Publié dans Politique

Faculté d'Economie, de Gestion et de Sociologie - Désorganisation totale de la réinscription !

Publié le vendredi, 19 novembre 2021


En raison du court délai de la réinscription, les étudiants inscrits auprès de la Faculté d'Economie, de Gestion et de Sociologie se trouvaient au cours de cette semaine dans la tourmente. C'était la désorganisation totale, ils n'ont disposé qu'une journée voire deux pour réunir tous les éléments des dossiers afin de se réinscrire pour l'année - universitaire 2020- 2021. Particulièrement pour la Gestion, le résultat des examens de rattrapage n'a été publié que le vendredi 12 novembre pour les étudiants en Master et le lundi 15 novembre pour ceux de licence. Pourtant, ce département a fixé la date de réinscription quelques jours après ces affichages. Pour le niveau L, il il a été programmé pour le mercredi 17 novembre et pour le niveau Master, le vendredi 19 novembre. Et tous les retardataires peuvent attendre samedi, c'est-à-dire aujourd'hui.  Malheureusement, l'obtention assez compliquée du bordereau de versement n'a pas été prise en compte par les responsables. "Outre les fiches d'inscription et de bourse, il faut également le reçu du versement de la somme de 42.000 ariary destinée au droit d'inscription et les 38.000 ariary alloués au droit pédagogique auprès de la banque. « Par malchance, avec un groupe d'amis, j'ai du parcourir trois enseignes avant de l'obtenir. L'organisation interne de la banque limite jusqu'à 10 heures le paiement pour les étudiants. De plus, le nombre de clients pouvant être accueillis est fixé à 50 personnes. Certainement, avec les milliers d'étudiants au sein de notre département et de la Faculté toute entière qui ont dû recourir au même service, il m'a été impossible d'être reçue par la caisse de la première banque. A la deuxième, le nombre est déjà complet et le troisième comptoir a eu pitié de nous et a quand même laissé payer avec quelques minutes de l'heure définie, dû au déplacement », s'est plainte une étudiante admise en deuxième année de licence dans le département Gestion. Et elle n'était pas la seule, d'autres étudiants du même département ont vécu cette galère. Contacté, hier soir, par rapport à cette organisation, le doyen de ladite Faculté, Ravokatra Seth, a préféré ne pas s'entretenir au téléphone.
KR.

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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