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Vers 2h30 du matin le 28 janvier dernier, accompagné du chef Fokontany, un habitant de 27 ans de la localité d'Analanambe, Commune rurale d'Ambodidivaina, District d'Andapa s'est présenté au poste avancé de Gendarmerie d'Ambodiangezoka, pour avoir été victime d’un cambriolage. L'homme déclare s’être alors défendu légitimement.

Hier à 15 heures locales,  la tempête tropicale Elvis a été localisée à environ 145 km au sud-ouest d'Itampolo, Ampanihy. Les vents ont augmenté jusqu'à 80 km/h, suivis des rafales de 110 km/h près de son centre. 

Il n'a pas beaucoup bougé ces 12 dernières heures, selon Météo Madagascar. En mer, des vents forts se retrouvent avec Elvis. Après des jours et des jours d’une laborieuse cyclogenèse, le système évoluant dans le canal du Mozambique a atteint le stade de tempête tropicale. Il va bientôt s'évacuer vers le Sud-Est.

Hier, près de 1 388 jeunes étudiants de l’Institut Supérieur de Technologie (IST) d’Antananarivo ont reçu leurs diplômes au Palais des sports et de la culture de Mahamasina. Respectivement des promotions ‘‘Maharitra’’ et ‘‘Kintana’’, ils ont officiellement achevé leur parcours académique. Cet accomplissement symbolise un renouveau d’espoir et de confiance pour l’avenir de Madagascar. Ces diplômés, formés en génie civil, management d’entreprise, commerce et génie industriel, sont désormais prêts à relever les défis du monde professionnel.

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Horrible souvenir

Le monde commémore ce lundi 27 janvier le 80ème  anniversaire de la fermeture par l’Armée Rouge du camp de concentration et d’extermination d’Auschwitz-Birkenau.

Le 27 janvier 1945, les soldats de l’Armée Rouge de l’Union des Républiques socialistes soviétiques (URSS) étaient parvenus à briser la « forteresse » de l’Allemagne nazie en écrasant la toute puissante  Wehrmacht, l’armée allemande. La première grande défaite d’Hitler. Les vaillants soldats de l’Union Soviétique réussirent à libérer le peu des prisonniers survivants et fermer le triste célèbre « Camp de concentration et d’extermination d’Auschwitz – Birkenau ».

Le Syndicat des industries de Madagascar (SIM), dirigé par son président Tiana Rasamimanana, a récemment tenu une réunion stratégique avec la ministre de l’Education nationale. L’objectif de cette rencontre était de discuter des initiatives visant à intégrer la promotion de l’industrie locale dans le système éducatif du pays. Cette démarche s'inscrit dans une volonté de renforcer la fierté nationale en sensibilisant les jeunes à la richesse et au potentiel de l’industrie locale. Dans le cadre de sa politique de valorisation des produits locaux, le SIM souhaite éveiller chez les élèves un sentiment d’appartenance et de fierté envers les richesses nationales.

Du 5 au 26 février, la Bibliothèque municipale d'Analakely se métamorphosera en un véritable sanctuaire artistique avec l’exposition "L’Exode", dédiée aux œuvres de l’artiste peintre Jopache Razakarisoa. Cet événement promet d'être un véritable festival des couleurs et d'émotions, mettant en avant une douzaine de créations réalisées à l’huile et à l’acrylique invitant le public à explorer des thèmes profonds tels que l'identité et l'appartenance.

Les réseaux sociaux malgaches se sont agités, hier, autour d’une rumeur selon laquelle des Malgaches seraient sur le point d’être expulsés des Etats-Unis, en lien avec une décision du Président américain Donald Trump. L’information, relayée par des médias africains et arabes, proviendrait d’un rapport de Fox News en novembre 2024, citant des données de l’Immigration and Customs Enforcement (ICE).

Ce rapport indique que 1,4 million de non-citoyens font l’objet d’une ordonnance finale d’expulsion, dont précisément cinq Malgaches. Toutefois, ces chiffres ne traduiraient pas une nouvelle politique de Donald Trump, mais un état des lieux des procédures en cours, d’après les explications glanées ici et là.

L'exécution budgétaire pour l'année 2025 s'annonce essentielle pour garantir le bon fonctionnement des finances publiques et atteindre les objectifs économiques fixés par le Gouvernement. Le ministère de l’Economie et des Finances, conscient des enjeux, organise traditionnellement des journées de présentation officielle de la Circulaire d’Exécution Budgétaire (CEB). Cet événement, qui prend une dimension particulière cette année, vise à aligner tous les acteurs impliqués autour des objectifs communs et des dispositions pratiques de la CEB. Ainsi, la présentation se déroulera en deux étapes distinctes à Anosy, permettant d'adresser spécifiquement les besoins d'information des Etablissements publics nationaux (EPN).

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La une du 29 janvier 2025

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Discret

Il ne fait pas trop de bruit. Il agit presque dans le silence, loin des micros et des caméras. Modeste et surtout discret, c’est un secteur d’activité économique qui requiert essentiellement l’expertise de la main, l’artisanat, renait.

Madagasikara, un pays dominé par les activités agricoles et artisanales, recèle des richesses naturelles, faunes et flores, pouvant intéresser le travail fait à la main. Chaque contrée hérite de leurs ancêtres respectifs de petites spécialités artisanales utiles au bon fonctionnement de la vie quotidienne au sein de la communauté villageoise. Ainsi, dans le pays Betsileo, on s’épate de l’« art Zafimaniry », ce bois de la forêt sculpté sinon finement ciselé pour en faire des sièges de luxe dans le District d’Ambositra, Région d’Amoron’i Mania (ancienne Province de Fianarantsoa). Des « papiers Antemoro », encore dans l’ancienne Province de Fianarantsoa, dans le Sud-est, de Vohipeno à Manakara. Ces beaux papiers, un trésor de l’artisanat malagasy, faisant la fierté des Malagasy. De jolis chapeaux de paille dans le Nord et Nord-ouest de la Grande île, dans le pays Tsimihety et autres.

En somme, Madagasikara déborde de ces merveilles artisanales qui incarnent l’identité culturelle nationale du pays. Les touristes étrangers à même nationaux en raffolent. Fascinés par la qualité artistique et minutieuse des œuvres exécutées par les artisans locaux, les visiteurs de passage s’arrachent de ces « produits » exotiques. Malheureusement, ces talentueux artisans sont des illustres inconnus travaillant dans l’ombre. Ignorés de projecteurs et des antennes nationales, des acteurs de l’artisanat évoluent dans l’anonymat. Certaines stations télévisuelles ou radiophoniques s’intéressent à des cas d’activité artisanale dans certaines localités mais les interventions sont tellement sporadiques que les impacts soient limités. Il se trouve que le secteur de l’artisanat est le parent pauvre de la chaîne de l’économie nationale. Il passe d’un département à un autre (« firaka atakalo »).

L’avènement du régime Orange a commencé à offrir une opportunité à ce secteur prometteur qui est l’artisanat. Il a fallu du temps pour comprendre que l’artisanat pourra très bien contribuer à l’essor de l’économie nationale. Il suffit de l’accompagner et de mettre à sa disposition les voies et les moyens pour que ce secteur tant oublié puisse s’épanouir.

Rattaché au département du Tourisme depuis ledernier remaniement, l’artisanat se trouve au cœur des attentions et des intérêts du pouvoir en place. La ministre chargée du département en question fait des pieds et des mains afin que ce secteur d’avenir, l’artisanat, ait la chance de faire prospérer le pays. Lors du prochain « Salon de l’artisanat et des métiers » qui se tiendra en Tunisie, la Grande île sera le « pays invité d’honneur ». Certainement, ce sera l’occasion en or de présenter dans sa splendeur l’artisanat malagasy. Viviane Dewa, la ministre du Tourisme et de l’Artisanat, fera de cette rencontre au pays d’Habib Bourguiba une opportunité à ne pas rater pour lancer dans l’orbite ces deux secteurs qui promettent beaucoup, le tourisme et l’artisanat, et cela pour booster le pays.

A Madagasikara, les touristes fortunés viennent non seulement pour visiter les merveilleux sites du pays, mais également s’intéresser aux merveilles de l’artisanat malagasy, symboles de la culture nationale. A ne pas oublier que les nationaux, dans le cadre du tourisme local, s’intéressent également à ces œuvres d’art uniques.

Ndrianaivo

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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