Publié dans Politique

Monde des médias - Décès de Raharijaona Fabiola alias Farah Masinjanahary

Publié le mercredi, 30 septembre 2020

Le milieu du journalisme est en deuil. La journaliste spécialisée dans la rubrique social, Raharijaona Fabiola connue sous le nom de plume Farah Masinjanahary est décédée, hier, à l’âge de 43 ans. Elle a succombé à la suite d’une longue maladie des reins à son domicile à Ambanitsena. Pour beaucoup de journalistes qui ont pu la côtoyer, Farah représente la gentillesse et la simplicité incarnée. A cela s’ajoute sa grande passion et sa dévotion pour le métier. Raharijaona Fabiola intègre le monde du journalisme en 2003 en tant que journaliste social au sein du journal « Le Quotidien ». Par la suite, elle travaille chez « Tribune de Madagascar » avant d’intégrer le groupe « l’Express de Madagascar ». Toujours partante pour des descentes sur le terrain, Farah enchaînaient les reportages et formations au niveau national et international. Les droits de l’enfant et l’environnement constituent les deux principales thématiques qui lui tenaient à cœur. D’ailleurs, ses publications dans ce sens lui ont valu plusieurs récompenses. Elle était la lauréate de nombreux concours organisés notamment par l’UNICEF pendant plusieurs années successives. 
La Rédaction du journal « La Vérité » présente ses sincères condoléances à la famille de la défunte.
S.R.
 

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Editorial

  • Date maudite !
    Treize mai, date à effacer ! Ce samedi, jour pas comme tous les autres samedis, 13 mai 1972, date où les mouvements de grève des étudiants grossis par tous les élèves de la Capitale, prenaient une allure radicale, point de non retour, sur l’Avenue de l’Indépendance, devant l’Hôtel de Ville, baptisée désormais Place du Treize mai. Il y a cinquante-trois ans en ce jour du 13 mai 2025, les Forces républicaines de sécurité (FRS) chargeaient à balles réelles les manifestants à Analakely devant l’ancien Hôtel de Ville. Le sang a coulé ! Il y a eu des morts et des morts ! Les choses allaient se précipiter. Pris de panique sinon aux abois, feu Président de la République Philibert Tsiranana enchaînait des décisions qui aboutirent, au final, à la chute du régime PSD. Le Général de Division Gabriel Ramanantsoa, Chef d’ Etat-major de l’Armée prit les rênes du pouvoir suite…

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