En plus du secteur de l’infrastructure, il y a également eu une discussion sur les programmes de développement auxquels ces invités peuvent participer. "Nous leur avons expliqué les domaines prioritaires dont nous avons réellement besoin et la nécessité de fournir des devises étrangères, l'un d'eux est la zone économique spéciale", a déclaré la ministre. Elle a aussi ajouté que les Turcs sont prêts à mettre la main au portefeuille et investir des millions de dollars dans la réalisation de nombreux projets. « Ces entrepreneurs sont prêts à investir des millions de dollars. Ils se distinguent par l'exécution du travail dans des délais courts et par le respect des normes internationales.» Le savoir-faire turc n’est plus à démontrer que ce soit dans leur expertise ou à travers la construction et l'équipement de centres médicaux, de sites sportifs et des infrastructures en Afrique. Parmi elles, on notera par exemple le "Centre financier" et l'aéroport de Kinshasa. Après la réunion, la délégation a eu l'opportunité de visiter le Rovan’i Madagasikara, offrant ainsi un aperçu des riches trésors historiques et culturels de la Grande île. Cette visite a permis aux investisseurs turcs de mieux appréhender l'environnement dans lequel ils pourraient potentiellement investir et contribuer au développement de Madagascar.
Nikki Razaf