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Madagascar suggère la création d'une organisation de pays producteurs de vanille. Lors de la 13e Conférence ministérielle de l'Organisation mondiale du commerce (OMC) à Abu Dhabi, le ministre  de l'Industrialisation et du Commerce, Edgard Razafindravahy, a annoncé l'intention de créer une organisation de pays producteurs de vanille pour protéger ce produit. Il a souligné l'importance des exportations de vanille pour l'économie de Madagascar, appelant les importateurs internationaux à soutenir cette filière en achetant les vanilles naturelles à des prix correspondant à leur qualité.

Entrainant. Depuis Antananarivo jusqu’à Sainte-Marie en passant par Andasibe, sur route, sur mer, dans les airs et sur les rails, le festival Nosy Boraha Jazz Festival (NBJF) ravira l’ouïe des passionnés tout en étonnant le voyageur lambda du 25 au 31 mars prochains. C’est ce que viennent d’annoncer, hier, au Novotel Alarobia, les membres du comité d’organisation de l’évènement qui rempile ainsi pour sa cinquième édition. Six jours durant, dont deux jours de voyage en train, en voiture, en bateau et quatre jours de festival, mélomanes et voyageurs pourront suivre un peu plus d’une quinzaine de concert et animations depuis Andasibe jusqu’à l’île paradisiaque de Sainte-Marie qui seront assurés par les plus grosses pointures nationales et quelques internationaux du monde musical.

La castration des violeurs est un acte de torture. A cette crainte venant des instances internationales, l’Etat malagasy a choisi de réaffirmer sa position en protégeant les enfants, les premières victimes privées de leur droit. Il faut être du côté du plus faible à savoir les enfants, les femmes, ou même les hommes victimes de viol. Ce dernier reste un acte de barbarie sur celle ou celui qui le subit. Il laisse à jamais des séquelles non seulement physiques mais aussi morales. C’est en considérant cet aspect de la souffrance des victimes, mais aussi à prévenir la multiplication de violeurs récidivistes que la modification du Code pénal a été motivée. 

Le Président Andry Rajoelina s’envolera ce jour pour la Turquie en vue de prendre part à la 3ème édition du forum diplomatique d’Antalya qui se tiendra du 1er au 4 mars. La première édition ayant été lancée en 2021, cet évènement est organisé par le gouvernement turc dans le but de consolider la coopération économique et diplomatique avec les pays africains. Ce forum verra la présence d’une vingtaine de Chefs d’Etat, dont le Président malgache, ainsi qu’une soixantaine de ministres des Affaires étrangères.

 

La une du 28 février 2024

Publié le mardi, 27 février 2024


Au cours de la conférence de presse organisée par l’Union européenne avant-hier, Isabelle Delattre, ambassadrice de cette organisation à Madagascar, s’est exprimée sur plusieurs sujets. Elle a notamment évoqué la loi complétant certaines dispositions du Code pénal et qui porte sur la castration des individus auteurs de viols commis contre les mineurs. « Je ne pense pas que la castration chimique ou la castration tout court soit une solution dissuasive pour les violeurs », a-t-elle déclaré. Et d’ajouter que la castration est une disposition qui est contraire à la Constitution malagasy, tout en évoquant la Convention des Nations unies contre les traitements cruels, inhumains et dégradants. Quid des enfants victimes de viols ? Alors, qui voient leur vie complètement brisée ou pire, qui perdent la vie ? Ces victimes, mineures de surcroît, n’ont-elles pas besoin d’être protégées ou qu’on se bat pour défendre leur droit ?
Cette déclaration d’Isabelle Delattre sonne comme une ingérence flagrante puisque la loi en question a déjà été adoptée par les deux Chambres du Parlement avant d’être approuvée par la Haute Cour constitutionnelle. Elle a donc suivi toutes les étapes requises en termes de légifération. En tant qu’Etat souverain, Madagascar possède toutes les prérogatives tant en matière de gouvernance que de législation. En sa qualité de diplomate, l’ambassadrice de l’Union européenne n’a, en principe, aucun droit de regard dans ce sens. Pour rappel, l’esprit de cet amendement du Code pénal « vise un effet dissuasif de la répression, la prévention de la récidive et la neutralisation des prédateurs sexuels en les soumettant à la peine de castration ».



Engagement solennel

Publié le mardi, 27 février 2024

La Première Dame retrousse les manches ! Telle une reine soucieuse de la vie de ses sujets, Mialy Rajoelina, l’épouse du Président de la République, s’engage solennellement à apporter significativement sa part de brique à la lutte pour l’éradication de la poliomyélite à Madagasikara. Elle fait part de son engagement devant la délégation de l’initiative mondiale, composée de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et du Fonds des Nations unies en charge de la culture et de l’éducation (UNICEF), venue la rendre visite au Palais d’Etat d’Iavoloha.
La Grande île est l’un des rares pays au monde où la poliomyélite persiste. L’OMS atteste que la poliomyélite fait partie de ces maladies éradiquées à l’échelle mondiale et cela grâce à une campagne à grande échelle de vaccination. Et Madagasikara faisait partie de ces pays ayant réussi la bataille en Afrique et dans le monde. Seulement voilà, depuis quelques années, la maladie réapparaissait de nouveau. D’après l’analyse des experts, le retour en zone de la terrible maladie correspondait au contexte d’après crise … politique dont les effets secondaires conduisaient le pays vers la misère. La situation de pauvreté extrême favorise le retour de ce genre de maladie. Les épidémies chroniques  partagent parfois le même chemin avec la misère.  Et cela, pour au moins deux raisons. Primo, l’insalubrité qui s’installe avec la misère. Les saletés ambiantes, dans lesquelles la grande majorité de la population vit, ne laissent aucune chance à la lutte contre ces « maladies de la honte ». Secundo, le relâchement de certains responsables, du haut de l’échelle de l’Etat jusqu’à la base, au contrôle et suivi des conditions de vie des masses populaires. Un laxisme impardonnable plutôt une indifférence caractérisée qui plonge le pays dans les abîmes de désolation. On aurait dû déclencher la campagne nationale de vaccination dès que les premiers signes s’étaient apparus. A ce relâchement des services publics, de l’époque, venait s’ajouter la méfiance des mères de famille à faire vacciner leurs progénitures et cela à cause des mauvaises rumeurs accusant de tous les mots et de tous les maux la vaccination. On garde encore dans les mémoires  la difficulté rencontrée par les Organismes internationaux impliqués dans la lutte contre la poliomyélite à travers les efforts de vaccination. Ils se sentaient laissés seuls dans la bataille tandis que les familles victimes sont oubliées à leur sort.
L’arrivée au pouvoir ou plutôt le retour aux affaires d’un certain Rajoelina Andry Nirina et son épouse Mialy en 2018 fut le phénomène déclencheur pour démarrer pour de bon la lutte contre toute forme d’adversités qui pèsent sur la population.
Mialy Rajoelina affichait, dès le début du premier mandat de son époux de Président de la République, sa ferme volonté de s’engager à lutter contre les maltraitances et les délits commis contre les femmes et les enfants. Elle acceptait volontiers d’être l’ambassadrice du FNUAP dans la bataille contre les Violences basées sur le genre (VBG) et ce jusqu’à ce jour. L’implication de la Première Dame consolide réellement à renforcer la lutte à travers le pays.
L’Initiative mondiale pour l’éradication de la poliomyélite n’hésite pas à  solliciter la Première Dame, vu son engagement ferme pour le bien-être de son peuple. Naturellement, Mialy Rajoelina Razakandisa n’hésite pas un seul instant à donner son accord.
Ndrianaivo


« Elle peut chercher même jusqu’au ch… mais elle ne trouvera rien de compromettant sur la famille du Président ». C’est la réaction virulente d’un proche du régime, suite à la publication et aux critiques de Fanirisoa Ernaivo envers le fils du Président Andry Rajoelina, Arena, qui vient de créer sa propre société. Cette exilée volontaire en France a avancé qu’elle cherchera partout (jusqu’au ch…) les dossiers compromettants qui pourraient toucher le Président Andry Rajoelina.
Dans ses rêves, elle trouve compromettant le fait que le fils aîné du couple Andry Rajoelina commence à voler de ses propres ailes en créant sa propre société, Arena Corporation. Avec comme activités « Achats et ventes au détail de marchandises générales, (…) et d’une manière générale, toutes les activités industrielles, commerciales ou financières, mobilières ou immobilières pouvant se rattacher directement ou indirectement à son objet social », la société d’Arena Rajoelina a été créée en 2022 dans la plus grande transparence. Elle figure bel et bien sur le site de l’EDBM, consultable d’ailleurs par le grand public.  Comme toutes les grandes sociétés, Arena Corporation a également vocation de prendre participation dans d’autres sociétés existantes ou à créer. Rien d’extraordinaire en somme, c’est du classique.
Arena Rajoelina, héritier d’une lignée entrepreneuriale, trace son chemin dans le monde des affaires. Son père, l’actuel Président de la République, au même âge, avait lancé sa société. A vingt-ans, il avait lancé le concept des soirées où le tout-Tana se retrouve le samedi soir pour danser dans les salons du Hilton. De l’événementiel, Rajoelina va rapidement passer à la communication. En 1998, il fonde la société Injet, spécialisée dans le marketing et la publicité, et acquiert un système d’impression numérique grand format qui lui permet de s’imposer sur le marché de l’affichage publicitaire. Ses grands-parents ont également une société prospère depuis plusieurs dizaines d’années.
Fanirisoa Ernaivo a cherché à ébranler le Président Rajoelina ou sa famille à de nombreuses reprises. Dernièrement, elle s’est personnellement investie dans l’affaire Romy Andrianarisoa en se rendant à Londres pour assister au procès. Elle a non seulement alimenté les spéculations mais aussi lancé des rumeurs dans l’espoir de voir l’affaire ébranler le pouvoir à Madagascar. Cependant, la procédure judiciaire n’a impliqué que Romy Andrianarisoa et Philippe Tabuteau, laissant Fanirisoa Ernaivo déçue de ses attentes.
La Rédaction


Actu-brèves

Publié le mardi, 27 février 2024

Emergence Madagascar a tenu une assemblée générale au Centre de conférence international d’Ivato hier. L’occasion pour la grande famille de cette association de présenter ses vœux à son président Holijaona Raboana. Ce fut également l’occasion de discuter de la structure et de renouveler le bureau de l’association qui compte notamment un secrétaire, des présidents provinciaux ou encore des coordonnateurs. Cette rencontre a aussi permis de dresser un bilan des activités de l’association, ses objectifs, et notamment de son soutien au Président Andry Rajoelina.
Même si l’association n’a pas de vocation politique, son président a émis l’annonce selon laquelle l’association pourrait soutenir des candidatures auprès de la coalition présidentielle. Selon son président fondateur, l’Emergence Madagascar compte aujourd’hui une centaine de milliers de membres répartis dans le pays et à travers le monde. Toliara compterait par exemple plus de trois milliers de membres, représentés hier à Ivato.

Appel pour le développement durable du VITM. Depuis son siège à Vangaindrano, le parti Vonjy Iray Tsy Mivaky (Elan populaire pour l’unité nationale) ou VITM appelle à la solidarité pour le développement durable. Cette formation qui aime être désignée « parti des ancêtres » envoie un message de retour au bercail pour les enfants du sérail. Les anciens membres sont invités à s’unir de nouveau pour un élan nouveau. Le devoir envers la nation les attend. Le Dr Marojama Razanabahiny fondait le parti en février 1973 dans le sillage du changement provoqué par les troubles du mai 1972. Lors du mouvement des Forces vives en 1991, le fondateur faisait partie de la bande des 3M avec Monja Jaona (maire de la ville de Toliara de 1959 à 1961) de Madagasikara Otronin’ny Malagasy ou MONIMA, un parti de l’opposition créé le 29 juillet 1958, et Manandafy Rakotonirina du MFM.
Les trois politiciens sont tous d’anciens membres du Conseil suprême de la révolution (CSR) arrivé au pouvoir en juin 1975 sous la férule du capitaine de frégate Didier Ratsiraka. Manandafy Rakotonirina était le secrétaire général du MONIMA avant la création de son propre parti MFM le 27 décembre 1972. Le parti VITM a participé à des élections. Son président-fondateur était même candidat à la présidentielle à un moment donné. Le parti a entamé en octobre la célébration de son 50è anniversaire qui se termine cette année.


Un début de semaine chargé au ministère des Affaires étrangères. La ministre Rafaravavitafika Rasata a reçu plusieurs représentants des systèmes des Nations unies travaillant à Madagascar. En premier lieu c’est la représentante résidente du bureau du Fonds des Nations unies pour l'enfance (UNICEF), Madame Christine Jaulmes, puis le  représentant de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), le Dr Laurent Musango et enfin Madame Volatiana Rakotondrazafy la représentante de l’Organisation des Nations unies pour le développement industriel (ONUDI) à Madagascar. Durant les entrevues de ce 26 février, les projets et les actions de ces organismes onusiens sur la Grande île ont été au cœur des discussions. Etant en plein collaboration dans l’atteinte de la politique de l’Etat malgache sur la valorisation du capital humain, la ministre a profité de l’occasion pour remercier l’UNICEF et l’OMS. Ces derniers qui appuient le Gouvernement malagasy dans le cadre d’une coopération et d’un partenariat basés sur la compréhension mutuelle en œuvrant dans les secteurs de l’éducation, la santé, la lutte contre les maladies transmissibles ou le travail décent. Quant à l’ONUDI, il s’agissait surtout des projets mis en œuvre dans le pays afin de faire avancer le développement industriel.


La Turquie continue de creuser dans le secteur de l’Economie bleue. Lors de la rencontre entre l’ambassade de Turquie avec le ministre de la Pêche et de l’Economie bleue(MPEB), la question des renforcements de l’appui du pays du Bosphore dans le secteur de la pêche a été renforcée. L’ambassadeur a notamment évoqué les aspects de la pêche, qui sont encore inexplorés sur la Grande île, comme les ressources demersales correspondant à l'ensemble des espèces d'intérêt commercial qui vivent sur le fond ou à proximité du fond (la dorade, le merlu, le merlan, la morue). Il y a aussi les ressources benthiques liées au substrat des fonds des mers et des océans ainsi qu'aux organismes aquatiques en relation directe avec ces fonds (Sole, plie et turbot, congre, rascasse ou mérou). En plus de cela, la possibilité d’échange d’expériences avec des « experts en pêche » turques a été également évoquée. Il est à noter que c’est la 2nd visite de l’ambassadeur dans les locaux du MPEB.


Douanes malagasy, extension du rôle des chiens renifleurs au trafic d’animaux protégés. La brigade canine de la Douane malagasy a fini l’intégration de plusieurs chiens dans ses rangs afin de détecter le trafic d’animaux au niveau des aéroports. Cette capacité s’ajoute ainsi à la détection de stupéfiants et de devises. Cela vient à point nommé avec la recrudescence du trafic d’animaux sauvages et les nombreuses tentatives de fraude. Afin d’avoir cette compétence, les maîtres-chiens et leur compagnon canin ont eu une formation d’un mois pour se recycler et parfaire leur nouvelle attribution. D’ailleurs, à la fin de la formation, 4 maîtres ont reçu leur certificat. Le trafic d’espèces protégées est un des fléaux qui touchent notre pays et souvent, ces dernières ne sont découvertes qu’une fois dans les pays de transit ou de destination. Ainsi, actuellement, leur détection sera effectuée plus aisément dès leur départ de Madagascar.


France - Madagascar, le retour du crane du roi sakalava Toera en bonne voie.  Lors d’une rencontre  de l’ambassadeur de France à Madagascar avec le ministre de la Communication et de la Culture à Anosy le 26 février, il a été évoqué qu’une première réunion sur les différentes étapes pour rapatrier les restes du souverain dans le pays se tiendra début mars. La session verra la participation de techniciens issus des deux pays. Cela fait également écho à la déclaration du Président Emmanuel Macron sur la restitution des biens qui ont fait l’objet de vol ou de pillage colonial de l’Afrique et l’adoption par le Parlement français de la nouvelle loi sur la facilitation du retour des biens acquis par la France pour les pays qui en ont fait la demande.  Le projet d’accord bilatéral sur la culture entre Madagascar et la France a été aussi au cœur des discussions. L’ambassadeur de France a déclaré que son pays est prêt à soutenir la Grande île dans le développement de la culture et de son patrimoine par l’envoi d’experts français dans le domaine de la conservation de livres anciens, la gestion des musées, des sites historiques ou des archives nationales.


Dimanche dernier, nous avons parlé du corps d'un Européen retrouvé flottant sur les vagues, au large de Toamasina. Il a fallu attendre jusqu'à ces dernières heures pour que tout se sache, du moins partiellement, à propos de la victime. En effet, l'homme est de nationalité italienne. Mais on ne connaît pas son âge. On ne sait rien sur sa vie privée, ni de sa situation matrimoniale. Et que les Forces de l'ordre n'ont pas décliné l'identité de la victime.
D'après une source auprès de la Gendarmerie, l'Italien se serait noyé accidentellement. Et que personne ne l'avait vu s'être englouti ainsi par la mer, car tout s'était déroulé très rapidement, du moins à en croire les propos de notre interlocuteur de la Gendarmerie. "Le malheureux était venu à cette plage pour se baigner. Après quelques brasses, il fut malheureusement entraîné par un puissant courant qui ne lui donnait aucune chance de s'en sortir vivant", précise-t-on encore.

Bien qu'on ignore également ses activités dans la vie, et de son vivant, il était en possession d'un visa de tourisme pour son séjour à Toamasina. "L'Italien a loué et a séjourné depuis un certain temps dans une chambre d'hôtel lors de son passage dans la cité portuaire de l'Est. Hier, l'ambassadeur d'Italie se serait rendu au port de Toamasina pour s'occuper des formalités, en vue du rapatriement de la dépouille de son compatriote vers son pays natal. Enfin, il est fortement déconseillé de se baigner dans un large secteur du front de mer à Toamasina, et ce, depuis que des travaux d'extension de son port pour accueillir davantage de navires de plus gros tonnage.


Franck R.

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Editorial

  • Souci national
    L’équipe nationale de football, les Barea, touche le fond. Soit ! Un fait, une réalité que personne ne contredit point. Pas besoin d’une longue démonstration par A + B pour le constater. Il suffit de voir, d’écouter et de lire pour s’en rendre compte. Situation catastrophique qui défraie la chronique. En fait, notre Onze national devient un problème national, une honte nationale. Bref, un souci national que même les moins fervents au ballon rond en parlent.Le dernier match des Barea contre nos voisins les Cœlacanthes au cours duquel l’équipe nationale concéda la plus lourde des défaites avec un à zéro balaie définitivement nos espoirs. Un échec qui confirme le classement de la CAF comme quoi Madagasikara se trouve derrière les Comores. La « Grande terre », le dernier de la classe, est l’ombre d’elle-même !Le sport, la grande fenêtre qui ouvre un pays vers le monde extérieur, un tremplin qui…

A bout portant

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