sur le territoire malagasy n’ont pas cessé de confirmer la présence des malades de la Covid-19. Pourtant, il a fallu, par exemple attendre des semaines après la circulation des rumeurs, pour entendre le numéro un de la Santé publique, Professeur Zely Arivelo Randriamanantany officialiser une trentaine de cas positifs à Morondava. Le reste, on en passe ! Une source sûre impliquée de près dans la gestion de la crise sanitaire Covid-19 confirme que le ministère de tutelle, en collaboration avec les organismes internationaux, s’est déjà préparé à une éventuelle troisième vague.
Les personnes à l’affut de l’actualité se contentent ainsi des bruits de couloir et des rumeurs partagées sur les réseaux sociaux. Entre la peur d’un rebondissement de l’épidémie et le non-respect des gestes barrières sanitaires, les citoyens s’interrogent s’ils n’ont plus droit d’accès à des vraies informations. Pire encore, même les journalistes sont privés d’information. « Avec la levée de l’état d’urgence sanitaire, les données liées à la Covid-19 ne sont plus centralisées au niveau du ministère de la Santé publique. Les chiffres faisant référence aux nouvelles contaminations ou encore décès sans oublier les cas de guérison sont gérés par les Centres régionaux de commandement opérationnel de lutte contre la Covid-19 (CRCO-Covid-19) respectifs c’est-à-dire qu’il faut se référer aux directeurs régionaux de la Santé publique ou les gouverneurs, membres actifs pour s’informer », a récemment avancé un responsable auprès du ministère de la Santé publique. Malheureusement, les personnes contactées refusent catégoriquement de s’exprimer et redirigent les journalistes au niveau central. D’autant plus, la nouvelle organisation auprès du ministère de la Santé publique exige, pour toutes questions des journalistes relatives à la santé publique, qu’il faut s’adresser directement à la Direction de la communication. Et cette entité va se charger de rassembler les réponses à leurs questions. Cependant, cette nouvelle approche n’a jamais rien donné quand il s’agit du sujet Covid-19.
KR.


Les nominations de représentants de la Grande île au sein d’instances internationales se suivent ces derniers temps. Dernièrement, selon un communiqué publié par le ministère des Affaires étrangères, hier, Monique Andreas Esoavelomandroso, ancienne médiateur de la République de Madagascar, a été élue au Comité des Sages du « Marché commun de l’Afrique orientale et australe » (COMESA) pour un mandat de quatre ans. Ce Comité des Sages du COMESA (CdS) fait partie d’un des piliers essentiels de la promotion de la paix et de la sécurité dans la région, conformément à l’article 3 du Traité du COMESA. Il a été créé en 2009 pour renforcer le cabinet du Secrétaire général pour les missions de restauration de la paix dans le cadre du Programme Paix et sécurité.
Cette organisation régionale accueillera également une autre ressortissante malgache, en l’occurrence la juge Salohy Norotiana Randrianarisoa, ex-directeur général des Affaires judiciaires, des études et des réformes auprès du ministère de la Justice, qui a été élue pour siéger en tant que juge de la Cour de justice de cette même organisation régionale. Ces deux personnalités prêteront serment durant le prochain Sommet des Chefs d’Etat et de gouvernement prévu en Egypte, le 23 novembre 2021. Elles ont rendu une visite de courtoisie au ministre des Affaires étrangères, Patrick Rajoelina, hier avant leur départ.
Les représentantes de la gent féminine ne sont pas les seules à  porter haut le flambeau du pays. Le Général Edelin Calixte Randriamiandrisoa vient d’être nommé membre du Conseil d’Administration (CA) du Fonds mondial de lutte contre le Sida, la tuberculose et le paludisme ou Global Fund. Il y siégera ainsi en qualité de représentant de l’Afrique orientale et australe. Rôdé au travail avec les partenaires techniques et financiers, cet officier supérieur a été conseiller spécial de plusieurs chefs de Gouvernement malagasy et a présidé le Country Coordinating mechanism et l’instance de coordination nationale des subventions du Fonds mondial à Madagascar de lutte contre les pandémies.
Le dernier nommé n’est plus à présenter. Le Professeur Raymond Ranjeva, président sortant de l’Académie nationale de Madagascar, vient d’être élu Président de l’Académie africaine des sciences religieuses, sociales et politiques le 13 Novembre 2021 à Dakar. Il s’agit d’une toute nouvelle institution de réflexion et de recherche axée sur les problèmes dans les domaines religieux, social, politique, scientifique, culturel et environnemental. L’Académie offre un espace de formation pluridisciplinaire ouvert aux Africains et à la diaspora. Ceux-ci recevront des compétences sur les notions du vivre ensemble, de la justice, de l’enrichissement mutuel et de la paix. Des nominations qui en appellent d’autres et qui montrent que Madagascar est un pays dynamique au plan international. De nombreuses responsabilités lui sont confiées au sein d’instances internationales.
La Rédaction

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Editorial

  • Fidèle engagement
    La lutte continue ! Mialy Rajoelina, la Première dame, ne lâche point. Fidèle à son engagement dans la lutte pour le bien-être de la famille, l’épouse du Président accepte volontiers d’être la marraine de la campagne nationale de vaccination contre la poliomyélite, première vague, qui s’est tenue du 14 au 17 mai dans tout Madagasikara.

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