213 Malagasy étaient bloqués à l'étranger suite à la suspension des liaisons aériennes. Rapatriés le 6 juillet dernier par le vol d'Ethiopian Airlines, ils ont été placés, à leurs propres frais, en quarantaine  dans différents établissements hôteliers depuis, certains à Ambatomirahavavy, à Talatamaty tandis que d'autres ont été pris en charge à l'HJRA en raison de leur santé. Leur placement à l'isolement s'est achevé hier et après un dernier contrôle, les 213 ont été autorisés à rejoindre leurs foyers et  familles. Exceptionnellement, les 56 personnes habitant dans les régions ont pu quitter la Région d'Analamanga et ce en dépit de l'interdiction de sortie et d'entrée de cette localité, devenue le centre de la pandémie pour Madagascar.

 

Publié dans Politique
lundi, 20 juillet 2020

LA UNE DU 21 JUILLET 2020

Publié dans La Une
Page 2 sur 2

Fil infos

  • Animaux sauvages saisis en Thaïlande - Œuvre des réseaux de trafiquants à Madagascar
  • ACTU-BREVES
  • JIRAMA - Ron Weiss, nouveau directeur général
  • Production d’énergies renouvelables - L’Etat encourage les investissements privés
  • Actu-brèves
  • Coopération Madagascar-Maroc - Une seconde visite du Roi Mohamed VI se précise
  • ACTU-BREVES
  • Lutte contre la famine et les fléaux climatiques - Le Président Rajoelina plaide pour une hausse des financements
  • Actu-brèves
  • Energie renouvelable - Le premier parc éolien de Madagascar opérationnel début 2025

La Une

Recherche par date

« July 2020 »
Mon Tue Wed Thu Fri Sat Sun
    1 2 3 4 5
6 7 8 9 10 11 12
13 14 15 16 17 18 19
20 21 22 23 24 25 26
27 28 29 30 31    
Pub droite 1

Editorial

  • Vouée à l’échec ?
    Le pays est en plein chantier d’élaboration d’une nouvelle Stratégie nationale pour la lutte contre la corruption (et l’impunité), la SNLCC. Celle qui est en vigueur arrivera à son terme à la fin de l’année en cours après dix ans de mise en œuvre dans la bataille contre cette « ennemie » apparemment imbattable. Mise en selle en 2014, la SNLCC actuelle finira sa course incessamment. Mi-figue, mi-raisin, le bilan de la décennie de la Stratégie nationale de lutte contre la corruption balance entre un échec et une réussite. Le Comité pour la sauvegarde de l’intégrité (CSI) se trouve dans l’embarras pour traduire la situation exacte. Sahondra Rabenarivo, la présidente du CSI, déplore plus d’une fois l’existence de certains facteurs de blocage dans le processus normal de la lutte contre la corruption. Il existe un dysfonctionnement perçu comme un frein au bon déroulement du système de lutte contre la corruption.

A bout portant

AutoDiff