Publié dans Politique

Chute d'un taxi-brousse sous un pont - Une fillette de 8 ans trouve la mort

Publié le mercredi, 21 juin 2023

Un taxi-brousse Mercedes Sprinter venant de Vangaindrano qui allait se rendre à Toamasina via la Capitale, va terminer sa course folle sous un pont. Le résultat fut effroyable : une fillette de 8 ans a trouvé la mort tandis que 9 personnes furent blessées. L'une, dans un état préoccupant, a dû même être évacuée dans la capitale. Ce drame est survenu vers 9h du matin à Ambodifasina, Commune d'Andriambilany, District d'Ambatolampy, hier.

Le minibus a roulé à vive allure, alors qu'il allait négocier un virage qui débouche sur ce pont, selon la Gendarmerie.

Au moment où le Sprinter allait s'engager au-dessus de ce pont, il était tombé nez-à- nez avec un 4x4 roulant en contresens. Et juste devant le taxi-brousse, une moto s'arrêtait. Avec la vitesse à laquelle le Sprinter fut lancé, son chauffeur ne pouvait alors s'empêcher d'emboutir la moto. Déstabilisé par le rude choc, le Sprinter, qui s'était frotté au 4x4, fut alors projeté hors du pont avant de choir brutalement dans le cours d'eau, coulant plusieurs mètres en contrebas.

Pendant que les secours s'organisaient pour l'évacuation des blessés à Ambatolampy, une dizaine de gendarmes encadrés par le capitaine commandant la brigade d'Ambatolampy, furent dépêchés sur place, à la fois pour participer au secours mais aussi instaurer un cordon de sécurité sur le lieu de l'accident.  En attendant l'issue de l'enquête pour tenter de comprendre ce qui s'est réellement produit, des sources ont avancé que la fatigue et peut-être aussi une somnolence seraient à l'origine de la perte de contrôle du véhicule chez le conducteur. L'enquête se poursuit.

 

Franck R.

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Editorial

  • De la honte et du gâchis
    La messe est dite ! Tel un couperet, le verdict irrévocable et définitif est tombé. Les autorités suprêmes du football africain, la CAF, confirment la sentence : le Stade Barea n’est pas homologué. Le vin est tiré, il faut le boire ! Les Barea joueront ailleurs. La Fédération malagasy du football (FMF) doit choisir et soumettre incessamment aux instances continentales les stades où l’équipe nationale jouera ses prochains matchs.De la honte ! Du coup, le sentiment de souveraineté et de fierté autour du grand Stade Barea s’écroule comme un château de sable. Quelle a été la fierté de tous les Malagasy notamment les amoureux du ballon rond quand le pays s’est offert de ce « bijoux » sinon de ce « trésor ». Les épris du sport-roi de l’océan Indien à même du continent africain enviaient certainement le privilège des malagasy. Nos amis les Comoriens, les Seychellois, les Mauriciens et…

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