Monaco accueillera le tournoi de repêchage de rugby à 7 pour les Jeux olympiques de Tokyo. En effet, Monaco a été retenue pour accueillir le World Rugby Sevens Repechage, le tournoi de l'ultime chance pour se qualifier aux Jeux olympiques de Tokyo, les 19 et 20 juin 2021. Les Makis ladies y disputeront ainsi ce tournoi de repêchage. Le tournoi féminin accueillera l’Argentine, la Colombie, la France, Hongkong, la Jamaïque, le Kazakhstan, Madagascar, le Mexique, la Papouasie-Nouvelle-Guinée, la Russie, les Samoa et la Tunisie. Quant au tournoi masculin, il impliquera le Brésil, le Chili, la Chine, la France, Hongkong, l’Irlande, la Jamaïque, le Mexique, les Samoa, les Tonga, l’Ouganda et le Zimbabwe.
Tous en lice pour remporter le prix ultime : obtenir les deux places restantes pour l’équipe féminine et celle masculine pour le tournoi olympique de rugby à sept qui aura lieu du 26 au 31 juillet 2021 au Tokyo Stadium.
Avec 21 des 24 équipes déjà qualifiées pour le tournoi olympique de rugby à 7, les deux places restantes pour les femmes et la seule place restante pour les hommes seront déterminées à Monaco. Les préparations pour le tournoi olympique de rugby à 7 bénéficient d'un financement de 4 millions de dollars US octroyé par World Rugby pour soutenir les programmes de Sevens établis par les fédérations. Le premier tournoi inter-régional de préparation avant les Jeux olympiques se déroulera à Madrid les 20 et 21 puis les 27 et 28 février 2021.
La santé et le bien-être des joueuses, des joueurs, des fans et de la grande famille du rugby restent la priorité absolue. La décision a été confirmée par le comité exécutif de World Rugby à l'issue d'un processus de sélection. Ce tournoi revient donc au Stade Louis II, là où s'est déjà déroulé le précédent tournoi de repêchage pour les hommes avant les Jeux olympiques de Rio 2016.
Le rugby à sept devrait être l'une des épreuves les plus attendues des Jeux de Tokyo, après le succès exceptionnel de la Coupe du Monde de Rugby 2019 au Japon.
Recueillis par E.F.
Fetra Ratsimiziva (-81kg) était le seul combattant malagasy à monter sur le podium après avoir gagné la médaille de bronze face au Gabonais Koumba. Durant la deuxième journée, on a vu la participation de Narindra Rakotovao (-57kg) et Haingoniaina Miandrisoa (-78kg). L’Egypte termine premier avec 5 médailles d’or 2 d’argent et 2 de bronze devant le Maroc qui a empoché une médaille d’or, cinq d’argent et 2 de bronze. L’Algérie complète le podium avec une médaille d’or, 3 d’argent et 2 de bronze.
Plus de 200 journalistes réunis ! Ils sont issus de divers organes de presse, associations et clubs issus des Régions d’Analamanga, Itasy, Bongolava et Vakinankaratra. Ils se sont donné rendez-vous à l’espace Ankona, à Ambohidrazaka Alasora dans l’Avaradrano, samedi dernier pour une journée récréative. Celle-ci résulte de l’initiative de Fetra Rakotondrasoa, journaliste et député à la tête de la commission communication auprès de l’Assemblée nationale, avec l’appui de Soava Andriamarotafika et autres agents de la presse. L’objectif étant de renforcer le lien et la solidarité entre les journalistes, tout en fêtant comme il se doit la fin de l’année 2020. D’ailleurs, les occasions de rencontre et de fête étaient rares cette année, avec la crise sanitaire liée au coronavirus.
Samedi rouge, rouge de flammes ! Deux localités différentes du pays dont le District de Mitsinjo sur la côte ouest, et celui de Fenoarivo-Atsinanana à l’est, ont été les théâtres d’importants incendies aux conséquences particulièrement graves, samedi après-midi dernier. A commencer par le sinistre qui a dévasté le bazar sis dans la Commune de Matsakambanja-Namakia. Selon une source d’information, 70 maisons, en majorité constituées de magasins de gros et de détails, ont été complètement détruites. Si le sinistre a débuté vers 17h, les secours n’ont pu vaincre totalement le feu que très tard la même nuit. “Un court-circuit qui a démarré d’une boutique, serait à l’origine de ce sinistre dont les pertes sont incalculables”, confie un député de Madagascar élu dans la Région.
Des mesures répressives sur la vente ambulante des masques chirurgicaux. Depuis la fin de la période de confinement et l’obligation du port de masque à cause de propagation de la pandémie de coronavirus, une forte demande en la matière a été constatée sur le marché local. Beaucoup se ruent ainsi vers la commercialisation de ces masques chirurgicaux et respiratoires, si auparavant, les vendeurs ne font qu’écouler leurs stocks. Ces produits se vendent actuellement comme des petits pains dont le prix varie entre 500 à 1 000 ariary l’unité.
« Des élèves affamés qui disparaissent vers 14h pour aller chercher de la nourriture à la maison, et dont la majorité ne reviennent plus que le lendemain en ayant toujours ce même problème ». C’est à cela que se résume le quotidien des élèves en classe de 7ème de l’Ecole primaire publique (EPP) située à Ifaty, d’après leur enseignant. Depuis 2018, la dernière année de l’opérationnalisation de la cantine scolaire au sein de cet établissement scolaire, l’enseignement s’est plus ou moins compliqué.
Face à la gravité des impacts du Kere dont la famine dans le Sud et à l'urgence des actions à entreprendre, le Gouvernement malagasy s'adresse à la Communauté internationale. Le Chef de l'Etat, en personne, a convié au Palais d'Etat d'Iavoloha les pays amis et bailleurs de fonds traditionnels afin de leur exposer de vive voix la dramatique situation qui prévaut sur place et de solliciter leurs aides. Vu l'immensité des besoins, le Gouvernement ne peut pas, à lui seul, les supporter en totalité dont le montant a été évalué à 60 millions de dollars en besoins directs et immédiats pour soutenir la population en situation de précarité extrême. Et la Communauté internationale ne tarde pas à répondre. Les vrais amis se reconnaissent dans l'adversité.
Clap de fin pour la toute première édition de la Foire 4M-Madagasikara Mijoro, Miray hina, Mifaly. Au cours de ces quatre derniers jours, les exposants, les opérateurs et les producteurs issus de divers secteurs d’activité ont pu valoriser le savoir-faire et les produits « Vita Malagasy ». En effet, ils ont encore du chemin à faire pour dissuader les citoyens malagasy à consommer local. Cet événement est une étape dans ce long et pierreux périple, surtout que le développement de l’industrie malagasy dépendra de la consommation. Ce moment de partage et d’échanges a ainsi été bénéfique autant pour les exposants que pour les visiteurs.
Concrétisation. Suite à la signature de la convention de partenariat avec seize opérateurs aurifères en fin octobre, la « Banky Foiben’i Madagasikara » (BFM) a commencé à acheter de l’or depuis maintenant trois jours. Bien que certains opérateurs aient émis des doutes avant, la viabilité du processus convainc plus d’un. L’initiative fait mouche pour de multiples raisons. Citons entre autres le prix d’achat proposé par la BFM qui s’aligne au cours international, moins les frais relatifs à la transaction. L’exonération de la Taxe sur la valeur ajoutée (TVA) est déjà entrée en vigueur et est effective lors des ventes de la semaine dernière. Et le dernier point qui enlève toute appréhension concerne le paiement qui peut se faire au plus tard 12 heures après la vente. Bref, des procédures qui font des deux parties contractantes des gagnants.
L'affaire du père de famille qui a sévèrement puni son fils, suite à une mise à pied par son école, a continué d'alimenter les sujets de discussion sur les réseaux sociaux notamment. Accusé de maltraitance d'enfant, ce père de famille a été déféré au Parquet en fin de semaine dernière. A l'issue de son audition, il a été placé en détention préventive en attendant son procès qui serait prévu cette semaine. Un passage par la case prison que certains disent « mérité » tandis que d'autres affirment que cette sanction est disproportionnée.