Publié dans Politique

Route nationale 2 - Déjà des signes de dégradation

Publié le mardi, 06 février 2024

La Route nationale 2 (RN2) refait parler d'elle. Mais malheureusement, pas toujours pour les bonnes raisons. Les espoirs suscités par les réfections de la fin de l'année dernière semblent aujourd'hui en effet être éclipsés. La réalité est marquée par la détérioration express de certaines parties de cette artère vitale du pays. Les récentes pluies ont, en effet, mis en évidence les lacunes des rénovations effectuées sur cette route. Des portions, supposément réhabilitées, montrent des signes évidents d'usure.

Cette situation laisse les usagers perplexes quant à la qualité des travaux entrepris par les entreprises responsables. Il est décevant de constater que, malgré les investissements dans la réfection de la RN2, celle-ci n'a pas longtemps résisté aux conditions météorologiques actuelles. Les usagers se plaignent par ailleurs des nids-de-poule apparus et des tronçons de chaussée dégradés, là où des travaux n’ont pas été entrepris. Les critiques portent principalement sur la partie entre Brickaville et Toamasina. 

Ce qui suscite davantage de frustration est le contraste frappant avec le tout nouveau pont de Mangoro, prêt à être inauguré cette semaine par le Président de la République. Alors que la RN2 montre des signes de faiblesse, le pont de Mangoro symbolise la modernité et la qualité de construction. Il est impératif de questionner les entreprises responsables des réfections de la RN2 sur la durabilité de leurs travaux. Les contribuables par l’intermédiaire du ministère des Travaux publics notamment, ont investi des fonds considérables dans ces projets. Il est inacceptable de constater une dégradation aussi rapide. Les usagers de la route appellent ainsi à une action immédiate pour remédier à la situation. Outre la RN2, l’état de certains tronçons de la Route nationale 6 (RN6) fait aussi jaser ses usagers. L’état de la route est inqualifiable. Le vol de buse ne fait que rajouter au problème. Une situation qui doit être prise à bras- le- corps tant qu’il est encore temps.

 

La rédaction

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Editorial

  • Le suspense perdure !
    On attend. Et on attend. Jusqu’à quand ? L’identité du nouveau coach des Barea (A) tarde à venir. Les Barea n’avaient plus de coach ni de sélectionneur titulaire après le départ en catastrophe de Razafindrabe Romuald alias « Roro » à la mi-novembre 2024. En effet, les échecs répétitifs lors des matches internationaux, acculé au … mur, l’entraineur national n’avait pas d’autres choix que de rendre malgré lui le tablier. C’est réellement dommage pour le sport-roi malagasy, vu la compétence technique de ce coach qui devait se séparer malheureusement de l’équipe nationale. Une chose mérite d’être soulevée : il ne suffit pas de remplacer la tête du patron du Onze national pour que les affaires du football malagasy s’améliorent.

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