L’Allée des baobabs échappe in extremis au ravage destructif du feu !
Des feux de brousse d’une terrible intensité se déchainaient autour du site de la légendaire « Allée des baobabs », un joyau du patrimoine national. Un haut lieu du tourisme national qui attire des visiteurs sinon des touristes du monde entier. Selon les informations émanant des responsables locaux, le site a pu être sauvé au dernier moment.
Pour tous les circuits touristiques vers l’ouest dans le Menabe, la visite de l’Allée des baobabs est incontournable, un passage obligé, de préférence vers la fin de la journée pour assister un magnifique coucher de soleil entre les baobabs. En effet, un endroit très prisé par les touristes fortunés. C’est inconcevable de voir un jour l’Allée des baobabs … calcinée ! La protection et la sauvegarde de nos patrimoines à valeur ajoutée touristique doit faire l’objet des traitements particuliers. La communauté villageoise de base, la première concernée par la sauvegarde, est appelée à veiller constamment de telle sorte qu’aucun danger puisse porter atteinte à l’intégrité du précieux joyau du village. Les responsables étatiques, le département de l’Environnement et du Développement durable, pour sa part, doit établir une stratégie durable pour la protection permanente de nos richesses naturelles notamment en cette période de feux de brousse fréquents. On assiste actuellement à des sonnettes d’alarme tirées un peu partout par les comités de vigilance de base sur le péril qui touche le pays en raison des incendies de brousse que l’on constate déclarés un peu partout. Ils lancent les alertes, des appels urgents, du fait que lesdits feux menacent très sérieusement les zones forestières du pays jusque dans les aires protégées. Il importe d’établir des politiques nationales de sauvegarde de la biodiversité qui abrite la faune et flore endémiques. Une urgence parmi les urgences prioritaires nationales qui attendent la nomination du nouveau patron du MEDD et par la suite des actions concertées au niveau du Gouvernement. Faut-il rappeler à tout moment que la sauvegarde de l’environnement et la protection des activités touristiques constituent la pierre angulaire du développement de Madagasikara. Sans omettre évidemment l’intérêt majeur que représentent pour le pays les autres secteurs-clé tels l’énergie, l’industrie et ses dérivées et le secteur agricole. En fait, le monde agricole en déperdition a besoin en urgence d’être sauvé ou secouru. Sans minimiser le rôle capital que jouent nos richesses naturelles endémiques, en faune et flore, dans le processus du développement de Madagasikara. La conservation de nos espèces protégées constitue un trésor naturel que les riches touristes internationaux se déplacent de loin pour les admirer ou les visiter dans leur milieu naturel. Autant de richesses et d’opportunités que nous avons intérêt à les capitaliser au service de l’intérêt général du pays.
Personne n’est pas sans savoir de la décadence de notre patrimoine culturel au profit de la culture de l’autre rive (andafindranomasina). Le goût et les rythmes de l’occident supplantent les richesses culturelles du pays. Nos valeurs culturelles héritées de nos ancêtres se dissipent comme une trainée de fumée qui avec le temps disparait pour ne plus revenir. Serait-ce le résultat d’une loi implacable dictée par la mondialisation !
Pour le moment, l’Allée des Baobabs est sauvée ! Qu’en est-il des autres ! Réfléchissons !
Ndrianaivo
Deux établissements relevant du Groupe Sodiat, dirigé par l’homme d’affaires et opérateur économique bien connu Maminiaina Ravatomanga, ont fait l’objet de vastes perquisitions dans la journée d’hier, mardi. Les sites concernés sont la Madagascar Security Academy (MSA) et le Golf du Rova tous deux situés du côté d’Andakana.
Selon les informations recueillies sur place, l’opération s’est déroulée dans le strict respect du cadre légal en vigueur.
Les Forces mixtes, aperçues sur les lieux, se sont munies d’un mandat de perquisition en bonne et due forme. La fouille aurait débuté entre 8h30 et 9 heures, pour ne s’achever qu’en fin d’après-midi, aux alentours de 16 heures. Durant toute la journée, les enquêteurs ont passé au peigne fin les deux sites, passant en revue les bâtiments ainsi que les espaces extérieurs, y compris les vastes jardins qui entourent les infrastructures.
Pour l’heure, les raisons exactes ayant motivé ces opérations de perquisition demeurent inconnues du grand public. Aucune déclaration officielle n’a encore été faite pour préciser le contexte de ces interventions. Ce que l’on sait, en revanche, c’est que cette double descente intervient dans un climat où le PDG du Groupe Sodiat semble attirer une attention accrue de la part des autorités.
Il convient en tout cas de rappeler que Madagascar Security Academy (MSA) est un établissement d’enseignement technique et de formation professionnelle régulièrement autorisé à ouvrir ses portes en 2024 par les ministères compétents. L’école propose un large éventail de formations, notamment en sécurité et sûreté, sûreté aéroportuaire, ainsi que plusieurs programmes qualifiants destinés aux métiers de terrain. Ces formations, officiellement homologuées la même année, sont ouvertes aux entreprises privées locales et étrangères œuvrant dans le domaine de la sécurité, mais également aux agents internes du groupe, dans le cadre de la formation continue, devait récemment indiquer la société en réponse à certaines fausses informations qui ont circulé.
Quant au Golf du Rova, fondé en 1930, il s’agit d’un haut lieu historique du sport et du tourisme à Madagascar. Ce site prestigieux abrite le premier et unique parcours de golf de 18 trous du pays, entouré d’un environnement verdoyant d’exception.Le complexe comprend également un hôtel cinq étoiles offrant des prestations haut de gamme, très prisé aussi bien par les visiteurs étrangers de passage que par les amateurs locaux de golf et de détente.
La Rédaction
Un appel à l'unité et la réconciliation. Un ton d'apaisement a résonné hier au Palais d'Etat de Mahazoarivo, lors de la cérémonie officielle de passation de pouvoir entre l'ancien Premier ministre, le Général Zafisambo Ruphin Fortunat Dimbisoa, et le nouveau locataire du poste, Rajaonarivelo Herintsalama Andriamasy. Le Général Zafisambo a tenu à souligner l'impératif du patriotisme pour guider le pays vers la reconstruction et la résolution de ses crises récurrentes. Il a mis en exergue la nécessité de s'attaquer aux racines des maux qui gangrènent la nation, et a fermement plaidé pour l'éradication de toute forme de vengeance, qu'elle soit directe ou indirecte. "Nous devons faire preuve de respect mutuel, d'entraide et de pardon, le patriotisme doit toujours primer", a-t-il déclaré, appelant à une synergie constructive. De son côté, le nouveau Premier ministre, a affiché une détermination sans faille à insuffler une dynamique de progrès rapide et de développement pour Madagascar. Il a promis de veiller à la justice, d'exiger la rigueur et l'honnêteté de tous, et de ne tolérer aucune forme d'abus, de corruption, ou de détournement des richesses nationales et des biens publics. "Nous entrons dans une nouvelle ère", a-t-il affirmé, insistant sur le renforcement des liens de solidarité et la mobilisation de tous les Malagasy pour bâtir un avenir de paix, de justice et de prospérité.
L’Assemblée nationale en deuil avec la disparition de Diny Georges. C'est avec une profonde émotion et une grande tristesse que le président de l'Assemblée nationale, les députés et l'ensemble de la famille parlementaire de Madagascar ont appris le décès de Diny Georges. Figure emblématique de la vie politique malgache, il fut ancien député et vice-président de l'Assemblée nationale populaire (ANP). Ses obsèques se dérouleront à Ambanja ce vendredi 24 octobre. Il a consacré une grande partie de sa vie au service de son pays et de sa région. Élu député d'Ambanja pour la première fois de 1983 à 1989, il a ensuite été réélu de 1989 à 1992, cumulant alors les hautes fonctions de vice-président de l'ANP et de président de la Commission finances et économie de cette même Assemblée. Engagé au sein du parti AREMA, il a également exercé des responsabilités influentes au niveau local et régional, notamment en tant que premier président du Comité exécutif du Firaisampokontany d’Antsiranana I et comme président du Comité exécutif du Faritany d’Antsiranana. Au-delà de son parcours parlementaire et politique, l’ancien député s'est distingué par son engagement résolu dans le développement des infrastructures publiques, laissant une empreinte indélébile dans le nord de l'île. On lui doit notamment une implication majeure dans la construction du Centre universitaire régional (CUR) polytechnique de Diégo-Suarez, aujourd'hui fièrement connu sous le nom d'Université d'Antsiranana.
Suspension des concours administratifs. Dans le cadre de la refondation du pays, le Chef de l’Etat, le colonel Michaël Randrianirina, a ordonné la suspension de l’ensemble des concours administratifs. Cette mesure vise à renforcer la transparence des recrutements publics et garantir l’égalité d’accès pour tous les citoyens. Un décret officiel viendra prochainement entériner cette décision. En attendant, le premier concours concerné est celui du recrutement de 150 élèves magistrats à l’Ecole nationale de la magistrature et des greffes (ENMG), dont les épreuves étaient prévues à partir du 28 octobre prochain. Selon le ministère de la Justice, cette suspension temporaire permettra d’harmoniser les procédures et de s’assurer que les futurs concours répondent aux principes de mérite et d’équité prônés par la refondation nationale.
Dans le flou total. Bon nombre des acquéreurs et ceux tirés au sort pour bénéficier des logements et appartements dans les programmes étatiques s’inquiètent de leur sort, après le changement des dirigeants. « Nous nous demandons si les sommes déjà versées ainsi que les contrats seront encore valides. Ceci d’autant plus que beaucoup de publications sur les réseaux sociaux encouragent la prise en main de ces logements par l’Etat pour ensuite les redistribuer aux fonctionnaires ou aux enseignants», avance un des bénéficiaires des logements à Imeritsiatosika, voulant garder son anonymat. Ces 320 logements sociaux de 70m² ont été attribués grâce à un système de vente-location, dont les bénéficiaires ont été tirés au sort en 2023 sur 3 500 demandes. Le loyer mensuel a été fixé entre 175 000 et 200 000 ariary sur une période de 15 à 20 ans, selon les informations recueillies en septembre dernier. « Nous demandons respectueusement les responsables de convoquer une réunion commune pour nous rassurer et donner des explications sur la suite des procédures après le tirage», sollicite H.R., un autre bénéficiaire en désarroi.
Les procédures de vente et de recouvrement s’enchaînent
L’agence nationale d’appui au logement et à l’habitat (ANALOGH) a communiqué mardi dernier que « la prise en main de la vente et le recouvrement des programmes de logements initiés par l'État se poursuit dans le strict respect des procédures légales et en totale transparence...Ces logements, appartements et terrains ne sont nullement abandonnés tel qu'il est actuellement véhiculé. L'ANALOGH demeure pleinement engagée dans la continuité du service public et dans la préservation du patrimoine immobilier de l'État. À ce jour, l'Agence entretient un contact permanent avec les acquéreurs et les bénéficiaires éligibles conformément aux dispositions en vigueur». Ladite agence demeure ainsi l'unique entité légalement habilitée à assurer la mise en œuvre et la continuité de ces projets. toutes les personnes concernées peuvent ainsi s'adresser directement à son siège sis à Soanierana Ankadimbahoaka pour toute information officielle.
Par ailleurs, l'Agence précise dans son communiqué que « les terrains liés à ces programmes constituent des réserves foncières appartenant à l'État, exclusivement destinés à la poursuite des projets de logements. Toute tentative d'appropriation ou de lotissement illégal de ces terrains sera considérée comme une infraction grave et fera l'objet de sanctions prévues par la législation en vigueur».
Recueillis par P.R.
Les procédures de vente ont déjà été lancées pour ces sites, à savoir :
· Cité des 320 logements Imerintsiatosika,
· Cité Vatofotsy de 80 logements à Antsirabe,
· Cité Ylang Ylang de 80 logements à Nosy Be,
· Cité Soa de 15 appartements à Fianarantsoa,
· Lake Village Ivato de 135 appartements.
Les conditions d’accès aux logements situés à Ivato ont été rendues publiques en 2023, selon l’ANALOGH. Pour les autres logements, c’est le ministère de tutelle qui s’est chargé de l’organisation du tirage au sort. L’agence d’ajouter que les prix des logements ont été fixés de manière à être accessibles à toutes les catégories sociales. Toutefois, elle reconnaît que l’offre reste largement insuffisante par rapport à la demande...
La tempête tropicale modérée Chenge s’est intensifiée et devenue une forte tempête tropicale. Hier à 15 heures locales, elle est positionnée à environ 1350 km à l'Est-Nord-Est d'Antsiranana. Le vent qui l’accompagne est estimé à 90 km/h avec des rafales de 125 km/h près de son centre. Elle se déplace vers l’Ouest à une vitesse de 20 km/h. La vigilance est de mise pour les zones côtières et les zones à risques d’inondation et de glissement de terrain.
Selon les dernières observations météorologiques, les conditions environnementales demeurent modérément favorables, permettant à la forte tempête tropicale Chenge de conserver son intensité, accompagnée de vents violents.
Au cours des cinq prochains jours, le système poursuivra sa trajectoire vers l’ouest, tout en évoluant dans un environnement qui devrait se détériorer progressivement à partir de ce jour.
Le centre du phénomène passera à environ 200 kilomètres au Nord d’Antsiranana dans la nuit de samedi à dimanche. Toutefois, les nuages associés au système risquent d’apporter des pluies abondantes sur la région Nord-Est du pays à partir de demain. Les régions côtières du nord-ouest de Madagascar pourraient être exposées à de fortes pluies, des vents violents pouvant dépasser les 100 km/h, et une mer très agitée, entre vendredi et samedi.
Selon la direction de la météorologie, Madagascar, aucune alerte cyclonique n’a encore été émise, mais les pêcheurs et transporteurs maritimes opérant le long des côtes des Régions Diana et Sava sont invités à regagner la terre ferme et suspendre toute sortie en mer dès vendredi après-midi.
A.R.
Terrible drame routier hier en milieu de journée sur la voie principale d’Ankazobe, Commune rurale d’Alasora. Une moto transportant deux personnes s’est littéralement encastrée sous l’avant d’un taxi-be, arrivé en sens inverse. Le choc fut d’une telle violence que le conducteur du deux-roues n’a eu aucune chance de s’en sortir. Son corps, projeté contre la carrosserie du minibus, portait de profondes blessures à la tête et au thorax. Il a succombé sur le coup, selon les premiers constats des secours.
Sa passagère, une femme d’une trentaine d’années, a quant à elle été grièvement blessée. Et a été évacuée d’urgence vers un centre hospitalier, tandis que la scène de l’accident attirait une foule bouleversée.
Mais comment cette moto a-t-elle pu finir sa course sous le taxi-be ? D’après des témoins, tout aurait commencé quelques secondes plus tôt. Un cycliste, livreur de pains, circulait devant la moto. “Le motard aurait tenté de l’éviter de justesse, mais sa manœuvre l’a déporté sur la voie opposée, pile au moment où le taxi-be arrivait”, raconte un habitant du quartier, encore sous le choc.
Cependant, la police d’Alasora, en charge de l’enquête, livre une autre version. “Selon nos premières constatations, le pilote de la moto aurait essayé de dépasser le vélo de livraison. C’est pendant cette tentative qu’il se serait retrouvé face au bus. Il tenté de freiner, mais ses freins n’ont pas répondu, provoquant la chute et la glissade fatale”, confie un enquêteur.
Le conducteur du taxi-be et le cycliste impliqué ont été placés en garde à vue pour les besoins de l’enquête. Tous les véhicules concernés ont été saisis et immobilisés au commissariat d’Alasora, en attendant les suites judiciaires.
Franck R.
Le Jeune patronat de Madagascar (JPM) tiendra sa rentrée 2025 les 27 et 28 novembre à Andraharo. Initialement prévue en octobre, la rencontre a été reportée à cause du contexte national. Plus de 300 jeunes dirigeants, cadres et investisseurs sont attendus. Pendant deux jours, ils travailleront pour allier sens et performance dans leur rôle de leaders. Selon les organisateurs, « l’objectif est de fédérer la jeunesse du secteur privé et de l’aider à devenir de meilleurs dirigeants pour Madagascar ». L’ambiance sera professionnelle, dynamique et humaine, avec des échanges enrichissants. En introduction à la rentrée, le JPM organisera les états généraux du Jeune patronat. « Cette rencontre présentera les propositions économiques et structurelles de la jeunesse du secteur privé et ce, élaborées avec les différentes parties prenantes. Ce sera un moment de dialogue et de réflexion sur l’avenir du pays », a ajouté un membre de l’organisation.
Engagement
Trois grands thèmes guideront la Rentrée. Parmi eux, l’engagement politique des entrepreneurs occupera une place centrale. Le JPM souhaite montrer comment le secteur privé peut participer activement à la vie publique tout en restant efficace dans ses activités. La première journée sera consacrée à donner du sens à l’action entrepreneuriale. Les discussions porteront sur le leadership humain, la responsabilité sociale et l’équilibre entre ambition personnelle et intérêt général. La seconde journée sera plus pratique et portera sur la performance et l’innovation. Des ateliers interactifs aborderont l’intelligence artificielle, la levée de fonds, le marketing digital et l’économie circulaire. Les participants repartiront avec des outils concrets pour développer leurs projets. Des espaces de networking permettront de rencontrer mentors, investisseurs et porteurs de projets. Ces échanges favoriseront la création de partenariats durables.
Carinah Mamilalaina
Un grand nom du cinéma malagasy est attendu à la 8e édition du Festival Films courts de Dinan qui se tiendra du 19 au 23 novembre 2025, avec une programmation enrichissante et un jury d’exception. Parmi les personnalités chargées de départager les œuvres en compétition, le célèbre réalisateur et producteur Laza Razanajatovo qui incarne la volonté du festival de mettre en lumière la diversité et la richesse du cinéma mondial. Présenté en tant que membre du jury le mardi 21 octobre 2025, Laza apporte une contribution bien au-delà de celle d’un simple observateur. Reconnu comme une figure majeure du cinéma africain francophone, son influence est profondément ancrée dans le secteur. Depuis la création en 2006 des Rencontres du film court de Madagasikara, qu'il dirige encore aujourd’hui, il se dédie activement à soutenir et valoriser les talents cinématographiques locaux. Sa passion pour le genre court-métrage, qu’il considère comme un médium essentiel de l’expression artistique, l’a également amené à lancer le festival Madagascourt, devenu un rendez-vous crucial pour les nouveaux créateurs de l’île. Laza ne limite pas son engagement au territoire malaga. Ses travaux en tant que réalisateur et producteur, mêlant audace et authenticité, ont permis au cinéma africain de briller sur la scène internationale. Sa participation au jury dinannais traduit à la fois une reconnaissance méritée de son parcours exceptionnel et un choix stratégique visant à ouvrir le festival breton aux voix culturelles du monde. Au côté de Julie Ferrier, présidente du jury et artiste talentueuse dans les domaines de l’humour et du théâtre, ainsi que de Natacha Régnier, actrice belge renommée pour ses contributions au cinéma européen, Laza enrichira les discussions d’une perspective unique nourrie par ses convictions et son expérience. Ensemble, ces jurés auront la tâche délicate de choisir les œuvres les plus marquantes, en mettant l’accent sur leur originalité, créativité et leur puissance artistique. La présence de Laza symbolise magnifiquement cette ouverture sur le monde et cette ambition de faire du festival un carrefour où chaque film et chaque cinéaste trouvent leur place. En rejoignant le jury, Laza se positionne comme un passeur entre les continents, apportant à Dinan un regard venu d’Afrique et de Madagascar, forgé par une vision cinématographique résolument universelle.
Si.R