Politique

Marc Ravalomanana, Siteny Randrianasoloniaiko, Hery Rajaonarimampianina, Masy Goulamaly, Tahina Razafinjoelina, Andry Raobelina, Hajo Andrianainarivelo et Paraina Auguste, tous candidats à la prochaine élection ont signé le 29 août 2023 une déclaration commune par laquelle ils contestent la candidature du Président Andry Rajoelina et appellent la population au soulèvement. Ont-ils mesuré les conséquences de leur action qui contient plusieurs atteintes à la loi, en plus d’anéantir leurs engagements pris dans la charte de bonne conduite des acteurs politiques ? Tout d’abord, leur démarche qui consiste à exclure le Président Andry Rajoelina du scrutin présidentiel relève de la discrimination. Elle viole l’article…
Marc Ravalomanana est un des signataires de la déclaration commune du 29 août 2023. Il considère que le Président Andry Rajoelina ne peut pas remplir ses obligations découlant de la Constitution, notamment la défense de la souveraineté nationale. L’ancien Chef de l’Etat a perdu une bonne occasion de se taire. En effet, il y a quasiment 13 ans jour pour jour (plus exactement le 28 août 2010), Marc Ravalomanana a été condamné aux travaux forcés à perpétuité par contumace pour le massacre, avec l’appui de mercenaires étrangers, d’une trentaine de manifestants survenu le 7 février 2009 à Ambohitsorohitra. Il s’est…
De la diffusion de fausses informations. C’est ainsi que la procureure de la République, auprès du tribunal de première instance d’Antananarivo, Rakotoniaina Narindra Navalona qualifie la manœuvre de certains acteurs politiques qui véhiculent des informations en lien avec une hypothétique assignation du Président Andry Rajoelina. Le numéro un du TPI est monté au créneau lors d’une déclaration à la presse dans la soirée d’hier. Selon ses propos, « aucune assignation signée de nos mains n’a été déposée auprès de la Présidence de la République ». Elle dément ainsi toute information dans ce sens relayé par certains médias internationaux.
Actuellement, un étranger répondant au nom de Durand Alain, de nationalité française et son épouse malagasy sont activement recherchés pour abus de confiance et dont le préjudice s'élève à 5600 euros. Cette affaire s'est produite à Sambava, et l'avis de recherche a été divulgué le 30 août dernier. En effet, c'est la brigade de Gendarmerie de Sambava qui est saisie de l'affaire. Elle a agi en se conformant au soit-transmis du 25 août dernier, et qui est déposé par le plaignant. De source officieuse, ce dernier n'est autre qu'un associé de ce couple en cause.
Cela fait cinq jours que les Jeux des îles de l’océan Indien 2023 battent leur plein. Les craintes des retards, quelques jours avant le début des Jeux, autour des infrastructures sportives en particulier, sont désormais un très lointain souvenir. Celles-ci sont au top. Même les commentateurs TV issus des autres îles participantes aux Jeux des îles de l’océan Indien 2023 n’ont pas tari d’éloges concernant ce domaine. Les infrastructures « manara-penitra » ont dépassé les attentes. Le Président de la République n’a pas failli à sa réputation et à ses engagements. Des édifices vieillots ont retrouvé leur lustre d’antan. A…
Un message politique à peine voilé. Le Président Andry Rajoelina annonce la couleur dans son discours lors de son déplacement avec son épouse, Mialy Rajoelina, au parc Botanique dénommé « Madagasikarantsika » à Mandoto hier. D’emblée, le Chef de l’Etat a appelé à la l’unité et la solidarité des citoyens. « Tant que nous faisons preuve d’unité, personne ne peut nous vaincre. Que ce soit nos ennemis ou nos concurrents », a – t – il souligné.
L'EmmoFar en charge de l'enquête à propos du drame lié à la bousculade meurtrière, lors de la cérémonie d'ouverture officielle des Jeux des îles vendredi dernier, ne s’est toujours pas exprimé sur l'évolution de l'enquête actuellement en cours. Mais il existe toutefois un espoir pour essayer de comprendre ce qui aurait pu provoquer cette tragédie. En attendant toute conclusion des enquêteurs de la Police et de la Gendarmerie, ces dernières pourront exploiter un outil précieux que la technologie leur permet de travailler en toute confiance. En effet, le périmètre du point où la tragédie s'est produite se trouve dans le …

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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