Publié dans Politique

Basculement d’un 4x4 dans le lac d’Andraikiba - Un couple sauvé de la mort en pleine Saint-Valentin  

Publié le mercredi, 15 février 2023

Il était environ 18h, mardi dernier, jour de la Saint-Valentin, lorsqu’un évènement inattendu est venu troubler le calme des amoureux, qui ont choisi le lac touristique Andraikiba, situé à 7 km à l’ouest de la ville pour profiter de doux moments, et loin des regards indiscrets. Car un véhicule 4x4 pick-up a basculé dans l’eau, avec ses occupants formés d’un couple à l’intérieur. Fort heureusement, les deux personnes ont pu être sauvées d’une submersion totale et qui leur était dangereuse. En effet, les pompiers ont dû intervenir assez rapidement pour aider les concernés à regagner la terre ferme, du moins selon une source auprès d’une brigade de Gendarmerie locale.

Le fait que les victimes n’ont pas mis leur ceinture de sécurité a facilité leur sauvetage. A vrai dire, c’est le conducteur dont l’identité n’est pas  connue qui a souffert le plus. Mais depuis qu’il a bénéficié des soins à l’hôpital, on ne craint plus vraiment pour son état. Quant à l’inconnue qui était avec lui dans le véhicule, elle est simplement en parfait état de santé. Dans un premier temps, ils ont été évacués à l’hôpital Sainte-Claire, avant qu’on ne les ait transférés ensuite à l’hôpital Ave Maria. 

Pour le moment, la confusion persiste quant aux tentatives de certaines sources de donner une explication sur l’origine de l’accident. Car si l’une d’elles a avancé une perte de contrôle chez le conducteur, une autre a affirmé une confusion par ce dernier des pédales de frein et d’accélérateur, comme étant à l’origine du basculement du pick-up dans le lac. « Le problème, c’est que nous n’étions arrivés sur les lieux que tardivement. Et c’est cette confusion de pédales par le chauffeur qu’on nous a informée », confie une source au niveau de la brigade de gendarmerie d’Antsirabe. Même impossibilité pour essayer de savoir davantage sur les victimes dont certains ont susurré une chose à propos de la vie privée des concernés. « C’est sur Facebook que la Gendarmerie a appris ce détail sur leur vie privée. Mais puisque nous n’avons pu réunir d’élément les concernant, on ne leur connaît, ni identité, ni adresse, etc. », conclut notre interlocuteur.

Aux dernières nouvelles, les pompiers ont réussi à extirper totalement de l’eau, le véhicule, vers 13h, hier. 

 

Franck.R

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Editorial

  • La faucheuse
    Fossoyeuse ou faucheuse, qu’à cela ne tienne, elle abat allègrement ! La Compagnie nationale d’eau et d’électricité, Jiro sy Rano Malagasy (JIRAMA), tue et abat sans autre forme de procès. En fait, pour le compte du premier quart de siècle de l’An 2000, la JIRAMA fauche tout ce qui bouge sur son passage. Créée dans la foulée et la folie de l’arrivée au pouvoir en 1975 du jeune capitaine de Frégate Didier Ratsiraka, par les avalanches de nationalisations, la JIRAMA voit le jour le 17 octobre 1975. Elle résulte de la fusion de la Société Malagasy des Eaux et Electricité (SMEE) et la Société des Energies de Madagasikara (SEM). Son rôle se concentre sur la distribution des services essentiels dont l’eau et l’électricité à travers le pays. La vague d’étatisations depuis 1975 se manifeste par des initiales « ma » (malagasy) à toutes les nouvelles marques des entités commerciales et…

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