Publié dans Politique

Ministère de l’Enseignement supérieur - Le Docteur Andriamanantena veut régler les conflits

Publié le mardi, 16 janvier 2024


Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la recherche scientifique (MESUPRES) devait recevoir en conclave hier en fin d’après-midi les membres du Syndicat des enseignants- chercheurs de l’Enseignement supérieur (SECES) conduits par Randriamialinoro Faliarivony son président national. Une réunion qui aura duré deux tours d’horloge pratiquement. Bien que l’on ne soit encore à une première tentative sur le registre du règlement des foyers de tension, tout porte à croire que la montagne cette fois-ci n’aura pas accouché d’une souris. Randriamialinoro Faliarivony avance qu’il est venu saluer le nouveau ministre Docteur Andriamanantena avec sa nomination à la tête du département ministériel. Ce faisant, le SECES lui souhaite bon vent dans la recherche des voies et moyens pour le développement du MESUPRES.
Pour le moment, la rencontre d’hier s’est limitée à pareilles salutations. Il reste toutefois que les discussions reprennent. La porte du MESUPRES est grande ouverte. A son corps défendant de dévoiler quoi que ce soit sur le processus en cours, le président du SECES affirme qu’il n’y a aucun honneur à ce que les foyers de tension perdurent à l’université. « Même le SECES a honte de notre situation actuelle », renchérit ce dernier. Le Docteur Andriamanantena conforme ses propos lors de la passation de service. Son cheval de bataille, dira-t-il, sera la mise en place d’une solution pérenne pour la paix sociale au sein de l’enseignement supérieur. La réunion d’hier entre de facto dans une approche de reprise en compte du dialogue interrompu. En tout cas, c’est un prompt rétablissement des relations entre ses homologues que le tout nouveau ministre de l’Enseignement recherche.

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Editorial

  • Lueur d’espoir !
    Tout n’est pas noir. Une source de lumière apparait à l’horizon. Et l’espoir est permis. En dépit des galères éternelles que la misère nous impose, que l’insécurité nous étreint et que la JIRAMA nous empoisonne tous les jours, une lueur d’espoir nous embaume le cœur. Tous les efforts sont mis en branle mais la misère persiste et signe. Avec un revenu mensuel moyen de 40 euros ou 43 dollars par habitant, de sources autorisées de la Banque mondiale, Madagasikara reste parmi les cinq pays les plus pauvres de la planète. A titre d’illustration, Rwanda 76 dollars, France 3482 euros. Comparaison n’est pas raison mais les chiffres sont là. Ils évoquent certaines situations comparatives indéniables. Les insuffisances chroniques alimentaires surtout dans le grand Sud trahissent malgré les tentatives de certains responsables de relativiser le cas.

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